Michelle Et Julie

Nous nous sommes rencontré il doit y avoir 20 ans. Elle avait à peine 17 ans, était déjà presque une femme, grande, brune, seins sublimes, hanches pas encore très large, le tout sur des jambes longues. Je ne parle pas de son visage qui avait quelques traces d’enfance. Ce qui m’a attirait était la simple frange sur son front et ses yeux bleus. Nous n’habitions pas loin, au début je l’apercevais un ou deus jours par semaine. Au moment des vacances scolaires je la voyais tous les jours.
Je n’ai pu m’empêcher de l’aborder, pour lui dire une fadaise:
- Je vous trouve très belle, vous me plaisait beaucoup.
- Non, ne me parlez pas ainsi, vous me troublez.
Je la troublais, que me faisait-elle à moi, je ne suis pas de bois.
Je recommençais chaque jour pour finir par
- J’ai besoin de vous, vous me rendez dingue de vous, je besoin de votre présence prés de moi et………
Elle s’arrête en me regardant dans les yeux:
- Ne vous moquez pas de moi, je pense déjà trop à vous.
- Je n’oserai pas me moquer ce celle que j’aime et que je veux pour la vie.
Elle partait en courant: le lendemain dès qu’elle m’apercevait elle faisait un détour, sauf que deux jours après elle est à mes cotés.
Nous ne nous sommes plus jamais quittés. Elle me donnait son prénom: Marcelle Notre premier baiser, maladroit pour elle s’est fait sur un banc public. Je n’ai commencé à la caresser que plusieurs jours plus tard, d’abord les seins, lentement: elle n’a commencé à réagir que plusieurs jours plus tard. Ensuite j’ai passé une main sous sa jupe plissée. Quand j’allais plus haut, ma main passait en caresses légère entre ses cuisses qu’elle écartait Elle se laissait faire en confiance. Je lui caressais le sexe, elle y prenait goût sans pour autant jouir. Simplement la chose lui plaisait. Je lui apprenais à me branler, elle y arrivait facilement, la première fois elle était étonnée de voir la quantité de sperme qui sortait de ma bite.


Puis petit à petit elle appréciait mes caresses en en jouissait largement. Je lui disait également de se caresser cet endroit seule chez elle, dans son lit pour accroitre ses orgasmes. Elle avouais qu’elle le faisait déjà.
Pour fêter ses 17 ans j’emmenais Marcelle chez moi pour lui faire connaitre l’amour physique: je le lui avait promis. Elle savait fort bien ce que j’allais lui faire. D’elle-même elle se déshabillait pour me faire plaisir: c’est certain qu’elle m’a fait plaisir. Je la voyais nue devant moi. Quelle grâce, que de beautés cachées. Je pouvais enfin voir tout son sexe, ses fesses qui me semblaient fragiles alors qu’elles étaient sacrément bien faite. Je ne parle même pas de ses cuisses qui menaient directement sur sa chatte. Elle me faisait bander, je le lui disais et le lui montrais en l’imitant: j’étais nu à mon tour. Bien sur elle regardait surtout ma bite, puisqu’elle allait l’avoir dans son ventre d’ici peu.
Nous nous sommes couchés, pressés l’un et l’autre elle se mettait sur le dos, les jambes bien ouvertes. J’en profitais pour la lécher partout sur sa chatte: elle jouissait. Elle me demandait de venir vite sur elle pour la faire femme: elle en mourrait d’envie. Je comblais ce désir et je la dépucelais. J’ai eu la chance de faire jouir Marcelle cette première fois.
Depuis le temps a passé, nous nous sommes mariés, malgré nos efforts elle n’a jamais pu avoir d’. Nous en avons pris notre parti. Depuis nos baises ne servent noiquement que pour le plaisir. Elle n’est pas avare sur le nombre de baise.
En gros quand nous baisons je commence par lui lécher la chatte en commençant par l’anus où j’entre juste dire bonjour , je continue en léchant les lèvres. Je monte jusqu’au clitoris. Je l’effleure simplement avant d’aller dans son vagin. Je la fait toujours jouir deux ou trois fois avant de sucer son clitoris. Elle tient ses lèvres bien séparés pour que je la suce entièrement. Avec son autre main, elle se caresse toujours le même sein et se pince légèrement les tétons.
Ensuite c’est à son tour, elle se tourne pour prendre ma bite qu’elle découvre avec ses lèvres avant de lécher le gland. Elle aime bien lécher les premières gouttes prés éjaculation. Elle s’arrête là. Elle se donne à moi, les jambes sur mes reins, pour que j’aille profond dans sa moule. Nous jouissons toujours ensemble après que je l’ai limé. Je reste en elle, le temps de débander et pour lui faire plaisir: elle aime sentir ma bite devenir plus petite dans son ventre.
La suite n’a lieu que le lendemain matin au réveil. Nous nous excitons en nous caressant simplement. Quand je bande, Marcelle se mouille le petit trou pour que j’y entre. Elle se met en levrette, ouvre bien ses fesses, dirige ma pine sur son trou. Je n’ai aucune peine à y entrer. Nous aimons la sodomie.
Ensuite dans la journée quand je ne suis pas là, elle se sert d’un de ses godes pour jouir seule. Quand je suis là, le samedi ou le dimanche, c’est pour elle le même régime, une fois le matin et l »autre fois après midi, elle se couche, relève ses jupes, se caresse un peu pour être bien mouillée et se bais avec le gode de son choix: je ne peux intervenir: elle aime trop se masturber.
Depuis quelque temps j’ai envie de la voir dans les bras d’une autre pour une baise entre filles. Je lui en parle parfois, elle en est excitée et nous baisons. Et un soir, le fantasme est là: ma cousine lointaine Julie. Vient nous rendre visite: elle a le même âge que Marcelle soit 37 ans. Elle est bien fichue. Nous ne la fréquentons presque jamais: elle avait une mauvaise réputation dans la famille: elle était légère parait-il. Légère en ce moment ne veut plus rien dire, disons qu’elle aimait baiser. On avait dit tellement de chose sur elle que Marcelle lui posait la question de sa sexualité. En souriant, Julie répondait franchement qu’elle était bisexuelle. Marcelle me faisait un clin d’œil: nous avions sous la main ce que nous cherchions loin.
Le diner terminé, je n’osais pas demander à ma cousine ce que désirait et ma femme et moi.
C’est Marcelle qui a fait le premier pas:
- J’aimerai faire un essai avec toi, si tu veux bien.
- Un essai se quoi ?
- D’amour toutes les deux, et si tu veux même avec Yves.
- Pourquoi tu me demande ça, voue ne baisaient pas bien tous les deux ?
- Si, mais j’ai envie depuis quelque temps de baiser avec une autre
- Approches toi.
Ma femme va près d’elle. Julie se lève pour la prendre dans ses bras:
- Tu m’excite fort et même Yves m’excite aussi.
Elle prend la bouche de ma femme pour un véritable baiser d’amour. Je vois les deux langues réunies: Marcelle ne fait pas semblant, elle se régale de la langue de Julie. Elle commence à mettre à nu ma femme qui se laisse faire. Je me lève à mon tour pour mettre nue ma cousine. Je peux ainsi mieux faire connaissance. Elle aussi est bien faite, baisable en tout cas; J’espère qu’elle donnera beaucoup de plaisir à Marcelle et que je pourrai ou la baiser ou l’enculer. Tout ça sous les yeux du conjoint.
Quand elles finissent de s’embrasser, Julie me demande de venir pour qu’à mon tour j’ai droit à un baiser. Je vais la prendre dans mes bras, et je fais comme avec Marcelle. Ce n’est pas moi qui dirige le baiser, Julie prend ma langue mais ce n’est pas pur la mettre dans sa bouche, je dois lui lécher les lèvres. Sans complexe, elle arrive à me mettre nu. Elle prend ma bite pour la donner à Marcelle:
‘ Branles le, ne le fait pas jouir; il nous servira tout à l’heure, sinon à toi, au moins à moi.
Marcelle prend ma queue qu’elle enserre dans sa main. Elle me branle lentement en ne me serrant pas trop la bite.
Julie me laisse tomber et reprend Michelle: leurs langues à nouveau réunies, elles se dirige vers la chambre ou je les suit: je ne veux pas manquer une miette de la suite; J’ai raison. Julie est plus brutale que moi pour la manier Marcelle et pourtant ses caresses sont plus légères. Marcelle est allongée sur le lit, les jambes bien ouvertes, offertes à Julie qui en profite pour se mettre entre les jambes de ma femmes, elle lui lèche tout.
Mais avec beaucoup de calme, en tout cas moins vite que moi (j’en prend note) Je les regarde et me touche la bite; je commence à me branler. Michelle me regarde avec des yeux exorbités non pas parce ce que je me fais, mais à cause de ce que lui fait Julie. Michelle me demande de lui donner ma queue pour me branler; Julie le lui refuse. Elle fait jouir Michelle qui gémit fortement. Je ne pensais pas qu’elle ait un tel plaisir avec une fille. Julie a fini la première partie, maintenant c’est à ma femme qui doit la faire jouir. Pourtant ma femme en voudrait encore. Julie a la solution elle laisse ma femme les jambes ouvertes sur le lit et l’enjambe:
- A toi de me sucer partout.
- Mais je ne sais pas le faire.
- Si, tu me fera ce que je t’ai fait.
Julie pose sa chatte sur le visage de Michelle qui bon gré mal gré doit lui lécher tout son entrejambe. Julie elle n’a pas ce soucis, elle revient sur ce qu’elle a déjà sucé&e, certaine de faire jouir encore Michelle, ce qu’elle réussit fort bien. Michelle au début est empotée. Finalement elle s’y fait en arrivant à faire jouir ma cousine, qui aimant les langues de femmes sur sa chatte prend son plaisir. Elles doivent rester ainsi réunies par les langues une bonne heure. Michelle n’en peux lus. Elle rend les armes.
Julie prend ma bite pour que je l’encule, elle garde son clitoris pour se masturber; pour elle ce double plaisir est une des meilleures choses au monde.
Michelle me voyant enculer ma cousine a besoin elle aussi d’une masturbation ce qu’elle fait devant moi et Julie. Je me régale deux fois, une fois du cul de Julie et l’autre fois des doigts de ma femmes sur son clitoris.
Heureusement que Julie ne passe que deux jours avec nous. Quand elle part nous sommes satisfaits: Michelle des expériences qu’elle a eu et des fortes jouissances et moi d’avoir baisé Julie à peu près partout où je le désirai. Par contre nous nous souviendrons longtemps des spasme de plaisir qu’elle nous a montrer.

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