Mon Petit Jardinier 02.
À genoux devant mon beau jardinier, mes deux mains agrippant lélastique de son slip gonflé, je devine que ce qui se cache dedans est exceptionnel, mon petit garçon se laisse faire, sa timidité me touche au plus haut point, je ne veux pas brusquer les choses, je prends mon pied en retardant au maximum linstant de la découverte de son truc, jai même limpression que pendant ce temps la protubérance simplifie, lélastique récent serre très fort et la chose se développe encore horizontalement empêchée de sépanouir verticalement, la légère courbure et les dimensions gargantuesques de linstrument me font penser de plus en plus à une banane, mais pas nimporte laquelle, plutôt à une banane plantain.
Avant dentamer mon acte de libération tant espéré, je regarde une dernière fois dans les yeux mon petit jouvenceau. Il me semble gêné de bander devant moi, même si pour linstant je ne vois rien, sauf que, mon imagination bouillonnante dessine dans ma tête un trucmuche irréel.
Mais je crois quil est grand temps de découvrir ce secret si bien gardé, jécarte le haut du slip pour faciliter lépanouissement de son KOKO, dun mouvement rapide il se dresse verticalement sans coup férir, mon intuition était bonne ! Jai jamais vu un bazar pareil, je descends rapidement son cache sexe pour admirer lensemble de luvre.
La bébête est loin dêtre morte, elle secoue la tête pour me dire bonjour, le bitonio est dun noir ébène du plus bel effet.
« Noir, noir » Comme dirait Muriel Robin, le soleil déclinant, ses rayons frappent de profil le bordel qui étincelle et méblouit.
La peau lisse et polie du gland luit, resplendit et brille de mille feux, subjuguée jai limpression que je peux me mirer dedans.
Lentement le petit col roulé de peau qui me cache encore la moitié de son bout se déplie petit à petit tout seul, et je peux maintenant apercevoir le renflement de cette colline boursouflée par un afflux massif de sang bouillonnant de désir, les bourrelets de peau saccumulent à la base de ce surplomb, un furieux besoin de tester lélasticité de cette peau délicate menvahit afin de savoir comment branler cette bite.
Japproche doucement mes mains pour ne pas effrayer notre ingénu, il a dabord un réflexe de surprise et un mouvement de retrait quand je saisis de ma main droite sa splendide matraque de CRS, puis, soif de connaître les bienfaits dêtre branlé par les mains dune fille il se ressaisit rebrousse chemin et renfle ses fesses pour faciliter le rapprochement de la plus belle partie de son anatomie..
Même si je mets ma deuxième main sur ce baliveau, il y a encore de la place pour entourer entièrement lintégralité de son KOKO, mes mains dailleurs narrivent même pas à faire la circonférence du tube.
Je le branle doucement, sa peau fine et délicate coulisse merveilleusement, délicatement et sans trop le brusquer jentame un va-et-vient qui évidemment ne le laisse pas de marbre, il est immobile, les yeux fermés, la bouche entrouverte il profite pleinement de mes caresses, un peu plus bas la dimension de ces deux escarcelles ne sont pas ridicules par rapport à lobjet de mon désir. Je suppute une belle réserve de bon lait de garçon à lintérieur et ma main gauche divague pour explorer ses terres vierges, une légère peau granuleuse me hérisserait les poils de mon minou si jen avais. Mais je ne vous ai pas dit la meilleure, lui non plus nen a aucun sur lensemble du chef-duvre, jai même limpression que ce miracle est naturel, il est glabre comme je les adore, je ne sens aucune naissance de pilosité sur aucune partie de la citadelle, et mes mains agiles glissent sur son pubis car jai lâché temporairement son mangonneaux voyant leffet que lui fait lagitation de son manche de pioche, et même après que je lai relâché, il continu de frétiller et de ce dodeliner.
Jai déjà testé plusieurs puceau comme lui et je sais lémoi que leur procure les premiers gouzi-gouzi prodigués par une nymphe.
Jai envie que son plaisir dure un peu plus de temps que celui de faire cuire un uf à la coque et pour cela jexplore la face cachée de la Lune, larrondi de ces deux sphères parfaites est idéal, je parcours dans tout les sens ses boules de bowling imberbes et fermes jusquà glisser mon doigt au milieu et jarpente le sillon qui les sépare.
- Au fait comment vous appelez-vous? demandais-je pour lui laisser un petit moment de répit.
- Toussaint, me fait-il, et vous mademoiselle ?
- Moi, cest Marion.
Je trouve son prénom mignon, même si personnellement je ne suis pas une sainte, je pense immédiatement à ToussaintLaventure qui a lutté contre lesclavage, en ce moment mon petit amoureux est un peu mon captif asservi, et pour une aventure cest une aventure.
Mais ma fascination pour la magnifique pièce dartillerie de son côté face moblige à revenir vers elle. Même si la flèche est toujours pointée vers le ciel, elle sest stabilisée et comme vous connaissez mon appétit pour ce genre de fruit défendu par Dieu, je ne peux pas résister à lappel au péché, je prends le mandrin dune main et me penche sous les deux oranges pour les goûter, ma langue navigue sur la peau tendue et mes lèvres embrassent les aspérités de ses globes.
Le goût salé, dû sans doute à la sueur engendrée par son travail, éveille en moi une nouvelle excitation et ne me dégoûte aucunement mais au contraire mattire, je vais même en chercher plus entre ses couilles et ses cuisses où les frottements en ont produit davantage et je me délecte de cette moiteur. Instinctivement pendant ce léchage de burnes, sans même men rendre compte jai repris le branlage de sa queue et plus comme précédemment avec légèreté, mais comme je le fais dhabitude et dans la position où je suis je naperçois pas son visage déconfit.
Et soudain, jentrevois un jet parabolique qui finit sur mon chemisier et ma jupe. Il décharge sans mavoir prévenu le coquin!
Je me redresse dun seul coup et reçois en même temps une deuxième émission sur le visage puis une troisième avant que ma bouche nenfourne sa bite, mes lèvres et ma langue sagitant sur son chibre décuplent les éruptions de sperme.
Après cette tempête jai même droit à quelques gouttes de rab qui perlent sur son méat quand jessore son KOKO.
- je vous prie de mexcuser, me fait-il en regardant le sol.
- Eh bien vous men avez mis partout ! Dis-je en reluquant mes vêtements, il faut prévenir quand ça part pour ne pasgaspiller de la si bonne marchandise, ajoutez-le en passant ma langue le plus loin possible autour de mes lèvres pour essayer de récupérer ce quil a envoyé sur ma frimousse.
- Je suis désolé, ajoute-t-il dun air déprimé.
- Allez faites-moi un beau sourire, et il ny a pas de mal à se faire du bien, avez-vous eu beaucoup de plaisir?
-Oh cétait merveilleux, jamais je nai connu paeil chose vous savez.
Sa bimbeloterie na pas diminué dun poil, dune main je la reprends pour men servir de cuillère, et je trempe son bout sur les amas visqueux qui jonchent mes joues afin d en récupérer le plus possible et je suce lextrémité de sa queue mi-noire mi-blanche et cest délicieux. Je répète plusieurs fois cette manuvre et je prends un immense plaisir à lui lécher la bite de cette manière.
Je sens que lui non plus nest pas réticent à ce comportement vu sa binette approbatrice.
- Viens, lui fais-je, nous allons prendre une douche, nous en avons bien besoin.........
À suivre.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!