Mon Petit Jardinier 06.

Toc toc toc, la vitesse à laquelle se lève mon pépiniériste engendre une nouvelle oscillation de son pendule qui n’est pas de Foucauld, mais de Toussaint, et mon compère ( qui n’est ni con ni père) s’affole cherchant ses vêtements éparpillés aux quatre coins de la pièce. Moi, diablotine, j’arrive à récupérer deux de ses habits et non des moindres : son slip et son pantalon.

- Lâche-moi ce que tu tiens, lui fais-je doucement, ou je balance ton slip par la fenêtre, c’est bien plus rigolo si nous ouvrons la porte comme nous sommes !

La panique se lit dans ses yeux.

- Et comment je fais avec ça ? Me lance-t-il en montrant sa bite dressée.

- Tu la mets bien en avant, répliqué-je en le prenant cette fois par la main pour ne rien cacher de sa proéminence, une chose pareille ça se montre matin midi et soir.

Avant même d’arriver à la porte un nouveau Toc toc toc plus fort nous montre l’impatience de la frappeuse ou du frappeur.

Un petit sourire en coin, je positionne mon bébé à mon contact. Côte à côte, je vérifie l’engin.

- Mets-toi bien de face, et avance les fesses pour mettre en valeur ta fabuleuse quille et redresse la bien, lui fais-je en la branlottant deux ou trois coups.

Nous sommes prêts face a la porte, la pression et le stress grandissent, un mélange de peur, d’éréthisme et de surexcitation nous fait battre tous les deux le cœur à 100 à l’heure. Pourvu que ce ne soit pas le directeur de la résidence. Mais le piquant de la situation c’est d’ouvrir sans savoir qui se trouve derrière.

Je compte 1, 2,3 et hop j’ouvre en grand pour que la surprise soit totale.

Devant nous, chères lectrices et chers lecteurs, vous voudriez bien le savoir hein, bande de coquinettes et de Coquinets !
Ah, ah moi je connais la moitié de la réponse.

Quelle drôle de réponse allez-vous me dire, je vous laisse encore deux secondes pour réfléchir à ma devinette, ça y est, vous avez compris ? vous êtes un peu long et je ne parle pas de votre bite les garçons !

En fait devant nous se présente deux garçons, l’un c’est mon frère Théo, l’autre un parfait inconnu.



- Nous vous dérangeront peut-être ? Me fait Théo avec un léger sourire.

- Mais non, répliqué-je, c’est beaucoup plus rigolo d’avoir des surprises dans ce genre de situation rentrez donc avec nous pour faire plus ample connaissance. Me connaissant, vous vous doutez bien que c’est avec une petite arrière-pensée.

Mais avant qu’ils ne fassent un pas, ma chère voisine, une pimbêche, bourgeoise hautaine, espionne et cafteuse passe dans le couloir. Elle ralentit ses pas pour évaluer la situation, son œil noir photographie bien le tableau, j’espère au moins lui avoir fait découvrir une bite 5XL et derrière ses lunettes à double foyer, j’escompte qu’elle en a pris plein la vue.
Demain je suis sûre que tout l’étage va être au courant de la scène et j’imagine la réputation qu’elle va me faire. Après tout je m’en fous, j’écarte même nos deux visiteurs pour qu’elle puisse rapporter tous les détails de nos anatomies. Son air estomaqué me remplit de joie.

Le spectacle étant terminé faute de spectateurs, puisqu’elle réaccélère le pas des ma porte franchie. Je la regarde s’éloigner sans se retourner, mais ce n’est pas l’envie qui doit lui manquer. Je fais rentrer nos deux touristes et referme la porte.

- Voici Cédric, me fait Théo, Cédric : c’est ma sœur Marion.

- Enchanté de vous découvrir dans une aussi belle tenue et en si belle compagnie.

- Voilà Toussaint et mon petit frère Théo, annonçé-je, en les désignant chacun leur tour.

Théo est aussi à l’université, et dans la même résidence que moi mais dans un autre bâtiment.

Après un petit blanc dû à l’étrangeté de notre équipage, Cédric prend la parole :

-Je pense qu’il serait judicieux que nous soyons tous au même niveau, et comme je trouve très bien comme vous êtes tous les deux, je propose à Théo de nous retrouver à égalité en nous mettant à poil, même si ce n’est pas le terme exact vu l’absence de pilosité sur votre chatte et le membre extravagant de votre ami.
Pour ma part je suis aussi un adepte de cette confrérie.

Chic, fais-je intérieurement, car je sais que Théo aussi rase sa queue, quand, chez mes parents nous sommes seuls, nous ne nous cachons pas pour déambuler dans la maison complètement nus et je vois souvent sa Bibiche comme il l’appelait étant plus jeune, maintenant il a horreur que je nomme son petit biniou comme ça mais moi je trouve ce mot trop mimi etje lui en parle souvent avec cette appellation, ça le fait bisquer et j’adore cela.

Aussitôt dit, aussitôt fait, Cédric se déshabille et Théo le suit.

- Nous allons avoir du mal à assurer la comparaison avec le poteau de de Toussaint, fait Cédric.

- Où as-tu trouvé ce phénomène ? Me fait Théo.

- Juste sous ma fenêtre, rétorqué-je pour faire rire la chambrée.

Je risque un petit coup d’œil sur la bite de Cédric, j’essaye d’être discrète mais je ne sais pas trop si mes invités ne s’en aperçoivent pas quand même, que voulez-vous dès que je peux reluquer une queue de garçon, je ne m’en prive pas, il n’a pas menti elle est bien dégarnie de tous les côtés, le passage de la tondeuse à gazon doit être récent car la peau est lisse et brillante, le petit Popaul baisse encore la tête mais je connais des manières de la lui faire redresser et mon frère Théo aussi si vous avez bien suivi mes aventures.

- Cédric est trop modeste, et ce qui est petit est mignon, me fait Théo.

Tiens, on dirait bien que Théo a déjà vu sa bite et je suppose qu’elle devait se trouver dans un autre état qu’actuellement, je ne serai pas surprise que mon petit frère lui a donné un coup de main et des coups de langue pour cela.

- Oh Théo est bien mieux monté que moi! réplique Cédric.

Les révélations se succèdent et là plus de doute, ce ne sont pas uniquement que deux amis.

Théo à son tour tout nu, nous présente une demi bandaison à l’horizontal, je connais bien la direction et la courbure quand elle est en forme optimale, hélas ce n’est pas encore le cas.
Toussaint lui ne ressent aucune forme de fatigue, toujours impeccable, j’espère qu’il n’a pas de maladie style priapisme le pauvre avec le démonte pneu qu’il possède impossible de cacher cela dans la vie courante, ça doit se voir à 10 m à la ronde. Mais je pense plutôt que pour la première fois qu’il se trouve nu avec des garçons et une fille dans la même tenue, son cerveau ne contrôle plus rien ce dont je ne suis pas fâchée car je profite pleinement d’un objet peu commun et les deux garçons avec nous ne me paraissent pas insensibles aussi aux charmes d’une telle bite.

La queue de Cédric commençant à frétiller, dans ma grande bonté ( et ma grande gourmandise ) je lui dis :

- Puis-je vous aider, Monsieur Cédric, votre petit poisson rouge me paraît dans l’attente d’être câliné ?

- Je vous en prie, Mademoiselle, tout le plaisir sera pour moi.

- Il sera, je vous assure, partagé, riposté-je en prenant les choses en main.

A suivre.

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