Fête De Voisinage Scabreuse .... 1/3
Agnès, ma femme encore en activité pour cinq ans, et moi Paul, jeune retraité avons achetés il y a cinq ans une maison dans une petite cité à la campagne, Aucuns problèmes de voisinage, la plupart de nos voisins travaillent et malgré la proximité de cette rue en impasse nous ne les côtoyons pas beaucoup
Ce que je sais cest que la maison que nous avons acheté appartenait à un couple qui a divorcé suite a une relation extraconjugale avec des voisins dune maison deux numéros plus loin
Notre charmante voisine, car il faut bien le reconnaitre est tout à fait
. vergeable a fricoté avec son voisin, leur couple a linverse de lautre a résisté a la tempête, je suppose que le mari plus ou moins alcoolique sen est fait une raison, mais, était-il alcoolique avant dêtre cocu ou linverse ?
Jadresse la parole très peu souvent a cette femme, je ne me rappelle même pas son prénom
Lydie ou Élodie ??? Ils ont une fille de dix huit ans qui va au lycée pour la dernière année, et qui a mon avis fera autant de ravage que sa maman ! Elle est canon cette petite Zora
Voilà pour le décors, maintenant nous arrivons au sujet principal, un repas des voisins a été programmé afin de pouvoir faire connaissance, ce qui est une très bonne idée
La configuration de limpasse permet daligner des tables sans gêner la circulation, ce dimanche là il fait beau et chaud, qui dit chaleur dit soif et le rosé coule à flot !
Sans le vouloir je me retrouve à table face a cette belle créature qui finalement sappelle Lydie et à trente huit ans, Agnès est deux ou trois chaises plus loin ce qui me permet de loucher en toute tranquillité dans le décolleté vertigineux de la belle qui baisse sa garde et ne voit pas, ou fait comme si, les regards de convoitise quelle suscite
Dans laprès midi cest linévitable concours de boules auquel je réussi à échapper, quelques personnes restent a table, nous parlons de tout et de rien
le vin aidant, Lydie est très loquace
- Vous navez jamais vu mon bassin à poissons derrière la maison Paul ?
- Ma foi non, nous somme les derniers arrivés dans la cité
- Hé bien prenez quelques plats vide afin de commencer à débarrasser et suivez moi
- Tu veux que je taide maman ?
- Non Zora, reste a table nous en avons pour une minute, surveille plutôt ton père qui commence à délirer !
- Arrête de boire papa !
- Foutez-moi la paix les gonzesses
Ma femme bavarde et ne saperçoit même pas de ma disparition, en marchant je ne peux détacher le regard de cet adorable derrière qui se dandine devant moi
string ou culotte ordinaire ? Paul, calme toi, cest ta voisine
.
- Posez ça ici et venez dans le jardin cest mon endroit préféré !
Effectivement un bac agrémenté dune cascade qui gazouille orne le jardin et il ny a pas que ça, sur le fil a linge une panoplie de strings tous aussi affriolants les uns que les autres sèchent ou font décoration... Lydie a un sourire malicieux lorsquelle voit mon regard se poser sur cet étendage érotique
- Cest par ici que ça se passe Paul ! ils ne sont pas tous à moi Zora à les siens aussi ! baissez vous et vous allez voir les poissons sapprocher, si vous trempez votre main dans leau ils vont venir la toucher, faites comme moi
Faire comme elle, cest facile, cest de continuer à regarder les poissons qui lest moins, Lydie est accroupie de lautre coté du bassin
cest plutôt attrayant de voir ses cuisses pleines qui cachent a peine le triangle intime, dommage
mais lorsquelle pose un genou sur les dalles un paradis se dévoile
. Un tulle vert pomme recouvre un renflement qui laisse supposer quun bel abricot juteux se cache dessous, elle sait pertinemment que je vois son entrecuisse mais elle ne fait rien pour y remédier, au contraire elle balance son genou vers lextérieur, a tel point que je distingue quelques poils follets bruns qui séchappent sur les cotés
- Vous voyez ? Ils tètent vos doigts ! ça chatouille !
- Cest marrant ! heureusement que ce nest pas des piranhas, sinon adieu mon doigt !
- Vous savez, il existe des endroits ou l'on peut mettre ses doigts sans se faire mordre !
.
Je nose répondre à cette blague douteuse
alors elle trouve un autre prétexte pour revenir a la charge sur le sexe
- A chaque fois ça me fait la même chose, ce bruit de fontaine me donne envie de faire pipi !
- Ne vous gênez pas pour moi Lydie !
- Si je ne vais pas de suite aux WC cest ce qui va arriver ! venez vite
La femme se dirige précipitamment a lentrée du couloir, ouvre la porte des cabinets et, sans la refermer sassied sur la lunette, par décence je reste a lécart, si je venais en face me repousserait-elle ??? Une seconde plus tard le chuintement spécifique de lurine qui sépare les lèvres avant de tomber en pluie au fond de la cuvette enchante mes oreilles, jimagine sa minuscule culotte tirée à ses genoux écartés
- Il était temps ! ça fait du bien
- Si josais je demanderais bien la permission de faire pipi aussi, après vous bien entendu !
- Je messuie et vous laisse la place, je ne tire pas la chasse deau
Jentends tout : le bruit du rouleau de papier qui se dévide, le frottement du bouchon de feuilles ouatées sur les lèvres afin den éponger les dernières goutes, un bruissement de vêtement et
elle sort dans le couloir avec la jupe encore autour de la taille, je peux détailler à loisir la forme du string étroit qui habille ses hanches alors que sans se presser, avec ses deux pouces elle le remet bien en place sur sa motte
- Voilà ! La place est chaude, soulagez vous a votre tour Paul
Je suis obligé de la frôler en passant, elle soutient mon regard, je me suis retenu pour ne pas la prendre par la taille et lui rouler un patin denfer et le reste
comme elle, sans fermer la porte je me poste devant la cuvette, relève la lunette, extrait difficilement mon membre qui commence à prendre de lembonpoint, du coup il me faut quelques secondes avant que mon urine veuille bien sortir
Soudain son corps brulant se colle a mon dos, sa tête posée entre mes épaules un bras enserre ma taille tandis que lautre main cherche ma queue, surpris je la laisse empoigner ma bitte qui durcit a la vitesse de léclair
- Arrêtez Lydie jen mets partout
- Ne vous inquiétez pas cest moi qui nettoie
huuuummm quelle est dure et grosse
- Si dure que je ne peux plus pisser, lâchez moi et laissez moi tranquille, quelquun peut arriver !
- Aucune chance, tourne-toi vers moi Paul, ta bouche dit non mais ta queue dit oui
Elle tire sans ménagement que mon membre afin de me faire faire demi-tour, obligé de mexécuter si je ne veux pas quelle estropie ma bite, Lydie est déjà a genoux la bouche ouverte , que feriez vous a ma place ? Je ne suis pas de bois
- Avale salope !
- MMUUUUUUUUUMMMM !!!!!
- Doucement vorace
Ses lèvres vont et viennent sur ma hampe aussi vite quelle le peut, une main suit le mouvement pour minciter à décharger rapidement, lautre malaxe mes couilles, les yeux fermés japprécie le traitement quand une voix perçante nous ramènent a la réalité
- AH NON ! Ça ne va pas recommencer maman, tu veux foutre un autre couple en lair ???
- Pardon ma petite fille, je nai pas pus résister
ne le dit pas a ton père je ten supplie
- Elle a raison, ne dit rien Zora, tu ferais souffrir deux couples inutilement, cest un accident
- Il faudra quon parle tous les deux monsieur Paul
- Oui, quand tu voudras je texpliquerais comment cest arrivé
- Je vous appelle demain
Malgré la rapidité de cet échange verbal la fille na pas détaché son regard de ma queue qui rétrécie a vue dil, je la remets dans mon pantalon et quitte précipitamment la maison, Agnès ne sest pas inquiétée de mon absence
- Alors mon chéri tu es content de ton après midi ?
- Oui, très bien, mais nous allons rentrer maintenant
- Déjà ?
- Et si je te propose un petit câlin ?
- Ah ? ça change tout, mais je préfère un GROS câlin !
Un peu rassuré par la tournure des événements il me tarde de soulager mes burnes car lexcitation brutalement stoppée remonte à la surface, je me serais bien tapé la voisine, finalement cest ma femme qui en profite!
Le lundi matin ma femme a peine partie au boulot que le téléphone sonne
- Monsieur Paul ? cest Zora, auriez vous un moment à maccorder ?
- Ah ! tu ne lâche pas le morceau sacrée têtue ! bon, je viens ou tu viens ?
- Venez, traversez la rue discrètement, je préfère que personne ne vous vois car je suis seule a la maison et les mauvaises langues pourraient jaser
- Cest daccord, je vais raser les murs !
La porte est entrouverte sans doute pour méviter de sonner et de poireauter devant lentrée
- Tu es là Zora cest moi, Paul
- Je suis dans le salon !
Dans le salon Zora mattend, un large sourire éclaire son visage, elle savance vers moi pour me faire la bise, je me penche et pose mes lèvres sur sa joue, sans crier gare elle se pend a mon cou et dévie dun coup, nos lèvres se joignent, sa langue vivace entre dans mon palais et joue avec la mienne, jessaie de la décrocher mais telle une sangsue elle est ventousée a ma bouche, je dois la repousser avec force pour stopper ce baiser
- Mmmmuuummmmhuummmmm ! ARETTE !! Que fais-tu Zora ? Tu es devenue folle ?
- Je ne vous plais pas ? vous préférez baiser ma mère ?
- Mais je ne veux pas baiser Lydie enfin !
- Mais oui ! si je nétais pas arrivée vous la preniez debout dans ce couloir, je me trompe ?
- Mais oui, tu fais fausse route
- Vous avez vu son cul hein ? et ses seins ? les miens ne sont-ils pas plus beaux ? regardez
.
Elle soulève son top et le passe par-dessus sa tête, une paire de seins magnifiquement pointus sautent à mes yeux
- Et ça ? Elle ne vous fait pas deffet cette chatounette emprisonnée dans ce string aguichant ? vous voulez lôter vous-même ou bien
- Arrête Zora
- Sinon ? vous allez me violer ? prouvez-moi que vous ne bandez pas à cet instant même et je vous laisse repartir, alors ?
- Je
je
oui je bande, quel homme naurait pas devant une petite dévergondée comme toi ?
- Sort ta queue Paul, je vais finir ce que maman nas pas eu le temps de faire hier
Que faire devant une jeune fille en string qui se contorsionne comme une stripteaseuse et vous fait des avances ont ne peut plus claires? En la fixant je défais la boucle de ma ceinture, puis je tire sur la fermeture éclair afin de libérer ma queue en boule dans mon boxer, mon pantalon en tire bouchon a mes chevilles elle se précipite pour attr mon membre par dessus le slip tendu à craquer
- Quelle belle anguille ! Cest bien ce que jai eu le temps dapercevoir hier ! Tu permets Paul ? Je vais la libérer la pauvre, assied toi sur le divan
- Suce et surtout avale tout
- Cest bien mon intention ! huuuuuummmmmmmmmmmm quelle est bonne cette grosse perle sur ton gland ! tu me bouffe après ?
- Je vais te bouffer, te baiser, te sodomiser
- Et maman ? tu la laisseras tomber ?
- NON ! elle subira le même sort dés que possible
- Ho après tout je men fous ! baise là autant que tu veux, papa ne la touche plus
La tête entre mes mains je lui enfonce ma queue dans son gosier à une vitesse infernale sans me soucier de ses hauts le cur, en deux minutes je me soulage à grands jets dans sa gorge, mon sperme ressort par gros paquets de sa bouche et tombe sur mon pubis
- Ça cest une pipe ! Ce nest pas la sucette que je fais à mon copain !
- Et tu vas voir la différence de ramonage de ta chatte petite salope ! vire ce maudit string et allonge-toi que je mange le minou, remonte tes genoux, écartes-les, Wooouuuah ! je vais téclater la craquette avec ma trique !
- Tu feras doucement hein ? elle est grosse
- Fallait pas me provoquer jeune pucelle, tu te souviendras quil ne faut pas réveiller un retraité qui sommeille
Je découvre une touffe de poils noirs lézardée par une faille rose et nacrée que je finis douvrir de mes pouces, son parfum intime qui sent bon la femme accroit la raideur de ma queue, je plonge ma langue dans ce magma qui suinte au bas du trou pour disparaitre entre ses fesses, par réflexe elle me fait un collier de ses jambes, jaspire avec bruit une lèvre après lautre puis je mordille son clitoris à moitié émergé de son capuchon, je dois la maintenir avec force pour pouvoir continuer à déguster sa moule, son corps tremble , elle se tend , un hurlement va sortir dun moment a lautre de sa bouche , pour accélérer le processus jenfonce un pouce dans son anus devenu très souple, Zora décolle carrément jen prend plein le visage, cest assez pour le broutage de minette, je me redresse et avant quelle nai eu le temps de réaliser je plante puissamment mon sexe dans ce volcan qui continue de cracher sa lave
- Oooooooohhhhh que cest booooooonnnnnnnnn ! Baise-moi encule-moi je suis prête a tout !
- Pour aujourdhui ce sera seulement dans la chatte, je dois me réserver pour ta mère demain
A SUIVRE
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