Au Cinéma Suite 2

Pour moi, ce fut une journée extraordinaire en émotions, malgré mes quarante printemps il était évident que j’étais une novice en matière de sexe et cela décuplait le plaisir et les sensations ressenties, telle une jeune fille qui découvre les plaisirs de la chair.

Depuis j’observais les femmes autour de moi, recherchant à deviner leur niveau d’expérience en la matière comme si cela était une évidence, quel marqueur particulier pourrait m’orienter en ce sens ?

Seules mes sensations personnelles pouvaient pour l’instant m’éclairer, j’étais plus joyeuse et désinvolte que d’habitude, je me sentais plus légère, surement plus belle et désirable, il me semblait pouvoir palper le plaisir en moi et autour de moi.

Pourtant je n’étais pas amoureuse de cet homme, c’était une certitude, l’amour je le ressentais toujours pour mon mari malgré l’érosion des années, ce n’était plus cette attirance physique de nos vingt ans mais une solide confiance ceinturé de tendresse et entretenue par des compromis réciproques.

Lui, je le voyais comme une belle rencontre, fruit du hasard ou du destin, à mes yeux il était beau et très séduisant, charmeur, tendre et autoritaire à la fois.

Il avait soudainement bouleversé ma vie de femme, m’apportant peut être ce que toute femme est en droit d’éprouver, car il n’y a rien de meilleur que de se laisser allé dans le plaisir en toute confiance.

J’avais encore besoin de cette sécurité que m’apportait mon époux et j’éprouvais une terrible attirance pour l’aventure que me proposait mon amant.

Il avait éveillé en moi des sensations inouïes, découvrant le plaisir au travers de la honte et la culpabilité, aimer être manipulé parfois sous une certaine contrainte, jouir de la crainte et de la peur en atteignant des niveaux de jouissance jamais ressentis.

J’avais palpé l’interdit et découvert qu’il n’y a surement rien de meilleur, exacerbé ma curiosité et développé une forme de dépendance au plaisir.



Dés le matin je ne pensais plus qu’a çà, je choisissais mes vêtements et ma lingerie en conséquence, me rendant toujours plus sexy et désirable.

Je souhaitais le surprendre pour qu’il me rendre au quintuple ce plaisir tant convoité, me sentir femme fatale aux yeux du monde pour le rendre fier de m’avoir apprivoisé.

Le genre de pensées que rejetterait toute femme naturellement constitué, moi-même si on m’en avait parlé ainsi quelques semaines avant, j’aurai crié au scandale, comment une femme peut elle aimer la soumission ?

Eprouver du plaisir dans la contrainte et la honte, ce ne sont pas des sentiments normaux et acceptables pour toute femme qui se respecte.

De toute façon c’est contre nature et réprimé par la morale, et oui la revoilà celle fameuse morale, l’éducation religieuse, le bien et le mal, ce qui faut ou ne pas faire, etc.

Vous ne me croirez peut être pas, mais tout cela avait volé en éclats en à peine deux expériences, si mon corps avait éprouvé autant de plaisir c’est que cela ne pouvait être que bon pour lui.

J’étais bien décidé à vivre pleinement toutes les sensations que mon amant voudrait bien me faire découvrir et qui m’étaient surement encore inconnues, car il me semblait pourvu de bonnes capacités en la matière au regard de tout ce qu’il ma fait vivre et accepté en si peut de temps.

Le week-end est arrivé, plus difficile pour moi de me libérer, mon homme étant à la maison je me devais aussi de lui consacrer de mon temps, nous devions faire les courses, le ménage, la lessive et le repassage, etc.

Bref, tout ce qui tue l’érotisme dans le couple, le seul avantage est que je n’ai pas vue passer ces deux jours.

Bien sur que nous avons fait l’amour, mais vite fait bien fait comme souvent, n’éprouvant plus, ni moi, ni lui, cette passion qui enflamme les corps et les âmes, il a joui sans feindre et moi j’ai simulé pour ne pas le vexer.


Ne vous trompez pas, je suis heureuse avec l’homme que j’aime, il n’est pas avare de tendresse et de douceur, sa présence me rassure, me comble et c’est surement avec lui que je finirai mes vieux jours si rien ne vient perturber notre destin.

Mais coté sexe, il n’ose pas me pervertir, cela ne se fait pas, il aurait trop peur de me choquer moi sa chère et tendre épouse, la mère de nos petits, l’épouse se doit de rester pure et sage.

Pourtant je suis sure qu’il possède lui aussi des capacités insoupçonnés, mais peut être les réserves t’il pour une autre femme, un peut moins respectable, qui sait ?

Si tel est le cas, il est discret ou bien c’est moi qui suis trop naïve car je n’ai jamais rien imaginé, peut être ne suis-je pas jalouse tout simplement.

Mais n’aurait il pas peur de me perdre, il est simple de comprendre que le plaisir est une drogue, y gouter c’est ouvrir la porte à la dépendance, à la volonté du toujours plus, jusqu'à quel point un homme peut il pervertir sa compagne sans basculer dans la vulgarité ?

Multitude de question auxquelles je ne peu pas encore répondre

Mon amant lui n’a pas ses contraintes, il ne m’aime pas d’amour, il aime r de moi sans vergogne et n’a aucun remord à me pervertir, il n’en reste pas moins attentif à mon propre plaisir et tout en douceur il m’apprivoise.

Enfin le Mardi, à oui en fait, étant commerçante pour moi le week-end c’est du dimanche au lundi, petite précision sans réelle importance juste pour le fun du récit.

Donc ce mardi matin, c’est encore plus sexy que jamais que je suis allée à la boutique.

- Emilie… encore un rendez vous important ?

C’est avec un sourire et un regard qui en dit long que ma vendeuse m’a interpellé.

- Ca suffit, vous êtes trop curieuse… il n’est pas bon de tout savoir.

D’un clin d’œil complice elle reprit :

- c’est sur, mais là depuis quelques jours vous êtes plus radieuse que jamais et ça ce sont des signes qui ne trompe pas, mais vous avez raison cela ne me regarde pas.


Je me suis dit, si elle à compris mon petit manège, alors mon mari pourrait lui aussi s’en être aperçu, cela devenait évident et pourtant je n’ai pas ressenti de peur à ce moment là, plutôt une certaine et délicieuse excitation.

Maintenant je sais que le risque et la peur peuvent décupler le plaisir, mais à l’époque je ne l’imaginais pas du tout, certainement comme la plupart des femmes.

Vis-à-vis de ma collègue, j’avais décidé d’assumer sans me dévoiler plus, elle avait plus ou moins deviné mon adultère mais n’aurait pas plus de détails et cela serait bien comme ça.

Après tout je ne m’occupais pas de sa vie privé, avec qui elle vivait ou couchait t’elle ?

Je la s’avait célibataire, trentenaire très séduisante, petite brune aux formes parfaites qui déclenchaient beaucoup de ventes auprès de la gente masculine et même de beaucoup de femmes qu’elle charmait naturellement.

Moi-même, je ne restais pas insensible à son petit charme enjôleur, si j’avais été un mec elle ne m’aurait pas échappée tellement elle était belle et attirante, mais j’étais bien une femme et j’éprouvais parfois une petite pincé de jalousie pour sa jeunesse et sa beauté.

La vie est ainsi faite, parfois cruelle et injuste mais toujours sincère et pleine de vérité.

Mais revenons donc a nos moutons, car c’est moi qui ai actuellement le feu au corps, moi qui ne dort plus normalement depuis des jours, moi qui ne pense plus qu’à mon bel amant tout en m’apercevant que je ne s’avais rien de lui.

Cette dernière question m’avait interloqué, effectivement je ne s’avais vraiment rien de lui, a part son physique et sa voiture il était pour moi, un parfait inconnu.

Le plaisir était il si puissant pour que je m’importe peu de celui qui me le procure ?

Sous ce raisonnement, je pouvais aussi imaginer que peu importe celui qui te le procure, seul compte le plaisir, serait ce aussi simple ?

Soudain mon portable retenti…

- Bonjour, comment allez-vous ce matin ?

C’était lui, ma bulle se refermait sur moi et mes sens étaient tous aux abois.


- Merveilleusement bien, je n’attendais que votre appel pour parfaire cette journée.

- C’est trop d’honneur, je ne mérite pas telle impatience, mais puisqu’il en est ainsi, je vous propose de passer vous libérer de votre quotidien, est ce possible ?

- bien sur que oui,

- Comme d’habitude vers douze heures trente devant la boutique ?

- oui…

J’étais soudain redevenue cette jeune fille toute excitée de retrouver son premier amant, laissant le désir s’installer de nouveau, libérant toutes les hormones qui me mèneront au plaisir.

Devant la glace, j’ai réajusté mon décolleté dévoilant le plus possible mes seins pour attirer son regard, j’ai tiré sur ma robe pour qu’elle suive au mieux mes courbes voluptueuses sur lesquelles il aime poser ses mains et j’ai même vérifié si mon minuscule string était toujours aussi affriolent depuis ce matin.

Comme prévu, ma vendeuse est partie déjeuner et j’ai attendu, cinq…dix minutes, toujours personne, puis un scooter s’est arrêté, posant la béquille le coursier est venu toquer avec une petite boîte a la main.

- Bonjour, madame Emilie ?

- Oui, c’est moi

- Tenez signé là, ce paquet est pour vous

Sitôt le coursier parti, j’ai regardé le paquet, rien d’inscrit dessus, il était plutôt léger et son contenu ne faisait pas de bruit malgré mes secousses, je l’ai donc ouvert avec toute la curiosité requise.

Une enveloppe, un loup noir en dentelle et une petite pilule blanche.

J’ai ouvert l’enveloppe sur laquelle était noté mon nom et j’en ai sortie une lettre manuscrite sur laquelle j’ai pu lire :

Désolé pour ce retard, mais cela fait partie du jeu, nous s’avons tous deux que vous aimez jouer, vous trouverez donc dans cette enveloppe :
- un loup qui servira à dissimuler votre beau visage des regards indiscrets

- une pilule que je vous demande d’avaler rapidement avec un peu d’eau.

Ne réfléchissez pas cela nous ferait perdre un temps précieux

Pourquoi j’ai obéi à ces mots ?

Sans même chercher à comprendre, j’ai avalé la pilule et posé le loup sur mon visage, devant la glace on aurait dit un masque vénitien qui malgré la transparence de la dentelle ne permettait plus que l’on me reconnaisse.

J’ai trouvé cela amusant et plutôt rassurant, quoi qu’il eu en tête, il prenait soins de me protéger en quelque sorte.

J’ai donc attendue, là debout face à la porte, essayant de trouver une logique à la situation mais déjà mon esprit s’embrouillait, mon raisonnement ralentissait et mes pensés se perdaient dans le vide.

C’était surement cette pilule, que m’avait il fait prendre ? J’espérais que ce n’était pas dangereux, je me sentais bien mais l’esprit sans volonté, comme dans du coton.

J’ai vu la porte s’ouvrir et dans le contre jour une ombre est venue vers moi

- Je vois que vous avez été obéissante, croyiez moi c’est pour votre bien.

- Vous êtes très belle et cette petite robe vous va à ravir, mais j’ai prévu tout autre chose pour vous.

- déshabillez-vous !

Comme un automate j’ai fait tomber ma robe au sol restant debout et presque nue devant lui

- Malgré cette belle lingerie, aujourd’hui je vous préfère complètement nue sous la robe que voici.

Il ma tendu une robe longue magnifique, fendue très haut sur les jambes, un dos nu descendant presque jusqu’aux fesses et un décolleté plongeant à faire pâlir une star sur la croisette.

Il m’a aidé à retirer mon string et mon soutien-gorge pour que je puisse glisser mon corps dans cette robe somptueuse, l’ajustant parfaitement à mes courbes on aurait cru du sur mesure.

Bien entendu en m’aidant ses mains ont pleinement profité de mon corps, palpant ça et là mon intimité, caressant la chair nue de mes fesses et le long des cuisses, soupesant délicatement mes seins tout en titillant mes tétons déjà durcis par la monté du plaisir.

La robe était parfaitement ajustée elle laissait entrevoir mes formes les plus intimes, seins généreux et fiers que l’on devinait totalement libres sous le mince tissu, des anches voluptueuse sur lesquelles tout homme aurait aimé poser ses mains et des fesses rebondies très appétissantes captant encore tous les regards.

Malgré ma docilité médicamenteuse, je me sentais plus femme que jamais, tels un joli bijou que l’on va exposer aux regards pleins de convoitise.

Il me prit la main et me fis tourner sur moi-même, sifflant d’admiration :

- C’est encore plus beau que ce que j’espérais, vous êtes magnifique et vraiment bandante.

- Nous sommes près, c’est le moment d’y aller.

Il m’accompagna à la voiture, mais m’ouvris la porte arrière, malgré ma surprise mon esprit ne pouvais plus réfléchir et s’est en m’installant que j’ai ressentie une autre présence masculine qui dit aussitôt :

- Très, très, belle vous avez raison mon ami elle est magnifique.

Sans cette pilule je suis sure que je me serais révolté, peut être me serais je enfuie, mais là aucune réaction consciente incapable du moindre raisonnement.

La portière, coté conducteur claqua à son tour, il se tourna vers l’arrière pour dire à son passager :

- Ne vous avais-je point promis une belle prise, monsieur

- Effectivement, c’est une délicate attention, je les aime belles et dociles, celle-ci me semble, comment dite vous déjà ? Prometteuse, c’est bien le terme, prometteuse.

Tout en me glissant sans vergogne sa main entre les cuisses, il remonta rapidement vers mon sexe et avec deux doigts il écarta mes lèvres intimes pour vérifier la qualité de ma liqueur.

- Elle est vraiment à point, c’est son état normal ?

- oui, monsieur, je pense que si nous savons y faire elle ne nous refusera rien.

- Toutes les mêmes ces femmes mariées, trop sérieuses et prudes et pourtant si facile à convaincre, le temps et l’abstinence travaillent pour nous mon chers marc, difficile à croire que les maris n’en ai pas conscience, ils en tireraient bien profits, mais c’est mieux ainsi.

- J’espère que vous ne vous l’êtes pas enfilé ?

- non, monsieur, j’en ai abusé mais elle est encore vierge de toute pénétration sauf celles de son époux, il va de soit.

J’étais là, parfaitement consciente de leur discourt pervers mais toujours incapable de réagir sauf à éprouver ce plaisir malsain de la soumise consentante.

Je sentais ma chatte dégouliner sur les doigts qui me fouillaient, ma mouille gluante facilitait la pénétration jusqu'à la paume de la main.

Il forçait le passage avec un va et vient rapide de l’avant bras qui libérait des bruits caractéristiques de clapotis.

- Il me semble qu’elle aime ça, elle a déjà du être bien ramonée car elle s’ouvre vite et plutôt facilement.

Le salaud s’avais appuyé là ou sa fait mal, en une phrase il m’avait transformé en petite pute soumise, il était bien plus pervers que mon amant et s’avait y faire.

Il me tapota la fesse pour que j’avance mon bassin jusqu’au bord du siège, là il passa une de mes jambes par-dessus la sienne ce qui ouvrit plus que largement mes cuisses et toute mon intimité totalement exhibée aux yeux de marc qui ne perdait aucune miette de la scène.

Malgré mon impossibilité à réagir moralement, mon corps lui était parfaitement réactif au plaisir, les yeux mi-clos et bouche entre ouverte je respirais de plus en plus vite, savourant chaque coup de poing dans mon con gluant, espérant même qu’il puisse enfin transgresser le passage encore trop étroit pour une totale pénétration.

- Cette salope m’excite vraiment, elle est trop réactive je sens quelle va me bouffer le bras.

Mon bassin suivait le rythme des vas et vient, appuyant à chaque fois pour qu’il enfonce un peut plus sa main, ma chatte était en feu, dégoulinante de cyprine qui petit à petit lui facilitait le passage.

Jamais de ma vie je n’avais ressentie une telle dilatation, sauf lors des accouchements, mais là il y avait ce plaisir outrageant, mélange subtil de douleur et d’envie irrésistible, je n’étais plus une femme mais une simple femelle, ouverte au maximum pour être remplie par n’importe quoi et n’importe qui.

- A la pute… mon poing est entré, regardez comme elle se trémousse.

Il avait réussi à entrer sa main toute entière en moi, je regardais son poignet planté là dans ma chatte béante, c’était vraiment incroyable tout mon corps tremblait de plaisir.

Avec tout çà, je n’avais même pas remarqué que la voiture roulait, marc suivait la scène avec délectation dans le rétroviseur intérieur, ce qui décuplait mon plaisir.

Mon amant offrant mon corps à qui le veut, rien que çà m’aurai déjà fait jouir il y a quelques jours, mais là avec le bras d’un parfait inconnu me fouillant la moule je ne vous dis pas, l’extase.

- Elle est plus longue à jouir que celle de la semaine passée, vous ne trouvez pas ?

- oui, monsieur, celle là est exceptionnelle vous allez l’adopter pour un moment.

Ils parlaient de moi comme d’une banale marchandise, c’était humiliant et tellement jouissif.

- Marc, passez moi le gode.

Il sorti le godemiché qui m’avait fait si bien jouir l’autre jour dans la voiture et le passa vers l’arrière.

Son ami retira sa main de ma chatte me laissant un énorme vide dans tous les sens du terme, j’avais soudain comme un manque, une vrai frustration, je voulais qu’il m’enfourne encore et encore.

L’homme me souleva, écarta les pans de ma jolie robe et me posa sur ses cuises déjà nues, j’ai ressentie immédiatement son sexe durci contre mes reins.

Il m’écarta les cuisses de part et d’autre de ses jambes dévoilant de nouveau ma chatte encore toute gluante.

D’une main il écarta mes lèvres dégoulinantes et de l’autre il me pénétra d’un seul coup avec le gode, directement jusqu'à la garde et sans ménagement, d’un coup, environ trente centimètres mon pourfendu le ventre, il était gros mais rien à comparer au bras entier que j’avais avalé sans rechigner juste avant.

Quelques va et vient pour loger confortablement la bête en moi, les bruits de sucions et clapotis liquoreux prouvant la bonne lubrification de l’affaire, j’étais aux anges les cuisses largement ouvertes tout en me délectant de plaisir.

Ses deux salauds s’avaient vraiment y faire, en très peut de temps ils m’avaient transformé en véritable petite salope, jamais je n’aurai pu l’imaginer, ni même dans mes fantasmes les plus fous.

Ensuite il dénoua ma robe autour de ma nuque, libérant immédiatement mes seins aux bouts tendus, de sa main libre il les palpa à tout de rôle, les soupesant et malaxant tel un fruit mur.

- Même ses nichons sont des merveilles, marc vous me gâter vraiment

- Merci, monsieur, c’est un honneur pour moi

Le gode toujours planter en moi, il me souleva des deux mains, puis avec ses doigts il étala mon jus le long de ma raie, la quantité était là, ça dégoulinait de partout puis il glissa un doigt sur ma rosette insoumise.

Je devinais qu’il allait me fouiller le cul et peut être même encore plus, c’était nouveau pour moi jamais je n’avais accepté cette pénétration, mon mari n’avait jamais eu cette chance, mais là dépourvue de toute volonté je sentais ma corole s’entrouvrir lentement sous la pression du doigt inquisiteur.

Il entra très facilement, appelant les autres doigts qui se présentaient déjà à la porte, deux puis trois doigts dans le cul avec le gode planté dans la chatte, vous auriez vu la scène.

Mais il n’allait pas se contenter de me mettre ses doigts, qu’il retirait déjà après avoir ouvert le passage, présentant son membre dur et abondamment lubrifier de mon jus, il appuyas sur mes épaules pour entrouvrir ma grotte, j’ai sentie son membre m’empaler centimètre part centimètre, sans aucune douleur il m’a enculé jusqu’aux couilles.

Marquant un temps d’arrêt pour savourer cette victoire, il ma saisie les seins et dit à l’oreille :

- t’aime ça salope… t’aime que je t’encule… je le sens que t’aime ça…

Ho... que oui, que j’aimais ça, j’aimais tout ce qu’il me faisait, j’aimais qu’il m’avilisse, qu’’il me salisse le corps et l'âme, j'aimais être sa pute, leur pute à ses deux pervers.

Je couinais comme une catin, prenant chaque coup de bite pour une récompense, ondulant mon corps au rythme de la saillie et appuyant a chaque fois de tout mon poids pour mieux sentir cette grosse bite me labourer le trou du cul.

Devant tant de plaisir, j'ai saisie à deux mains le good toujours en moi et pendant qu'il m'enculait de plus belle je me suis labouré la chatte comme une damnée.

Malgré son expérience, mon enculeur n'a pu se retenir très longtemps, il a explosé en moi en criant, déversant tout son jus dans mes entrailles, je ressentais chaque saccade et contraction de la bite qui me défonçait, sentant le sperme chaud couler à flots.

Moi même je n'ai pu retenir ma jouissance dévastatrice, l'onde de plaisir ma submergée des pieds à la tête, étourdissant tous mes sens, je suais par tous mes pores et sentais le sexe à plein nez.

Nous sommes restés ainsi planté l'un dans l'autre un bon moment, parcourus de quelques soubresauts de plaisir, marc me fixait dans le rétro et s'emblait admiratif de mes exploits.

A quoi s’attendait-il ? Il a mis la dose pour me pervertir et là il semblait surpris de la facilité avec laquelle un inconnu pouvait m'enculer.

Le sexe ramolli est sorti doucement de son fourreau et toujours en me palpant les seins il a attiré mon visage vers l’arrière pour me rouler une pelle magistrale, sa langue humide ma carrément fouillé la bouche me faisant boire sa salive me laissant à peine le temps de respirer.

- Je n’en ai pas fini avec toi ma salope, maintenant tu m’appartiens.

Et bien oui, j'ai pris mon pied comme jamais, je pense même qu'il n'aurait pas eu besoin de cette pilule de docilité pour le même résultat.

Ils m'on ramené à la boutique où j'ai fait un brun de toilette avant, reprenant doucement mes esprits je les ai vu partir toujours sans s'avoir qui était marc ni même ce nouvel inconnu qui m'avait si bien baisé.

Mais ce n'était que partie remise, ils finiraient bien par se découvrir et m'en dire un peut plus sur eux et leurs intentions à mon égard, dans l'instant présent je savourais le plaisir et pensais déjà a demain.

Je me suis ressassé la scène toute l’après midi ce qui ma maintenue dans un état d’excitation incroyable, plutôt que le quasi viol presque consenti avec ce nouvel inconnu, c’est la présence de mon amant qui m’a le plus troublée, le fait qu’il m’ait offerte comme une vulgaire prostituée tout en observant avec plaisir les moindres détails de l’accouplement.

Comment expliquer le plaisir ressenti, vous êtes à ce moment là et plus que jamais le centre d’intérêt de vos partenaires, ils vous convoitent et ne pensent qu’a vous, ils valorisent votre corps plus que vous le faite vous-même et plus rien n’existe autour de vous.

Votre esprit se concentre sur la moindre sensation qui est amplifié puissance dix, une simple caresse devient extraordinaire de volupté, les regards magnétiques vous déshabillent et sondent votre esprit, vous ne pouvez ou n’avez pas envie de réagir, de stopper les ondes de plaisirs qui submergent progressivement la moindre parcelle de votre chair délicieusement offerte.

Petit à petit vous anticipez les moindres gestes, devinant l’étape suivante qu’ils vont vous faire subir, mais le pire c’est que vous prenez un malsain plaisir à tous les outrages libérant tous vos tabous sexuels, plus rien n’est interdit à qui veut l’obtenir et c’est en toute consciente que vous vous offrez corps et âme.

Tous ces délices m’étaient faits sans aucune violence, malgré ma soumission et la contrainte consentie, je me sentais en totale sécurité avec le sentiment de pouvoir tout stopper, à tout moment.

Mon amant avait abattu toutes mes défenses, sexuellement il avait obtenu de moi ce que mon mari n’avait peut être même jamais espéré, en très peu de temps il avait transformé une femme mariée, fidèle et réservé en véritable nymphomane.

Ce soir là, mon mari m’a trouvé plutôt fatiguée et pensive, le pauvre s’il s’avait, j’avais les trous encore dilatés et douloureux.

Mais tout cela m’avais trop excitée et j’avais encore envie de me faire prendre par une bonne bite, justement là j’en avais une bonne devant moi.

Cela m’a fait bizarre de faire du rentre dedans à mon homme, chaude comme la braise, j’ai fait tombé ma robe devant lui tout en le dévisageant d’un regard gourmand.

- Whaouu… tu es nue…comment ça ce fait ?

Avec tout çà, j’avais complètement oublié que j’étais toute nue sous ma robe, j’aurais pu remettre mes sous vêtements avant de rentrer mais je n’y avais même plus pensé.

- Je vois que cela te fait de l’effet…

- J’n’ai pas l’habitude, c’est plutôt excitant.

- Je s’avais que tu ne résisterais pas.

Il s’ait approché de moi et ma prise dans ses bras, en m’embrassant goulument il m’a caressé les anches puis les reins pour descendre doucement jusqu’aux fesses.

Nous étions encore dans l’entrée face au grand miroir, il m’a retourné d’un seul coup me plaçant face à mon reflet, restant collé contre mes fesses il continuait à me caresser les seins et le ventre.

L’image dans le miroir était très sexy, moi nue, jambes écartés, seins dressés et fiers d’être soupesés par des mains puissantes, avec ce mâle qui m’embrassait dans le coup et la nuque tout en me mordillant le lobe des oreilles, tout ce qui fallait pour attiser encore plus mon désir.

Quant à lui il se frottait de plus en plus contre mes fesses, je ressentais son membre durcir rapidement, ne pouvant m’empêcher de vouloir comparer sa taille à celle de mes amants, j’ai glissé ma main entre nos corps, ouvert sa braguette et glisser ma main dans le caleçon pour saisir son membre bandé.

Elle était bien dure et chaude et mon état d’excitation ne me permettait pas d’établir un score entre les mâles, je n’avais plus qu’une envie, qu’il me baise à son tour.

Tels des voyeurs, nous regardions les détails de la scène dans le miroir.

Il continua ses caresses en descendant jusqu’à mon sexe, ses doigts ont glissé entre mes lèvres entre-ouvertes, effleurant au passage mon clitoris déjà très réactif.

Poursuivant sa fouille, il a plongé ses doigts dans ma grotte dégoulinante déclenchant les clapotis si excitants.

- Non de dieu, mais tu es toute trempée.

- Hum… oui … j’ai très envie.

- çà, ce n’est pas que de l’envie… tu n’as jamais mouillée autant.

S’il s’avait le pourquoi de mon état, que je suis devenue une vraie petite salope obéissante avec le feu au cul, il ne réagirait surement pas aussi bien.

J’ondulais mes anches comme une petite allumeuse, frottant mes fesses contre son membre pour le rendre encore plus dur et encore plus gros.

- Mais qu’est ce qui t’arrive… tu n’as jamais été dans un tel état, tu as bu ?

- Tu n’aime pas ?

- Si, bien sur que si, mais… c’est surprenant, tu n’a jamais …

- Allez vient, regarde dans quel état nous sommes, nous devrions passer aux choses sérieuses, tu ne crois pas ?

Il était comme fou, mon comportement de fille facile portait ses fruits, il m’embrassait partout et me plotai sans vergogne, ses doigts me fouillaient de plus belle me portant presque au bord de la jouissance.

Je me suis penché alors vers l’avant en écartant encore plus mes jambes, puis prenant appuis sur le miroir j’ai glissé une main entre mes cuisses pour saisir le membre convoité.

J’ai frotté sa bite entre mes muqueuses pour la lubrifier abondement et j’ai ensuite positionné le gland gorgé de sang juste à l’entrée du vagin espérant qu’il donne enfin le coup de reins libérateur.

Croyiez moi, il ne sait pas fait attendre, il a posé ses mains sur mes anches et tout en tirant mes fesse vers lui il m’a violement défoncé la chatte, me pénétrant très profond.

J’étais enfin remplie et satisfaite, ondulant le cul au rythme des vas et vient de cette bonne queue qui maintenant me pilonnait en cadence.

C’était mon mari mais cela aurait pu être n’importe qui d’autre, à ce moment là seul le plaisir comptait, j’étais concentré sur la colonne de chair qui me pénétrait, à chaque coup de reins il butait bien au fond puis il ressortait de nouveau à l’air libre pour pouvoir replonger encore plus fort dans mes entrailles.

Tout en me pilonnant il me caressait délicieusement le clitoris pendant que moi je lui soupesais et malaxais les couilles de ma main libre, la tension était au summum, je sentais la jouissance monter en moi alimenté par chaque nouveau coup de queue.

Lui il commençait aussi à craquer car il transpirait comme un bœuf, redoublant d’efforts pour me claquer les fesses toujours plus fort et plus vite tout en criant :

- Han…Han…Han…

Soudain, j’ai lâché ma jouissance trop retenue, contractant mon vagin pour mieux ressentir la bite qui me labourait encore et tremblant de tout mon corps, j’ai joui.

- Haaaa…oui…oui…ouiiiiiii…

J’ai senti ses bourses durcir sous mes doigts, il s’est enfoncé en moi, à bloqué mes anches avec ses puissantes mains, son corps sait raidi, et…

- Houuuaaaa….

Des flots de jus bien chaud se sont déversés en moi, par saccades il s’est complètement vidé.

Nous étions tout deux anéantis, affaiblis par la jouissance tenant à peine sur nos jambes et recherchant appuis sur les meubles.

Il m’a pris contre lui en me serrant tendrement et posa un baisé sur mes lèvres.

- Tu à été merveilleuse, je ne m’attendais pas à tel comportement de ta part.

- Quel comportement ?

- Tu sais bien ce que je veux dire, jamais tu n’à été aussi… comment dire ?

- sexy ?

- non… plutôt… participative, entreprenante, oui c’est ça entreprenante.

- et alors, tu as aimé ?

- aimé, non… j’ai adoré, j’en rêvais sans oser te le dire, sans oser te le demander, j’avais surement trop peur de te choquer ou que tu me prennes pour un pervers.

- Mais là tu m’a complètement scotché, je ne m’y attendais vraiment pas, cela faisait longtemps que nous n’avions pas fait l’amour avec autant de passion.

- c’est vrai et je le regrette, la vie est ainsi faite, l’important sait d’aller de l’avant, quant pense tu ?
- Tu as raison mais j’aimerai savoir pourquoi ce changement soudain ?

Je te le dirais, mais pas ce soir, là tu vois nous sommes fatigués, avons besoin d’une douche et d’une bonne nuit de sommeil.

Nous nous sommes embrassés et endormis l’un contre l’autre.

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