Fete Du Voisinage Scabreuse .... 3/3
Comme promis ma voisine Lydie a décidé de faire ami-ami avec ma femme pour deux raisons : accumuler les raisons de nous côtoyer afin que je puisse trouver des prétextes pour la voir et la baiser
ainsi que sa fille Zora, la deuxième raison est quAgnès a envie de tester lamour au féminin chose que Lydie désire aussi expérimenter, donc tout devrait bien se dérouler
Pour des raisons pratiques je laisse la parole à Lydie
Bonjour, je suis Lydie, la maitresse de ce diable dhomme qui a quinze ans de plus que moi, mais qui me fait lamour comme un dieu, ou plutôt comme un démon ! Jadore sa façon de me forcer, fait-il la même chose avec ma fille Zora ? Ceci dit elle est majeure et vit sa vie
Aujourdhui jai rendez vous avec Agnès, la femme de Paul, théoriquement pour échanger des recettes de cuisine ? Mais la véritable raison cest que je suis chargée de la décider à sauter le pas entre femmes, comme elle le désire aussi fortement que moi ça ne devrait pas causer bien des soucis
le seul hic est que jai sur la conscience des relations extraconjugales avec son mari, devrais-je lui avouer ?
Plus âgée que moi elle est encore très désirable ce nest donc pas une corvée, Agnès me reçois avec le sourire et une tenue décontractée, robe ample et légère, sans doute sans soutien-gorge, parfumée et maquillée mais pas trop, jai un petit rire intérieur car jai à peu prés la même tenue !
- Entre Lydie, nous nous connaissons assez pour nous tutoyer, ont sembrasse ? à moins que ça ne vous pose un problème ?
- Aucunement Agnès, jallais te le proposer
Malgré notre décontraction affichée, je suis certaine quelle éprouve la même gêne que moi
et sans doute le même fond de slip mouillé
- Assied toi dans ce fauteuil je vais faire un café
- Bien serré, jen ai besoin
- Je laime aussi ainsi
Je profite de son absence pour étaler ma robe très haute sur mes cuisses, à la limite de la décence, les genoux croisés laissent sans doute apercevoir le triangle rouge en dentelle de mon brésilien, ainsi les jalons sont posés, pas déquivoques sur mes intentions
Agnès revient deux tasses a la main, en les posant sur la table basse elle ne quitte pas mes cuisses de vues
- Tu as de belles jambes Lydie
- Vu tes mollets bien galbés le reste doit être attrayant, montre moi ?
- Je naime pas mes genoux
regarde, ils ne sont pas cagneux ?
- Tu plaisante ? remonte ta robe encore un peu plus haut
ah oui ! tes cuisses sont justes comme il faut, je trouve les miennes creuses alors que je suis plus jeune que toi
- Alors comparons nos cuisses ! lève toi et fait comme moi
Sans complexes Agnès remonte sa robe jusquau pubis, je suis obligée de limiter, je mouille, je le sens a la dentelle qui devient froide dhumidité, elle va certainement voir la tache oblongue qui tache mon brésilien
- Tu es belle Lydie, je dois te faire un aveu, mon mari doit être quelque part dans la maison, mais il ne nous dérangera pas quoiquil arrive
- Il va donc nous épier ?
- Cela te dérangerait ?
- Pas le moins du monde
- Je suis plus rassurée si je le sais prés de moi, ainsi je serais plus audacieuse
- Approche-toi
Debout face a face nous nous toisons, laquelle va faire le premier pas ? Je me baisse afin davoir le visage a hauteur de son entrejambe, un effluve de sexe en pleine effervescence monte a mes narines, elle laisse retomber sa robe sur ma tête, sans doute pour se donner bonne conscience si jose maventurer plus avant entre ses cuisses, ses mains plaquent mon visage sur son mont de vénus et me donne le feu vert en écartant ses pieds et tend son bassin vers moi, les deux mains plaquées sur ses fesses je la maintient afin de lui mordiller le tulle de son mini string bleu déjà imprégné de cyprine, elle sursaute lorsque mes dents effleurent son clitoris
- Jai honte du plaisir que tu mapporte Lydie
- Je vais ôter ta culotte
- Allons dans la chambre
- Ton mari nous y attend ?
- Ne cherche pas à savoir où est ton amant
- Tu sais tout ?
- Tu es bien placée pour savoir quune femme flaire ces choses là
- Javoue
tu dois être comblée, il sait comment faire jouir une femme, il est très viril
- Il ta baisée à la limite du viol ?
- Oui, et cest que japprécie le plus dans un rapport sexuel
- Tu veux que je tattache sur notre lit ? tout est prévu, menottes et ficelles !
- Cest vrai ? chouette ! vous devez bien vous amuser
- Si tu es prête à mobéir et a me faire confiance déshabille toi entièrement salope !
Curieuse de connaitre ce genre de relation entre femmes jobtempère tandis quAgnès sort son attirail de la table de chevet, tout y est, bandeau pour les yeux, menottes protégées de fourrure, foulard en guise de ficelles, en prime un slip doù dépasse a lextérieur un énorme sextoys noir très réaliste et un moins gros a lintérieur
- Je vais tattacher et te bouffer avant de te baiser avec ça, il est beau nest-ce pas ?
- Je me demande pourquoi vous vous servez de ça étant donné que ton mari est quand même bien monté et très endurant pour son âge ?
- Tu ne te demande pas si cest pour lui ce gadget ?
- Tu encule Paul avec ça ??
- Ne lui dit jamais que je tai confié ça, assied toi sur ce coussin afin de surélever ton cul, tend les bras au dessus de ta tête
ce nest pas trop serré ?
- Ça va à condition que je ne me débatte pas
- Écarte les jambes autant que tu peux
muuuuuuh quelle vue !
- Tu es aussi vicieuse que ton mari ?
- Peut être pire
- Détache-moi de suite, tu vas me faire souffrir !
- Trop tard, je vais te faire payer ton cocufiage en tenculant salope !
- NON ! NON ! fait pas ça Agnès ! Paul me la fait, jai eu mal !
- Il est passé par là aussi ce salaud ? Il me le paiera plus tard !
Cest finit, mes yeux sont recouverts, je ne vois plus rien, nue, a cheval sur moi Agnès effleure du bout de ses doigts tous mes endroits les plus réceptifs, cou, pointes de seins, entrecuisse, sillon fessier et fente de ma vulve qui se craquelle, exacerbée jattends le moment ou elle va me faire subir les pires outrages
Son souffle chaud caresse ma chatte en feu avant que sa langue ne prenne le relais, rassurée sur ses intentions je me détends et moffre à lappendice buccal de ma maitresse qui virevolte sur mon clito
- Tu es une vraie chienne en chaleur Agnès
FAIT MOI DU BIEN-OUUUUUUUIIIIIIIII !!
Ai-je bien fait de dire cela ? Ses doigts entrent en fonction, combien en a-t-elle ? Ma chatte et mon anus sont investis, jai beau me tortiller je ne peux échapper a lintrusion virile de ses phalanges
- Calme-toi, je te prépare pour baiser ta moule et ton petit trou en alternance, juste le temps denfiler mon jouet et je suis a toi
huuuuummmmm ! Ne te plains pas cest toi qui va bénéficier du plus gros bout, celui que jai dans le vagin ne sert qua maintenir le tout bien positionné, plus je vais taper fort dans ton con plus cela va se répercuter dans ma minette et me faire du bien aussi, avec un peu de chance nous jouirons ensembles !
- Baise-moi connasse !
- Ne jure pas ainsi, Paul est sans doute dans le couloir après nous épier
- Ferme la porte !
- NON !
Le froid du gode me fait tressaillir, mais après une minute je transmets ma chaleur intime a ce bout de silicone qui mélargit fortement le col, pour la narguer je vais même au devant de ses coups de boutoirs, voyant ceci elle retire brutalement le jouet de ma vulve et le pointe sur mon anus que jessaie de resserrer, peine perdue, ma cyprine fait office de lubrifiant, dans un hurlement atroce je me fais sodomiser
A-t-elle dit vrai ? Paul les observe-t-il ? Contemple-t-il sa maitresse dans cette position humiliante ?
Il est effectivement dans le couloir, courbé en deux pour être plus discret, le pantalon aux chevilles, il tient sa queue bandée à pleine main et la manipule lentement en espionnant les deux femmes quand soudain une main fine passe entre ses cuisses pour saisir sa paire de couilles, il laisse échapper un grognement de stupéfaction qui heureusement passe inaperçu des deux amantes
- Chuuuuut ! Cest moi, Zora, je suis entrée par le garage ouvert car personne ne répondait a la porte
- Que veux-tu ?
- Où est ma mère ? je la cherche partout, cest ta femme qui se plaint ainsi ?
- Ne regarde pas
suit moi dans le garage
- Je reconnais la voix de ma mère
.
- Ce quelles font ne te concerne pas
- Et toi tu joue les voyeurs ? tu bande dur dit donc, jai cru voir Agnès affublée dun drôle de slip ? elle baise maman ?
- Encore une fois laisse tomber, tu a faillit couper mon envie de bander, mais puisque tu es là tu vas me soulager
approche
tu nas pas de petite culotte ?
- Je te croyais seul et je venais voir si tu ne pouvais pas men mettre un ptit coup vite fait
- Ça te dit sur laile de la voiture ?
- Tu me mange sur laile et tu me prends dans tes bras pour me baiser, tu es costaud, je ne pèse que quarante cinq kilos
- Remonte tes fringues et allonge-toi sur le capot, laisse moi humer ton abricot, tes poils sont humectés de mouille, ton anus a déjà servi ?
- Non, jamais, je nose pas le faire
- Sil est bien préparé ça passe tout seul
- Tu as une trop grosse bite Paul
- Si elle rentre dans ton vagin elle rentre aussi entre tes reins
- Enfonce ta langue dans mon cul pour lassouplir, ensuite met moi deux doigts si je nai pas mal nous essaierons
- Cest comme si cétait fait, écarte toi bien
- Aaaaaaahhhhhooooooooohhhhhhhhhoooooouuuuuuuiiiiiiiii !!!
Bouffer une jeune chatte cest le paradis, javale tout ce que sa craquette recrache sans discontinuer, le bout de mon pouce juste posé sur sa rondelle mindique quelle se détend car il entre de quelques millimètres dans son fondement, je choisis dy enfoncer ma langue pointue et dure comme un mini sexe, la configuration de lentre jambe veut que jai le nez planté dans sa vulve
- Ouuuuuuuuuuuuhhhh que cest booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn ! Vas-y, vas-y !!
excuse moi, je suis tellement détendue que jai lâché un pet !
- Tu va te pencher sur le capot je vais te dépuceler lanus
- Toi au moins tu es un homme ! un vrai, qui sait convaincre les femmes, quand je vais raconter ça aux copines elles vont crever de jalousie, tu veux que je leurs parlent de toi ? !
- Pour linstant ta mère et toi me suffisent
- Va-y Paul, suis-je assez cambrée ?
- Je vois ta rondelle qui frémit dimpatience, tu devrais te doigter la chatte ça atténueras la douleur
- Tu entends ? ma mère gueule de joie !
- Tu va lui faire écho ma belle Zora !
Je pèse sur le trou qui petit à petit avale mon gland sans que la fille ne pousse un cri, elle se contente de serrer ses sphincters lors de la brulure, je profite dun instant de détente pour introduire quasiment tout mon membre, elle pousse un long râle et met une main entre nous deux pour stopper tous mouvements
- Attend ! Laisse-moi mhabi
- Emmanche-toi quand tu seras prête, caresse ton clito
- Huuuuuummmmmmm ça me fais du biiiieeeeeennnnn, bouge dans mon cul Paul, je vais jouir
- Essaie de le faire en silence sinon ma femme va rappliquer
- Défonce-moi, je me mords le poignet
Une main sur le haut de ses jeunes cuisses, lautre entre ses cuisse pour fourrer quelques doigts dans son vagin qui dégouline le long de ses jambes, je vais et je viens de plus en plus vite entre ses reins, la voiture tangue, son souffle se fait court, sa main sagite a une cadence infernale sur son bouton damour, elle explose en silence, son anus se resserre tellement sur ma hampe que je suis bloqué en elle, deux aller retours pénibles vu la contraction de lanus et jéjacule dans son boyau, Zora, essoufflée, saffale sur le capot , ma bite ramollie glisse de son cul désormais ouvert qui crache dénormes bulles de foutre
- Je te laisse repartir, je vais me laver avant de rejoindre les femmes
- Gros cochon tu veux te faire maman aussi ?
- Ça métonnerait quun bout de silicone les satisfasse, rien de vaut une bonne queue !
- A bientôt Paul ?????
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