Mon Petit Jardinier 04

Ma question, pourtant alléchante vous en conviendrez, l’effraie, il a peur sans doute de ne pas être à la hauteur.

- Jamais fait ça mad’selle.

- Et bien je vais t’apprendre, réponds-je en enjambant sa tête, explore d’abord autour de l’entrée de ma grotte.

Tête-bêche, moi au dessus lui en dessous, je peux agacer sa bite et chatouiller ses couilles pour m’occuper les mains sans trop avancer l’extase finale que je réserve pour ma bouche. Je positionne ma moule à quelques centimètres de sa bouche, à genoux les jambes au ras de ses oreilles. Ma tête penchée entre nous, tournée vers lui, je surveille ses mouvements et surtout sa langue. Il la déploie, elle est large et écarlate et dépasse allègrement de ses lèvres me laissant augurer de belles émotions.

Comme je lui ai demandé, il me lèche le pubis lisse jusqu’à mes lèvres en les effleurant. Il se promène sur mon mont de Vénus, tantôt avec sa langue, tantôt en me donnant des baisers tendres qui ne me laissent pas indifférente.

Pour un débutant, il va avoir une bonne note je le sens, ma caverne présente un taux d’hydrométrie qui monte en flèche.
La patience, la douceur et la délicatesse dont il fait preuve sont bien meilleurs que bien des mecs plus mûrs pressés de se faire sucer ou de me sauter et qui bâclent ces préliminaires si indispensables à une bonne excitation.

- Tu sais que tu me fais mouiller comme rarement un garçon a réussi à le faire sans même toucher ma chatte, tu vas te régaler à ma fontaine de jouvence, regarde, ça coule déjà entre ma fente et fait briller mes lèvres !

- Je peux ap’ocher ma langue, Ma’ion?

- Oui tu as l’autorisation de humer le parfum de ma fente et de goûter à la Cascatelle qui y jaillit.

La montée de sa langue sur mes deux coussinets entourant mon puits d’amour me font émettre encore plus de cyprine, le raffinement et l’élégance de ses gestes lents mais efficaces remplit ma tête d’un sentiment de bien-être et d’abandon total et je vais bientôt plus pouvoir me contrôler.



- Je peux ouvrir votre fleur, me demande-t-il languissant.

- Oui il est l’heure de te faire découvrir ce qui se cache sous ces collines couvertes de rosée. Insère ta langue dans cette fissure et remue la bien entre pour disjoindre mes deux monticules avant de descendre plus avant dans ma crevasse.

L’aménité de ce garçon me surprend, il est vraiment parfait, il est d’une telle douceur avec moi! Sa langue parcourt toute la longueur de mon sillon qui s’écarte à son passage et il recueille ma mouille qu’il goûte avant de recommencer sa divine promenade.

- Alors comment trouves-tu le goût de mon jardin secret, toi, mon petit jardinier ?

- Délicieux Mam’zelle c’est le jardin d’Eden!

- Veux-tu que je t’explique ce que tu vois là? lui proposé-je en montrant mon cache bouton.

- Oui qu’est-ce que c’est ?

- Et bien dedans il y a un petit clito qui se gonfle quand un garçons une fille lui fait du bien, il bande comme ta bite mais infiniment moins, cherche le avec le bout de la langue.

Il exécute mes recommandations avec entrain. Le bout de sa péninsule cherche l’entrée de sa tanière, sa manière de bouger sa langue sur le capuchon excite tellement mon bouton qu’il se dilate petit à petit et il apparaît rose et gonflé, alors mon compère se rue dessus et le martyrise merveilleusement.

À ce rythme là je ne vais pas tenir longtemps comme cela, déjà je me crispe en poussant de petits cris, il s’active encore plus voyant la proximité de mon extase.

Il en veut, il va en avoir du jus de fille en chaleur, je vais lui en donner, j’agrippe sa nuque et le plaque fermement pour qu’il ne s’échappe pas et c’est parti, j’explose littéralement dans sa bouche collée à ma fente, je tremble et je jouis merveilleusement. Et j’inonde sa bouche qui aspire tout mon orgasme. Oh que c’est bon!

Je reprends doucement mes esprits, ce petit a de l’avenir, ma tête est encore tout empli de ce magnifique moment, peut-être que le fait d’initier un jeune garçon déclenche en moi un émoi qui décuple ma libido et multiplie par 100 ma jouissance, je pense que la vue de son magnifique Jésus si proche de mon nez n’est pas étranger aussi au phénomène.


- À mon tour, fais-je, tu es prêt pour une pipe ? As-tu reconsti ton épargne liquide dans tes bourses? Cette fois tu me préviens quand tu ne peux plus rien maîtriser n’est-ce pas.

- Oui Mam’zelle Ma’ion, je vous préviendrai.

Pour ne pas être trop vite déçue, j’essaie tant bien que mal de lui donner des conseils.

- Si tu vois que ta bite ne peut plus se retenir, pense à autre chose, ta récente décharge devrait permettre de durer un peu plus longtemps.

- Oh Mam’zelle Ma’ion, ma bite dans votre bouche, je se’ai désa’mé pour penser à autre chose, impossible de ´etenir la décha’ge.

Secrètement je prends plutôt cela pour un compliment et tant pis, après tout nous remettrons peut-être cela dans la mesure de ses possibilités et il finira bien par apprendre à profiter le plus possible de la chose.

De ma position au-dessus en surplomb, j’ai une vue d’ensemble qui m’invite à la dégustation et de ce plat a disposition, qui dans peu de temps va devenir un plat en sauce.

Sa bite en lévitation, bien au milieu et légèrement surélevée dépasse gaillardement son nombril, elle bande toujours merveilleusement, elle est complètement décalottée, son gland proéminent est un appel irrésistible, du moins pour moi, à le suçoter.

J’ai eu du mal tout à l’heure à le rentrer dans ma bouche, surtout dans la précipitation, et une fois dedans, l’espace entre mes lèvres se réduit à une feuille de papier à cigarette et j’ai juste pu dépasser le petit bourrelet qui termine ce gland. Voyez l’ampleurde la tâche qui m’incombe.
Un peu plus bas, le panorama n’est pas moins éblouissant, ses couilles bien rondes est dégagées, car il écarte un peu les jambes, mériterait d’en faire une carte postale.

Mon cerveau, subjugué par ce spectacle, commande à ma tête de descendre lentement vers ce paradis........

À suivre.

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