Modèle

Le besoin de gagner des sous fait que je regarde attentivement les différentes offres sur un journal gratis. Enfin une proposition intéressante :
« Cherche modèle féminin pour photos de nus moyennant rémunération. » Je me déplace chez le photographe dans une petite rue. J’aurais du me méfier, enfin c’est chose faite, n’en parlons plus, sauf que j’y ai retiré un bon moment inoubliable...

C’est une jeune femme qui me reçoit dans la boutique. Elle m’explique que je dois me mettre nue dans son atelier pour faire des clichés qu’elle présentera ensuite à son client qui choisira. C’est dit-elle un industriel sur le point de lancer une marque de sous vêtements particulièrement audacieux, d’où le nu intégral.
Je ne suis pas du genre pudique, je dirais même le contraire, m’exhiber ne me dérange pas du tout : j’aime me montrer en public quand des positions que certains qualifient de vulgaires parce que je montre mon cul et le reste. Alors poser nue ne me dérange pas du tout. La fille ferme le magasin, me dirige vers son atelier. Là elle m’encourage à me déshabiller doucement. Je ne suis pas encore nue quand sous les lumières je l’entends charger le gros appareil. Quand elle commence je suis comme une fille dans les stripteases. Je suppose qu’elle le fait exprès. Maintenant nue, elle me demande de prendre des positions diverses assez crues, disons même pornographiques puisque je dois montrer en détail mon sexe et mon cul, de très près sous prétexte qu’il lui plait.
Il doit vachement lui plaire puisqu’elle y pose un doigt, et quel doigt inquisiteur puisqu’elle me le rentre lentement. Elle a du le mouiller avant puisqu’il entre totalement.
Je me laisse faire, j’ouvre même mes fesses pour profiter de sa caresse. Elle doit y trouver un genre de plaisir puisqu’elle me fait jouir. Les spasmes de jouissance font qu’elle les ressent aussi dans son doigt ? Elle attend que mon orgasme se termine pour me retourner. Sa bouche est sur la mienne.


Je suis conquise par sa langue et sa main qui cette fois me caresse le berlingot. J’écarte bien les cuisses, j’ouvre toute ma chatte. Je vais encore partir quand elle arrête tout. J’ouvre les yeux pour la voir elle aussi se mettre nue. Elle m’emmène vers un fauteuil posé là, comme par hasard. Me voilà assise toujours nue, la cyprine plein la chatte, les jambes ouvertes et surtout sa tête presque sur mon corps. J’ai droit maintenant à un cunnilingus féminin.
C’est la première fois qu’une fille me lèche l’abricot. De moi-même je passe mes jambes sur ses épaules. Je la sens mieux quand sa langue passe partout dans les moindres recoins de la chatte. C’est meilleur que ce que me font les copains que j’ai, ou que j’ai eu par le passé. Quand elle avale en parti le clitoris, je suis défaite de bonheur en plus quand elle entre deux ou trois doigts, je ne sais même plus dans le con. Mon plaisir monte de plus en plus dans le ventre, dans la colonne vertébrale, jusqu’au cerveau avant d’éclater comme un feu d’artifice dans le corps tout entier.
Elle me fait lever pour que je sois assise sur ses genoux, les jambes ouvertes vers elle, sa chatte à ma disposition.
- Branles moi.
- Comment ?
- Comme si c’était pour toi.
Ca je sais faire. Je touche son bas ventre avant de mettre toute ma main sur son sexe mouillé. Je cherche à peine son bouton : je la masturbe comme je me le ferais. Elle gémit fortement, puis je la sens sur le point de partir comme moi tout à l’heure.
J’arrête tout pour l’embrasser à mon tour. Ma langue vainc vite ses lèvres pour trouver la sienne. Elle me semble douce maintenant que je suis la maîtresse de son plaisir. J’oublie son clitoris pour entre trois doigts dans son con ouvert. J’ai réveillé son instinct de saphisme, elle aussi me masturbe le con. Je suis comme elle je la fait jouir et attend qu’elle me fasse jouir.
C’est bon de jouir à deux filles. Je fais cette découverte maintenant à presque 30 ans.
Je regrette de ne pas l’avoir fait avant, même si je sais que l’aime toujours une bite dans le cul ou devant, même dans la bouche, pour le jus. Enfin je crois. Nous passons plusieurs heures nues à nous cooconner. L’heure tourne trop vite.
Elle me propose ce que je redoute : la lécher. C’est simple pourtant de passer une simple langue sur une ouverture certes humides, mais finalement facile à faire jouir. Mon hésitation tombe quand elle me masturbe encore une fois.
- Lèches moi le con avec ta langue de putain. Je te boufferais la chatte moi aussi après, promis, je mettrais même ma langue dans ton petit cul de salope.
Sans doute la promesse de me faire mettre par sa langue m’ouvre à ce cunnilingus particulier. Je suis assise sur le fauteuil, elle vient se mettre son ventre en avant, ses cuisses bien ouvertes, m’offrant ainsi une vue directe sur ton son sexe baveux. Je la prend par les fesses, l’approche encore jusqu’à ce que je sorte ma langue. Son clitoris n’a bientôt plus de secret pour moi, comme son petit trou ou je met deux doigts.
Je la sens se mettre en arrière, se tendre deux fois, les douces fois de jouissance. Elle fini à peine de jouir quand :
- Bouffe moi, vipère, suce moi le cul.
Elle ne se fait pas prier pour obéir. Elle me tourne pour que je sois de dos face à elle. Une fois qu’elle me fait pencher, elle ouvre mes fesses, elle me met un doigt dans la raie, me penche encore. Mon cul est là, elle peut lui faire ce qu’elle veut.
La garce, elle me lèche d’abord le troufignard avant de pointer le bout de sa langue. La vache, elle m’encule à peine pour que je jouisse encore. Elle passe sa main entre mes fesse, me caresse le con avant d’y entre encore deux doigts. Je ne sens plus mon corps tellement elle me fait jouir. Mais pourquoi elle arrête de me donner ces plaisirs. La nuit est tombée, voilà tout. La belle affaire. Il faut nous rhabiller pour aller chez elle: c’est à deux pas.
A peine chez elle, nous nous embrassons.
Elle sort une belle collection de godes. Nous nous enfilons soit avec l’autre soit seule devant l’autre. J’ai apprécié vers la fin quand elle me baisait avec le plus gros gode et qu’elle m’enculait avec un plus petit.
Elle m’a donner rendez vous pour Lundi, son jour de congé. Je n’ai rien promis au cas ou un de mes amants me proposerait de tirer un coup avec lui. Sinon, libre j’irais baiser avec elle. Je me suis régalée de cette nouveauté.
Pour son client, c’est vrai.

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