Histoire De Marie Nylon (Nouvelle Version Revue Et Aérée) Récit Participatif.

Ceci est une histoire à écrire à plusieurs. J'ai consacré le premier chapitre essentiellement à décrire la personnalité de notre chère petite Marie, qui sera l'héroïne des aventures les plus folles. Ca commence très doucement et très gentiment (pas vraiment de sexe dans cette première partie) mais ça ne doit pas le rester. Bien sûr, il faut respecter la continuité de la personnalité de Marie (personne réelle mais dont le nom a évidemment été changé) avec tous ses interdits et ses tabous, et ne pas la transformer en une fieffée salope en quelques lignes. Mon idée première est qu'elle se mette à faire des rêves (ou cauchemars) qui ne lui ressemblent pas, du moins qui ne ressemblent pas à la fausse idée qu'elle se fait d'elle même, et au cours desquels pourrait enfin s'exprimer la Marie refoulée pendant tant d'années... ET/OU qu'elle subisse une séance de sexe intense et non consentie (ou involontairement consentie sous l'effet de l'alcool) pendant laquelle elle expérimente des orgasmes inattendus (ou pas).
Mots clés et thèmes : Fétichisme nylon, clothed sex, gros seins, viol, sexe brutal, racailles, interracial, bbc, cocufiage.

Introduction : présentation de Marie.

Marie était professeur dans un quartier qui n'était pas des plus tranquille, surtout pour quelqu'un d'aussi douce qu'elle. Mais telle était Marie.

De nature généreuse, elle préférait consacrer son temps à aider les gens en difficulté plutôt que de se la couler douce dans un établissement mieux fréquenté.

Elle n'était pas vraiment belle de visage et était loin d'avoir le physique d'un mannequin de magazine (elle était beaucoup trop petite pour ça), mais ça n'empêchait pas la plupart des hommes qui la connaissait de la trouver attirante. Elle aurait d'ailleurs été très étonnée si on lui avait dit que de nombreux hommes fantasmaient secrètement sur elle et que beaucoup se masturbaient en l'imaginant dans des situations insolites, notamment ses élèves.

Elle était petite, ne dépassant pas le mètre cinquante, chaussait du 35 et demi et avait une petite voix fluette. C'était ce coté petit bout de femme qui plaisait tant à ses admirateurs secrets. Les mots 'mignonne', 'rigolote' ou 'adorable' étaient plus souvent employés pour la décrire que 'belle'.
Malgré sa petite taille, ses seins était très généreusement développés. Elle avait un tour de poitrine atteignant les 95 centimètres et elle portait des bonnets de taille C. Étant très petite et plutôt mince, elle trouvait que sa poitrine était disproportionnée par rapport au reste de son corps et c'est pourquoi elle n'aimait pas du tout cette partie de son anatomie. Ça ne l'empêchait pas de porter de larges décolletés offrant une vue imprenable sur cette poitrine avantageuse.

Car Marie adorait être regardée et s'habillait toujours de façon à attirer le regard. Elle affirmait que c'était juste agréable de se sentir belle, ou plutôt 'jolie' comme elle aurait dit elle même, mais que ça s'arrêtait là. En réalité, c'était beaucoup plus que ça. Car Marie ne cherchait pas seulement à être 'jolie', mais plutôt à être attirante et à susciter le désir.

N'allez pas croire que Marie était secrètement une cochonne qui cachait son jeu au reste du monde. C'est avant tout à elle même qu'elle le cachait. Elle avait une multitude de barrières psychologiques qui s'étaient solidement enracinées dans son esprit durant toutes ses années d'existence, c'est à dire presque 40 ans. Derrière cette forteresse psycholgique étaient remisées toutes les pensées qu'elle ne voulait pas voir, les désirs de violence, de sexe et de décadence. Son comportement plein d'innocence, et parfois même in, lui permettait de tromper une partie de son entourage autant qu'il lui permettait de se mentir à elle même.

Pourtant, nombreux étaient ceux qui pensaient que sa façon de s'habiller ne trompait pas et ils la soupçonnaient d'être une sacrée cochonne dans l'intimité. En tout cas, c'est ainsi qu'ils aimaient se la représenter dans leurs rêves masturbatoires.
En réalité, Marie n'avait jamais été très loin en matière de sexe. Elle s'était toujours contenté de séances de sexe plutôt classiques, basées principalement sur la pénétration vaginale et la position du missionnaire. Elle n'aimait pas se mettre à quatre pattes pendant l'amour car elle trouvait ça dégradant et n'avait jamais pratiqué la sodomie. Les quelques petits copains qu'elle avait eu jusqu'à présent, floués par son tempérament doux et innocent, n'avaient jamais été très insistant là dessus, n'osant pas la choquer. Cela correspondait à l'image douce et timide de ce petit bout de femme que de ne pas se laisser aller à de telles pratiques, comme de se faire prendre à quatre pattes comme une animale.

Elle s'adonnait parfois à la fellation mais plus par générosité envers son compagnon que par réelle envie, en tout cas c'est ce qu'elle disait, même si chaque fois qu'elle le faisait c'était toujours de son propre chef et jamais sur la demande de l'heureux bénéficiaire. Ce pretexte de 'faire plaisir' lui permettait de s'accorder avec l'image qu'elle souhaitait donner aux autres et, bien sûr, l'image qu'elle voulait se donner à elle même.

Elle ne s'était jamais masturbée, même quand elle était plus jeune, n'avait jamais ouvertement fantasmé sur d'autres personnes que celles avec qui elle était en couple, n'avait jamais été infidèle et même, ne faisait presque jamais de rêves érotiques. Quand elle en faisait, elle préférait ne pas en parler et tenter de les oublier, se sentant honteuse.

Il y avait cependant quelques pratiques inhabituelles dont ses partenaires pouvaient se régaler sans retenue et qui, pour des raisons mystérieuses, ne semblaient pas extravagantes aux yeux de Marie, elle qui était habituellement si prude et réservée en matière de sexe.

L'une d'elle était sa façon frénétique de branler les garçons, même si branler était un mot qu'elle n'aurait jamais employé. La raison pourrait en être que, dans l'esprit de Marie, la masturbation était rangée dans la catégorie 'pratique normale' et non pas dans la catégorie des pratiques déviantes.
Elle pouvait donc s'y adonner sans se sentir mal à l'aise vis-à-vis de son partenaire et surtout vis-à-vis d'elle même.

Ainsi, c'est quand elle prenait le sexe tendu d'un homme dans sa petite main qu'elle exprimait tout son potentiel de perversité, sans même s'en rendre compte. Elle n'était pas du genre à échanger des anecdotes sexuelles avec ses copines, encore moins du genre à regarder des films pornos, si bien qu'elle n'avait aucune idée de la façon dont s'y prenait les autres femmes et qu'elle ne se rendait pas compte de ce que ses branlettes pouvaient avoir d'impressionnant pour un non averti.

Il n'y avait pas de préliminaires, pas d'introduction inutiles sous formes de caresses, contrairement à ce que la douceur habituelle de Marie pourrait laisser présager. Aussitôt que le dard qu'elle tenait fermement dans sa petite main se mettait à durcir, elle le secouait sans vergogne, faisant balloter les boules dans tous les sens, serrant de toutes ses forces, accélérant toujours plus, serrant toujours plus fort, à la limite de la douleur. Tout homme ayant eu un jour la chance de se faire branler furieusement de la petite main de Marie ne pouvait que s'ennuyer avec les autres partenaires quand il était question de masturbation.

Son autre petit travers, mais encore une fois elle ne pouvait pas s'en rendre compte car elle n'avait aucun moyen de se comparer aux autres femmes pour les choses sexuelles, c'est qu'elle aussi aimait se faire masturber de manière plutôt musclée. Elle n'était pas du genre à gémir la bouche grande ouverte pour exprimer son plaisir ou à demander d'y aller plus fort, elle aurait été trop gênée d'agir ainsi, mais ses partenaires n'avaient aucun mal à comprendre qu'ils pouvaient y aller de bon coeur et qu'elle prenait clairement son pied quand c'était vraiment fort .

Ils leur suffisaient d'entendre les halètements étouffés de Marie qui accéléraient d'autant plus qu'ils agitaient leurs doigts avec ardeur.
Elle était particulièrement réceptive au mouvement de levier de bas en haut ou de gauche à droite plutôt que par les allers retours en ligne droite. Son vagin, assez profond pour une femme aussi petite, se mettait a mouiller sans retenue lorsqu'il se faisait dilater dans tous les sens et sans ménagement, avec un doigt, deux doigts, trois ou même quatre doigts. Quand elle mouillait vraiment, il y avait largement moyen d'y glisser une main, même si personne n'avait jamais tenté d'aller jusque là, par peur de sa réaction.

Son troisième pécher mignon, c'était l'amour dans les endroits publiques. Bien sûr, ce fantasme restait dans les limites des barrières psychologiques qui lui entravaient l'esprit.

Le plus loin qu'elle avait été dans cette voie, c'était d'avoir un rapport expéditif, avec son copain de l'époque, dans un wagon de train quasiment vide de passagers. Une seule fois, elle avait admise à demi mots que ce qui lui plaisait dans cette idée, c'était le risque de se faire surprendre.

En réalité, Marie était une véritable exhibitionniste refoulée. Elle ne l'aurait jamais admis et pour cause, c'était le genre de chose qu'elle s'interdisait de penser d'elle même, mais sa façon de s'habiller parlait pour elle.
Il suffisait de jeter un regard à sa garde robe pour constater le paradoxe flagrant entre une femme si timide à propos des choses sexuelles et les tenues qui y étaient suspendues.

Robes en tous genre plus courtes les unes que les autres, toutes hyper moulantes et toutes avec un décolleté si largement ouvert que même les plus cochonnes de ses copines (qui consideraient toute Marie comme l' sage du groupe) n'auraient jamais osé porter.

Des jupettes à foison, de toutes les couleurs et de toutes les coupes, mais uniquement au format mini. Elle avait une préférence pour les jupes courtes à volants ou les jupes plissées, ce qui correspondait bien à son coté un peu gamine.

Il y avait des collants de toutes sortes, dont certains étaient imprimés de motifs simulant la présence d'élastiques de bas nylon brodés, de jarretières en dentelle ou de porte-jarretelles, ce que marie considérait comme étant le summum du 'mignon'.

Il y avait aussi un large choix de bas nylons, dont plusieurs avaient de larges élastiques brodés façon rococco, la plupart de couleur blanche, crème ou chair.

Enfin, quelques ensembles de lingerie de style victorien, avec grands renforts de dentelles, de froufrous et de petits noeuds en soie.

Dans l'esprit de Marie, tout ceci n'était qu'un jeu innocent, comme une petite fille jouant à s'habiller en princesse pour se faire jolie. D'ailleurs, chacune des ces tenues comportait toujours un petit élément qui le rendait 'mignon', comme un petit coeur, des motifs en forme de fraises ou ce genre de chose.
En fait, tout ce qui permettait à Marie de voir avant tout l'aspect amusant et adorable de ses tenues, plutôt que l'aspect diablement sexy et provocateur.

Elle aimait aussi certains aspects du style BCBG, ce que d'aucun appelle le style bourgeoise. Elle était très raffinée dans sa façon de s'habiller, si bien que ses tenues étaient toujours de savants mélange entre le style mignon et le style bourgeois.

Elle n'était pas de nature dépensière, sauf en ce qui concernait les vêtements. Elle pouvait dépenser sans retenue pour acquérir de longs manteaux bordés de fourrure, des gants en cuir véritable ou des chaussures à talons hors de prix dénichées dans des magasins chics.

Quand il arrivait que certains hommes aperçoivent par accident le rebord brodé de ses bas nylon ou la petite pincette qui les retenaient à un porte jarretelle (ses jupes étaient bien assez courtes pour que ce genre d'accident arrive régulièrement) ou qu'ils entrevoient, par l'ouverture de ses longs manteaux de bourgeoise, ses jolies jambes galbées recouvertes de nylon et terminées par des pieds cambrés par de petites chaussures à talons, ils n'avaient pas des pensées aussi innocentes que celles de Marie. Surtout que la taille réduite de ses jupes pouvaient donner l'impression qu'elle ne portait rien en dessous de son manteau excepté des collants.

Marie avait un copain mais ces derniers temps, prise par son travail, elle le voyait très peu.

CHAPITRE 1.

Marie portait un énorme sac de courses rempli à ras bord. Elle avait décidé de faire de grosses provisions pour ne pas avoir à retourner au supermarché avant un bon moment. La semaine s'annonçait chargée et, entre le travail et les réunions pédagogiques, elle savait qu'elle n'aurait ni le temps ni le courage pour ça.

Elle marchait entre la sortie du magasin et sa voiture, le gros sac de courses lui battant la jambe gauche, quand la bretelle en plastique du sac lâcha d'un coup. Les provisions se répandirent sur le sol et une petite bouteille de vin roula jusqu'aux pieds de deux jeunes hommes qui, à en juger par leur style 'racaille', semblaient tout droit droit sortis de leur cité de banlieue.

L'un d'eux, un grand noir portant une casquette, la ramassa et la tendit à Marie. Elle le remercia et se baissa pour ramasser le reste de ses provisions. Les deux racailles échangèrent un regard furtif et se baissèrent à leur tour pour l'aider.

A eux trois, ils parvinrent à tout emmener jusqu'à la petite voiture de Marie en un seul voyage. Ils déchargèrent les provisions en vrac dans le petit coffre et elle les remercia.

Elle portait un pull orange moulant, une jupette grise plutôt courte, des collants noirs et des petites chaussures à talons et à bouts ronds. D'aucun aurait qualifié sa tenue de 'sexy' mais Marie, avec toute l'innocence qui la caractérisait, aurait plutôt dit que c'était 'mignon' si on lui avait demandé. Bien sûr, elle savait l'effet que ça pouvait avoir sur les hommes qui la croisaient, mais l'important pour elle était de se sentir jolie.

Les deux racailles restaient plantés là après que Marie les eût remerciés, se contentant de la regarder. Ils ne se gênaient pas pour jeter des coups d'oeil à ses jolies petites jambes bien faites, ses hanches dont la courbe était bien visible sous son pull serrant, sans oublier ses seins qui, même si Marie portait des soutiens-gorge aplatissant pour tenter de minimiser leur taille, formaient un impressionnant relief sous son pull.

Marie se sentit mal à l'aise d'être ainsi observée, même si en même temps, elle ressentit la légère sensation de picotement au niveau du bas ventre, plutôt agréable, qu'elle ressentait chaque fois qu'on la regardait comme ça. Marie se disait que c'était une sensation dû à la simple satisfaction d'être considérée comme jolie. Rien de sexuel là dedans, bien entendu.

Elle les remercia encore une fois, surtout pour mettre fin à ce silence gênant, et fit le tour de sa voiture pour y monter.

Ils ne décrochèrent pas du regard pendant que Marie montait dans sa voiture. Elle passa une jambe à l'intérieur et garda l'autre tendue à l'extérieur pendant qu'elle se penchait pour introduire la clef dans sa commande. Marie aurait répondu qu'elle se comportait naturellement si on le lui avait demandé, entrant dans sa voiture comme elle le faisait tout le temps, en enfilant d'abord une jambe et se penchant de coté en gardant l'autre pied sur la chaussée pour mieux voir le trou de la clef, et elle l'aurait sincèrement pensé.

La vérité c'est qu'inconsciemment, elle voulait garder cette sensation qui lui chatouillait le ventre quelques secondes de plus, en laissant voir sa jambe un peu plus longtemps. Les deux racailles ne se privèrent pas pour observer le galbe parfait de cette jambe tendue qui se laissait observer. Grâce à la mini-jupe, ils pouvaient profiter des courbes harmonieuses de la jambe jusqu'en haut de la cuisse.

Marie portait un de ses collants imprimés qui donnait l'illusion de bas nylon retenus par un porte jaretelle. Comme la jupe se retroussait légèrement, ils purent même apercevoir le faux élastique brodé sur le collant, ainsi qu'un bout de la fausse bretelle de porte jarretelle qui en partait et allait se perdre sous la jupe. Ils échangèrent un regard entre eux, mais surtout un sourire.

- ça va aller m'dame? demanda le noir en élevant la voix pour que Marie puisse l'entendre de l'interieur.
- oui, merci, répondit Marie avec un sourire. Au revoir.

Marie souriait tout le temps, c'était dans sa nature. Elle glissa sa jambe à l'intérieur et claqua la portière avant de démarrer. Les deux racailles restèrent sur place en regardant la voiture manoeuvrer et s'éloigner. Marie jeta plusieurs coups d'oeil dans son rétroviseur pour voir si les deux jeunes regardaient toujours.

Le plus innocemment du monde, Marie pensa : ''ils étaient bien gentils''. Elle se dit que c'était sans doute cette démonstration inattendue de gentillesse qui provoquait ces vagues agréables dans son ventre et elle en fût immédiatement convaincue.

La bretelle qui partait du parking pour rejoindre la route décrivait un U serré, si bien qu'après avoir tournée l'épingle, elle repassa au niveau du parking. Machinalement et sans s'en rendre compte, elle se recoiffa d'un geste de la main par deux fois avant de repasser devant les jeunes de banlieue qui n'avaient pas bougé d'un centimètre.

Marie s'apprêtait à leur faire un dernier signe de la main par politesse, comme il se doit. Elle fût coupée dans son élan en s'apercevant que l'un d'eux avait la langue sortie dans sa direction et la tournait dans le vide avec obscénité. L'autre, hilare, faisait un geste tout aussi obscène dans sa direction. Il formait un cercle avec le pouce et l'index d'une main tandis que de l'autre il faisait des allers retours explicites dans cet orifice imaginaire. Marie détourna vivement le regard, étonnée autant que choquée par ce retournement de comportement.

Pendant le bout de chemin qui lui restait à faire pour rentrer chez elle, la vision obscène du grand doigt noir allant et venant dans le cercle formé par les deux autres doigts lui revint régulièrement. ''Pfff, quelle bande de cons'' pensait elle à chaque fois que la vision lui revenait.

Elle se sentait en colère. Elle sentait aussi autre chose mais elle n'arrivait pas à déterminer ce que c'était. Du moins elle ne voulair pas déterminer ce que c'était.

''Ils t'ont mise en colère et tu sais comment tu es quand t'es en colère... t'as les idées confuses.'' pensa t-elle. Cette idée lui convenait parfaitement et elle n'alla pas chercher plus loin. En tout cas, c'est sur le compte de la colère qu'elle mit la sensation de chaleur étouffante qu'elle ressentait.

Elle ouvrît sa vitre pour laisser entrer un peu d'air frais. Elle passa un doigt dans l'encolure de son décolleté et le secoua pour s'éventer. Elle suait à grosses gouttes et lorsqu'elle jeta un oeil dans le rétroviseur, elle se rendit compte qu'elle était toute rouge, comme si elle sortait d'un four.

Elle ne se rendit pas compte, ou plutot ne voulut pas se rendre compte, que la sensation dans son ventre n'avait pas disparue. Et même s'en serait-elle aperçu qu'elle aurait mis ça sur le compte de la colère qui s'emparait de son corps. Elle ne releva pas non plus que chaque fois qu'elle éventait son décolleté et que l'air pénétrait sous son pull, ses tétons durcissaient jusqu'à devenir aussi solides que des diamants. Elle n'eût pas plus d'égard, pour son clitoris gonflé à bloc et sa chatte en train d'imprimer une grosse tâche blanche au fond de sa culotte.


Elle avait un don pour ignorer ce genre de choses et faire comme s'ils n'existaient pas. Tout au fond d'elle même, elle savait qu'il y avait une porte secrète dans son esprit et qu'il ne valait mieux pas l'ouvrir. Derrière cette porte, Il y avait tellement de choses qui n'étaient pas du tout raisonnables. Vraiment pas raisonnables.

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