Pour Son Plaisir (13)

13 – Une soirée particulière chez Jacques

Sorti de l’hôpital militaire, et exempté du service militaire, ma vie reprend aux côtés de Jacques. Il est toujours aussi exigeant avec moi. Lorsqu’il part pour la journée, il me remet la cage pour m’empêcher de me branler. Le soir, si quelque chose ne lui convient pas, j’ai droit à une fessée, le plus souvent avec un accessoire. Son stock s’est d’ailleurs enrichi depuis notre retour ! Je redoute le plus la « baguette » qui me strie littéralement les fesses ou le dos. Ses coups, s’ils démarrent lentement finissent généralement très brutalement. Il prend du plaisir quand je commence à crier ou quand les larmes me viennent aux yeux.
Les jours passent : je continue d’étudier par correspondance. Je ne rencontre quasiment personne sinon que les copains de Jacques qui viennent pour l’attraction que je suis devenu. C’est toujours sous la surveillance de mon maître que je suis mis à disposition. Je me suis habitué aux humiliations mais une fois, je crois qu’ils y sont allés un peu loin. Pour montrer mon attachement à mon maître, celui-ci m’a ordonné de descendre nu les étages de l’appartement. Je l’ai supplié, mais rien n’y a fait. J’ai essayé d’argumenter mais ce que j’ai obtenu c’est une promesse de correction. C’est donc penaud, que je suis descendu les étages. L’un des invités (ils étaient 3 cette fois-là) m’a suivi avec une caméra. J’essayai de me cacher le sexe au cas où quelqu’un serait sorti d’un appartement, mais de toute façon j’étais ridicule ! Arrivé en bas, j’ai dû sortir et traverser la rue. Heureusement qu’il était tard ! Néanmoins un jeune homme qui promenait son chien m’a vu et m’a abordé.

- Alors, p’tite put’, on s’promène ?

- Ta gueule ! occupe-toi de ton chien !

- Eh sale PD, tu veux mon poing sur ta gueule ?

- Essaie et j’te dérouille !

Cette situation semblait amuser mon caméraman qui laissait faire. Lorsque la bagarre a commencé, le chien a voulu me mordre, mais un coup de pied l’a dissuadé.

J’ai assez vite pris le dessus sur mon agresseur, plus hardi dans les paroles que dans ses gestes. Je me suis assis sur son cou en lui tenant les mains et je lui ai mis la bite sur le nez. Il marmonnait en faisant un air dégoûté. Je l’ai obligé à ouvrir la bouche en lui pinçant le nez et j’ai fait mine de lui enfourner mon dard, mais j’ai eu peur qu’il ne me morde. Je lui ai mis deux claques et je me suis relevé. Il est parti en promettant de me retrouver.

- C’est ça, quand tu veux !

Je suis ensuite remonté par l’ascenseur dans l’appartement. Jacques voulait tout de suite voir le film. J’ai dû rester à genoux pendant la diffusion à la télé. Jacques fut étonné que j’arrive à me battre.

- Tu sais, mon Jacques, je me suis déjà battu au lycée !
- Je ne croyais pas que tu pouvais ! Mais c’est bien, tu as ton côté soumis et ton côté « je ne me laisse pas faire » !

Il m’invite à le rejoindre et m’embrasse tendrement.

- Mais tu m’as tenu tête, tout à l’heure, et je t’ai promis une correction !

Je n’osais rien dire de peur d’aggraver la situation. Les trois invités se frottaient les mains. Ils avaient sans doute préparé quelque chose pendant que je n’étais pas dans l’appartement.

Effectivement, Jacques lança le début des « festivités » dont j’étais l’attraction principale. Tout d’abord, il me présenta un gode en forme de queue de chien. La dernière fois que j’en avais vu une, c’était au domaine de Saugon lors d’une soirée spéciale, puis je l’ai vu sortir une sorte de masque qui représentait le museau et les oreilles d’un chien, enfin des genouillères. Ils me préparent à recevoir ces différents objets. C’est Jean, l’un des invités qui me pose le masque. Je n’ai plus que la bouche de libre. Le museau est percé et je peux encore respirer par le nez. Patrick me pose les genouillères et des moufles. Les genouillères m’obligent à me tenir à sur les genoux, les pieds relevés. Ce n’est pas très confortable, c’est même à la limite douloureux.
Enfin Jacques m’enfonce le gode et me demande de remuer le cul pour faire balancer la queue.
Sur ce, Patrick propose qu’on aille me faire pisser au parc. Je regarde Jacques d’un air désespéré, mais à travers le masque, il ne doit pas le voir…

- C’est d’accord, je lui mets une laisse

Je suis désespéré ! Encore une fois je vais être la risée ! Heureusement que je ne connais pas grand monde ici. Je sors de l’appartement et je suis autorisé à prendre l’ascenseur. C’est le soir, et il commence à faire froid. Jacques propose que l’on prenne la voiture. On descend donc dans le garage et je dois monter dans le coffre. Comme je n’y arrive pas tout seul, Patrick me soulève et me jette quasiment dans le coffre qu’il referme brutalement. On roule pendant un bon quart d’heure et le coffre s’ouvre. Je dois sortir. Je fais de mon mieux pour ne pas me blesser et là je suis traîné en laisse vers un petit parc que je ne connaissais pas encore. Près d’un arbre, Didier, qui n’avait encore rien dit, me demande de pisser comme un chien. Je lève la jambe, mais je n’ai pas trop envie de pisser et donc rien ne vient.

- Alors le cleps, on n’a pas envie ?
- Allez, renchéri Patrick, un petit effort

Je me concentre en essayant d’oublier où je suis et je finis par lâcher quelques gouttes au grand plaisir de mes spectateurs. Là-dessus un couple passe. Ils ont un chien, un vrai. Ce n’est pas ma soirée… Leur chien, un labrador, se balade seul. Il semble s’approcher de moi. La jeune femme l’appelle, mais le chien vient me renifler le derrière.

- C’est un pari perdu, lance Jacques, il est obligé de respecter ses engagements !
- C’est un peu pervers non ?
- Mais non, c’est plutôt amusant !

La jeune femme me caresse le dos, ce qui a pour effet d’encourager le chien à me renifler d’avantage. Je le sens qu’il commence à me lécher les couilles et la bite encore humide de pisse.

- Taylor ! Viens ici
- Laissez faire ! Entre chiens…

Le chien fait maintenant le tour de moi.
J’essaie d’esquiver mais je ne peux pas l’empêcher de me grimper dessus en grognant. Là, son maître vient le récupérer et lui remettre une laisse. Ouf, je l’ai échappé belle.
Puis le couple s’éloigne et Jacques lance la fin de la promenade. On repart à l’appartement, moi, toujours dans le coffre. Arrivé à l’appartement, j’ai dû manger dans une gamelle puis je leur ai servi de table, de repose pieds et ma bouche a servi à les sucer chacun leur tour. Quand enfin la soirée fut terminée, Jacques me retira l’attirail

- Finalement, je préfère la cage ! c’est moins douloureux !
- On s’est bien amusé quand même ! et puis te faire caresser par une jolie dame, ça t’a plu !

Là-dessus, il m’a invité à passer la nuit avec lui. Au petit matin, j’ai repris mes habitudes. Dans la journée, Jacques m’annoncé qu’il avait obtenu un rendez-vous pour mon examen de conduite. Nous sommes alors début novembre. L’inspecteur qui m’a fait passer le permis n’était autre que Didier. C’est donc sans problème que j’ai eu le permis. Permis en poche, je deviens le chauffeur officiel de Jacques. Il m’embauche alors dans son entreprise. Je deviens, en plus, son secrétaire particulier. Pour cela, il m’a acheté un costume. Un très beau costume avec une casquette lorsque je conduis. C’est donc moi qui prends en main la BMW de Jacques. Je l’amène partout où il doit aller. Je l’accompagne parfois à son bureau. La jeune fille à l’accueil me regarde à chaque fois que je passe. Elle me sourit comme pour m’interpeler. Mais j’ai ordre de ne communiquer avec personne ! D’ailleurs c’est de plus en plus rare quand je rentre dans le bâtiment.
Chaque matin, avant de démarrer, Jacques m’indique quel sous-vêtement je dois porter et parfois, il m’ordonne de mettre « mon petit bijou », ce godmichet qu’il veut que je garde toute une journée. C’est pas facile, surtout quand je suis assis pour de longues routes, mais je ne veux pas le décevoir.

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