Drôle De Voisinage,

Je m’appelle Justine, j’ai vingt ans, et je viens d’emménager dans une nouvelle ville avec mon compagnon. Je suis vendeuse dans un magasin de prêt-à-porter, et lui, est encore étudiant en fac de médecine.

Nous venons de prendre en location une maison plutôt sympathique dans un quartier tranquille.
Le déménagement se passe plutôt bien, nous essayons de prendre quelques contacts avec nos nouveaux voisins qui pour la plus part sont retraités hormis un trentenaire qui est dans la maison mitoyenne de la nôtre.

Pour faire plus ample connaissance, nous invitons nos voisins les plus proches à notre crémaillère, on ne sait jamais, on peut toujours avoir besoin de quelque chose ou d’un coup de main. Je crois beaucoup en la solidarité donc on ne sait jamais.

Trois couples de retraités, un sexagénaire célibataire, Michel, et le trentenaire avec sa copine, Robin et Florence participent à cette soirée, tout le monde est plutôt sympathique. Hormis Michel que je soupçonne de me dévisager. Il a souvent les yeux dans mon décolleté ou sur mes fesses, ce qui a tendance à énerver mon chéri. Il n’est pas ment jaloux, mais tout de même, le respect est primordial pour avoir une ambiance sympathique.

Il est presque vingt-trois heures, les retraités partent, et Michel aussi. Le couple de trentenaire avec qui nous avons eu plus de contacts, restent avec nous. Robin étant habitant de la rue depuis sa naissance pourra m’informer des petites subtilités du quartier. Ils nous expliquent que les anciens sont très tranquilles et serviables.

Thomas mon compagnon lui pose des questions sur les intentions du sexagénaire, il est un peu inquiet par les regards lubriques que celui-ci à envoyer toute la soirée sur le corps de Justine.
Robin se lance alors dans un monologue de cinq minutes, en nous expliquant qu’il a tendance à avoir des penchants de voyeurisme, qu’il aime les femmes en général. Il a d’ailleurs souvent surpris à sa fenêtre en train de regarder en direction de son volet de chambre à chercher la moindre ombre féminine.

Il me donne même un conseil en me disant qu’il faut absolument éviter de passer devant la fenêtre de la chambre qui donne sur la rue en sous-vêtement ou autre, car il en profitera à coup sûr, il deviendra même un peu lourd puis tournera autour de moi et tentera même une approche si l’occasion se présente.

Je le remercie pour les renseignements, nous nous faisons une accolade, puis nous nous quittons, il est presque minuit, c’est l’heure d’aller au lit.

Au bout d’une demi-heure, j’entends des cris de jouissance à travers les murs, décidément, c’est la soirée, mais je comprends vite qu’il s’agit de nos voisins mitoyens qui se font plaisir, si je peux me permettre de dire ça comme ça. En même temps, je comprends tout à fait Florence, car Robin est un garçon très attachant, un peu rond, mais très sécurisant avec ses épaules carrées. Un peu comme un rugbyman.

J’envie presque ma voisine, sachant que Thomas dort les poings fermés, je tente une première approche, je glisse une main sous la couette, caresse le bas de son ventre, mais aucune réaction hormis un soupir. Je continue mon approche délicatement, en touchant sa verge toute molle.
Mais toujours rien.

Je décide de sortir du lit, et part en direction du salon, à cette heure-là, il doit bien y avoir un film érotique qui passe à la télévision. Je zappe, et tombe sur ce que je souhaitais voir. Je commence à me toucher les seins, à me caresser le bas du ventre, je ressens quelques petits picotements, mais rien ne peut remplacer le sexe d’un homme. Je continue, je caresse mon clitoris, je tremble un peu, puis j’intègre deux doigts dans mon vagin. Je fais des allers-retours rapides, je commence légèrement à mouiller, puis à trembler de désir.

Je repense aux regards de Michel, à sa passion pour le voyeurisme, et à Robin qui vu les cris de sa copine ne doit pas être un mauvais coup. Et je me surprends à jouir de cette situation, moi qui suis une copine fidèle et aimante. Je retourne dans mon lit, puis m’endors rapidement.