Pour Son Plaisir (17)

17 – Le retour en France

Sur le chemin du retour je raconte à Jacques ce qui m’est arrivé. Il me dit qu’il s’en était douté et que c’est pour cela qu’il est resté au Maroc. Mais ses recherches ne donnaient rien. Il me réconforte en me disant que l’affaire envisagée dans le pays avait été conclue et que c’était moi qui serais à la tête de cette succursale. Je n’ai pas trop la tête à ça et je m’endors dans l’Audi conduite par Jacques.
Bien installés dans un hôtel, je me suis bien gardé de sortir seul. Nous avons dû attendre quelques jours pour récupérer Louis et Rémi. Ce dernier n’ayant pas de papiers à son arrivée au Maroc, il a fallu à Jacques beaucoup de diplomatie pour obtenir sa libération. Enfin, nous voici réunis et c’est à quatre que nous rentrons en France.
Nous nous sommes installés dans la villa près de Bordeaux. Chacun avions notre chambre. Je m’occupais maintenant de « mes affaires » et j’ai donc tout naturellement embauché Rémi comme secrétaire ! Tandis que Jacques, lui, a embauché Louis pour me remplacer. Je n’étais pas jaloux, je continuais de voir Jacques, tous les jours. Nos relations avaient beaucoup changé. Depuis notre retour, il était devenu très tendre avec moi. Lorsque nous étions seul, il me déshabillait lentement, me caressant chaque partie de mon corps, embrassant une à une mes cicatrices, jouant avec mon nouvel anneau sur le téton… Il me prenait sans violence, éjaculant au plus profond de moi tout en m’embrassant. De temps en temps, je remettais ma cage, ce qui plaisait également à Rémi, de plus en plus dominateur, et faisait bander Jacques comme jamais. Nous ne nous voyions qu’à deux, nous n’avons jamais parlé de sa relation avec Louis ou de la mienne avec Rémi.
Nous vivions maintenant dans deux appartements différents mais proches : Jacques et Louis avaient investi l’ancien appartement de Jacques et Rémi et moi étions à quelques rues. Je voyais Jacques tous les jours, j’essayais de lui rappeler le garçon qu’il avait connu, l’autorisant à me fesser.

Pour pimenter nos rencontres, nous allions à l’hôtel ou dans un sauna. Il était alors très fier de m’exhiber comme un trophée. Et là ses instincts reprenaient le dessus : il regardait me faire prendre par d’autres.

Les années ont passé, un peu trop vite. Louis a quitté Jacques quand celui-ci est tombé malade. J’ai repris les affaires de Jacques en attendant qu’il aille mieux. Mais sa santé ne s’améliorait pas. Il avait un cancer qui l’a emporté très vite, trop vite. J’étais effondré. Heureusement Rémi était là et m’a réconforté. Ce que je ne savais pas, c’est que Jacques m’avait légué toutes ses affaires : j’étais à la tête d’une très grosse entreprise et de plusieurs appartements et villas loués.
20 ans après, je suis resté avec Rémi. Rémi a pris l’ascendant sur moi, tout au moins sur la vie du couple. Il est de plus en plus dominateur avec moi et aime me contrôler. Nous fréquentons toujours les lieux coquins, toujours protégés ! Nous tenons l’un à l’autre ! Lorsque nous le voulons, nous « croquons » un petit jeune. En fait, Rémi, qui a gardé une gueule d’ange, trouve un mec qui veut bien s’occuper de son esclave. Et ensuite, c’est moi qui prend ! Le plus souvent, ça reste très soft : fessées, travail des seins. Le jeune mec repart toujours ravi avec une expérience qu’il n’avait jamais vécu. Rémi finit toujours le travail en me prenant devant le mec qui s’astique et éjacule sur mon visage.
Côté affaires, c’est moi le dominant ! J’ai racheté le domaine de Saugon où l’accueil de jeunes paumés a remplacé le lieu de luxure que j’avais connu. Nous visitons assez souvent le centre.
Rémi et moi sommes maintenant un couple de « vieux PD » mais on est heureux comme on est !

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