Pour Son Plaisir (1)

1 – la rencontre
Je m’appelle Cédric. Originaire du nord de la France, je viens de déménager suite à une mutation de mon père. Nous sommes maintenant installés dans une petite ville du sud-ouest. Fils unique, je sortais surtout avec mes potes de natation et mon cousin avec lequel je m’amusais bien. Etudiant en langues depuis un an, je vais devoir me refaire une place dans une région qui m’est inconnue.
Ma première démarche est de retrouver un club de natation où je pourrai m’entraîner. C’est mon sport favori, celui que je fais depuis mes 6 ans et j’en ai 19 ! du haut de mes 1M80, je suis châtain clair avec des yeux bleus virant sur le vert. Une musculature pas trop mal dessinée, les heures d’entraînement ayant aidé. Je ne m’intéresse pas trop aux filles, au grand désespoir de mon père, mais je n’ai jamais eu de rapports sexuels très poussés, juste des « amusements » entre copains, dans les vestiaires.

Depuis notre déménagement, il y a trois mois environ, je suis un peu désemparé. Je fréquente la piscine municipale, c’est finalement là que je me sens le mieux. C’est le mois de juillet, il fait plutôt beau, mais je m’ennuie. Chaque jour, à peu près à la même heure, je vais nager. Je quitte la piscine vers les 19 h. Je m’installe dans l’une des deux cabines pour me changer. C’est là que j'ai rencontré Jacques, un peu par hasard. J’avais remarqué cet homme qui quittait les lieux en même temps que moi. Il prenait une douche en se savonnant tout le corps, rentrant la main dans son maillot de bain, ce qui m’excitait assez, je dois dire. Je pense qu’il faisait exprès de montrer une partie de sa bite. Il voyait que je regardais et sans doute que je rougissais. Ensuite, il rejoignait le vestiaire. Lui ne prenait pas de cabine. Il se changeait sans gêne sur le banc, devant son casier. Là, ce sont ses fesses qui m’impressionnaient.
Jacques est un homme d'une bonne trentaine d'années, plutôt bien foutu : 1M80 comme moi, brun commençant à se dégarnir, plutôt musclé –plus que moi- et pas trop poilu.

Un soir, Jacques m'a abordé alors que je ne trouvais pas de cabine libre. Le vestiaire n’était pas très grand : au centre des casiers, sur les côtés des bancs et au bout de la pièce deux cabines qui cette fois étaient occupées. J’étais en train de me mettre la serviette autour de la taille, devant mon casier. Jacques m’a interpellé me faisant remarquer que nous nous rencontrions souvent à la même heure. Il me demanda si je voulais prendre un verre. Après un moment d’hésitation, j'acceptais. Même s’il était plus âgé que moi, ça me ferait quelqu’un avec qui parler.
C’est dans un petit bar, près de la piscine que Jacques m’entraîna. Très vite la conversation dérapa sur la sexualité. Il vivait seul mais avait été marié quelques temps. Il se disait bi mais affirmait que moi j'étais homo. Comment pouvait-il le voir ? j’ai d’abord nié, mais devant son insistance, je lui ai avoué que j’étais puceau et effectivement attiré par les mecs plus que par les nanas. Il m'invita à passer chez lui un soir... "je m'arrangerai" lui ai-je dit. Et c'est à partir de ce moment que Jacques est devenu mon amant, puis mon maître.
Il me donna rendez-vous dans un restaurant puis il m’emmena dans sa BMW, dans un hôtel aux abords de la ville. On y entre sans que personne ne nous regarde, avec juste une carte de crédit. Il a payé, a pris le code de la chambre et nous sommes montés. Très vite, il s'est occupé de moi : il m'a embrassé doucement, m'a caressé tout en me déshabillant lentement. Je bandais très fort et j'avais peur de lâcher toute ma semence trop vite. Il l'a sans doute remarqué puisqu'il m'a proposé de prendre une douche, ensemble. La douche se trouvait à l'extérieur, dans un couloir où n'importe qui aurait pu nous croiser. Il m'a demandé de le suivre tel que j'étais : je n'avais plus qu'un caleçon sur moi. "Heu... pas comme ça... Je peux pas me balader en caleçon !" d'autant plus que je bandais...
"T'inquiètes ! il n'y a personne... et puis, on va se laver ! Tiens, voilà une serviette.
"
Très inquiet, je le suis, rapidement... Heureusement, la douche est disponible. On entre dans la pièce et il m'enlève le caleçon, un peu brutalement. Je me retrouve nu, entièrement à sa merci, pour la première fois... Lui est toujours habillé, il a juste retiré ses chaussures. Il a toujours un tee-shirt et son pantalon. Il me met sous la douche et me demande de bien me laver. Pendant ce temps, il prépare un rasoir et de la mousse.
"Viens, je voudrai te voir vraiment nu !"
"Hein ? mais qu'est-ce que ça veut dire ?"
"je vais te raser le sexe et le cul... ça te dérange ?"
"Ben oui, un peu... pourquoi ?"
et là il me badigeonne de mousse et devant mon manque de réaction, il empoigne mon sexe et me rase la bite, les couilles et le pubis.
"Retournes toi, et penches toi bien en avant"
Et sans réagir, je lui obéis. Je sens le rasoir me passer le long de la raie. Quand il a fini, il m'embrasse le cul et me demande de me rincer et de le rejoindre à la chambre...
Il quitte la douche avec mon caleçon. Je n'ai plus que la serviette trop petite pour faire le tour de ma taille. Je le suis donc de très près ne connaissant pas le code de la chambre, me cachant tant bien que mal avec la serviette. Heureusement, personne n'est sorti de sa chambre pendant que je passais. Jacques était maintenant très excité, il m'allongea sur le lit et commença à me sucer délicatement puis à me lécher le cul. C'était la première fois que quelqu'un s'occupait comme ça de moi et c'était très bon. J'ai joui sur mon ventre, les jambes en l'air, pendant qu'il m'introduisait sa langue dans la raie des fesses. Il m'a dit que j'étais un rapide et qu'il fallait que je me contrôle ! J'étais rouge de honte. Il prit mon sperme avec un doigt et l'amena à ma bouche. Dans un premier temps, je faisais la grimace mais très vite, il força ma bouche et je dus lécher son doigt jusqu'à la dernière goutte. Il me nettoya le ventre ainsi pendant près d'un quart d'heure.
"Tu vois comme tu es beau sans tous ces poils ! La prochaine fois, je veux que tu viennes déjà rasé, sinon, tu auras une fessée ! Allez.
.. C'est bon pour aujourd'hui ! Je te laisse rentrer seul :"
"Mais ce n'est pas la porte à côté ! Tu pourrais me déposer en ville, s'il te plait !"
"Non, tu vas te débrouiller..."
et il est sorti, me laissant un papier et m'embrassant goulument sur la bouche.
Je me posais alors beaucoup de questions en me rhabillant : est-ce que je voulais poursuivre cette relation ? allais-je retourner à la piscine ?
J'ai pris alors connaissance du mot :
"je m'appelle Jacques, je veux te voir dans trois jours à la piscine, à la même heure que d'habitude... sans poils ! sinon, je dis tout à tes parents."
Je crois que là j'ai pris peur... Mais trois jours après, je me préparais pour aller à la piscine !

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