Au Cinema Suite 5

Le taxi roulait depuis un bon moment et nous avons traversé une partie de la ville sans que je puisse repérer exactement le parcours.

Ensuite, Il s’ait engouffré sur une départementale qui filait à travers la campagne, nous avons encore roulé un bon moment et je commençais à trouver le temps long.

Le chauffeur s’est aperçu de mon impatience.

- Rassurez-vous madame, nous ne sommes plus très loin.

Après quelques minutes de plus, j’ai aperçu de grandes grilles en fer forgé ouvertes et qui donnaient sur l’entrée d’un parc boisé, le chauffeur a suivi cette allée qui pénétrait plus profondément dans une espèce de forêt.

La voiture avait nettement ralentie et roulait sur un chemin de graviers, l’allée était sombre et fraiche tellement les arbres étaient touffus, un peut plus loin au bout je distinguais comme une clairière.

- Nous arrivons madame

L’allée s’est effectivement ouverte sur une immense clairière au centre de laquelle trônait une imposante maison, le taxi s’est rapproché et s’est arrêté devant les escaliers qui menaient à la porte d’entrée.

- Voilà madame, nous y sommes

Il m’a ouvert la porte a déposé ma valise à mes pieds et est aussitôt repartis par le même chemin en me laissant seule devant la maison.

Je regardais autour de moi, il régnait un calme troublant avec juste quelques petits oiseaux sifflotant çà et là, le soleil chauffait déjà bien et il ne devait être pas très loin de midi car je commençais à ressentir une petite faim.

Nous avions du rouler plus de deux heures, j’étais fatiguée et anxieuse d’être là à attendre sans savoir à quelle sauce ils allaient me dévorer.

J’ai soudain entendu un nouveau bruit de roulement venant de l’allée et qui se rapprochait rapidement, j’ai reconnu la voiture de Marc avec ses vitres teintée, il est venu se garer juste à mes pieds.

- Bonjour Emilie, j’espère que vous n’attendez pas depuis trop longtemps ?

- Non, on vient juste de me déposer

Portant ma valise et me prenant par la taille il m’a dirigé vers la grande porte

- Venez entrons, vous serez ici comme chez vous
- Cette maison appartient à mon maître, c’est sa maison de campagne

Le hall d’entrée était très spacieux, donnant sur plusieurs couloirs de chaque cotés et avec un escalier en chêne pour accéder à l’étage, l’ambiance était rustique avec les boiseries apparentes, la vraie maison de campagne.



Marc m’a fait monter à l’étage pour m’attribuer ma chambre

La pièce était spacieuse, un grand lit en fer forgé, une commode, une immense armoire et deux fauteuils tournés vers le lit.

Marc posa ma valise près du lit et ouvrit une porte pour m’indiquer la salle de bain

La décoration était très campagnarde mais respirait la qualité et le confort, je me suis assise sur le bord du lit et j’ai pris mon air mijaurée pour demandé à Marc.

- Puis je vous poser une question ?

- Bien sur, toutes les questions que vous voulez

- Suis-je libre de partir ?

Me regardant très sérieusement il s’est approché pour me dire :

- A tout moment, vous n’avez qu’un mot à dire et tout s’arrête, votre liberté vous sera rendue et nous vous oublierons.

- Et si je ne dit rien ?

- Alors nous continuerons à faire de vous ce que bon nous semblera, poursuivant votre éducation jusqu'à en épuiser notre imagination.

Puis il poursuivit en riant :

Mais je vous rassure, ce n’est pas près d’arrivé, nous sommes inépuisables en la matière, c’est nos soumises qui craquent et qui abandonnent leur apprentissage.

- Vos soumises ? Vous en avez d’autres ?

- Oui Emilie, vous n’êtes pas seule, nous ne tarderons pas à vous mettre en concurrence, mon maître adore ça.

- Bon trêve de discutions, je vous explique les règles, ici vous n’aurez pas le droit de mettre autre chose que la robe que voici et que vous connaissez déjà.

Effectivement, il s’agissait de la même robe qu’il m’a fait porter le jour ou il m’a offerte à son maître dans la voiture, fendue jusqu’en haut des cuisses, dos nu descendant frôler la raie des fesses et un décolleté plus que provocateur.

Cette robe était une véritable ie et m’allait comme un gant, épousant mes formes en les valorisant à l’extrême, on aurait dit du sur mesure.

- C’est le seul vêtement qui vous sera autorisé dans cette demeure, aucun sous vêtement si minuscule qu’il soit.


Le maître veux que vous soyez toujours disponible, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit et pour qui que ce soit.

Marc m’a relevé le visage de façon à plonger dans mon regard.

- Est ce bien compris ?

Sans baisser son regard il attendit ma réponse

- Oui… c’est… compris

- J’espère que nous n’aurons pas à vous le rappeler.

- A j’oubliais, mettez aussi ce loup en dentelles qui sécurisera votre identité.

- Maintenant, préparez vous et redescendez nous rejoindre.

Et dire que mon mari avait insisté pour que je mette dans ma valise tout ce que j’avais de plus court et sexy possible, le pauvre s’il avait su que cela ne servirait pas.

Comme convenu je n’ai pas mis de culotte ni de soutien gorge, juste des escarpins noir à talon aiguille et le même loup transparent que l’autre fois, il me permettait de voir au travers mais il empêchait que l’on puisse me reconnaître.

J’étais totalement nue sous le tissu presque transparent et ce n’était pas pour me déplaire et rien que d’enfiler de nouveau cette robe mes souvenirs sont venus titiller la flamme du plaisir.

Cette robe devait avoir une valeur fétiche ou sentimentale pour le maître pour qu’il me souhaite ainsi vêtue à chaque rencontre.

J’ai ouvert la porte de ma chambre pour redescendre et j’ai pu distinguer plusieurs personnes qui parlaient juste en bas de l’escalier.

- Bonjour chers amis, merci de votre présence

J’ai reconnu la voix du maître en me disant que je ne connaissais toujours pas son nom, mais de toute façon il me fallait les rejoindre.

Quitte à y aller, j’allais leur sortir le grand jeu, j’ai gonflé ma poitrine pour darder mes tétons à travers le voile et je me suis approché des escaliers.

Maître à immédiatement repéré ma présence, il m’a souri et m’a dit :

- Venez ma chère, venez donc nous rejoindre

Plusieurs hommes étaient présents et tous ont regardé dans ma direction, d’un seul coup j’étais le centre du monde, au fur et à mesure que je descendais les marches je sentais leurs regards insistants qui parcouraient mon corps

Quatre, cinq…sept, non huit, ils étaient huit sans compter le Maître, tous de costume vêtus, le plus jeune s’emblait avoir la trentaine et le plus âgé soixante voir soixante cinq ans, difficile d’être précise dans ces circonstances.


Coté physique, seul un ou deux me plaisaient vraiment dont le plus jeune, trois, voir quatre autres étaient quelconques mais pas à jeter, bien excitée je ne leur dirais pas non mais les deux derniers eux étaient moins appétissants.

Au premier regard ils respiraient la méchanceté, un visage dur, c’étaient de véritables colosses au regard froid et inexpressif, ces deux là me faisaient ressentir de la peur et j’appréhendais d’être leur proie.

- Mon ami, vous nous avez caché une véritable merveille

- Nullement, je viens juste de la découvrir et croyiez moi, il n’a pas été simple de l’apprivoiser.

Arrivée à leur hauteur, il m’a tendu la main pour me placer au centre du groupe et il m’a fait tournicoter sur moi-même pour m’exhiber.

- Elle est belle n’est ce pas ? Maintenant messieurs c’est à vous de la mériter.

Il m’exhibait telle une marchandise, de luxe, mais une marchandise tout de même, sauf que là, ça ne me déplaisais pas, bien au contraire et ma parfaite soumission le rendait encore plus dominateur.

- Messieurs, dans notre monde, nous dirons que cette dame est une première main, mais elle a de réelles compétences que vous approfondirez tout à loisir.

- Venez, il est temps de passer à table.

Me tenant toujours par la main il m’a fait entrée la première afin que tous puissent reluquer ma nudité que dévoilait le contre jour au passage de la porte, j’ai d’ailleurs entendue plusieurs commentaires salaces.

- Quel corps de déesse… son cul semble accueillant… des jambes… humm… magnifiques…etc. Je vous passe les meilleurs d’entre eux.

Nous sommes donc entrés dans la salle à manger, une très longue table en chêne massif était en son centre et face à une très grande cheminée comme celle des châteaux.

La table était dressée pour dix couverts, avec le Maître et ses invités, les hommes étaient neuf et surement moi la seule femme cela faisait les dix convives.

Le Maître m’installa en bout de table, quatre invités de chaque coté et lui à l’autre bout face à moi.

- Je pense que vous devez tous avoir faim

Aussitôt dit, deux jolies soubrettes nous ont apporté un premier plat et je fus servi la première par une brunette à la voix très douce.

- Chiffonnade de saumons sauvages et toasts beurrés au sel de Guérande.

Maître m’invita à commencer et entama la discussion avec ses hôtes

- Mes amis, je vous disais donc que cette nouvelle recrue est une perle rare, surement la femme idéale dont nous rêvons tous.

- Elle est instruite, bien élevé, a beaucoup de charme et d’élégance malgré qu’elle ne soit plus une de ces petites nymphettes dont nous avons l’habitude.

- Concernant sa formation à l’obéissance elle n’est pas encore parfaitement formatée mais ce n’est plus qu’une question de quelques jours et c’est d’ailleurs à ce titre que j’ai demandé votre présence pour ce petit séjour.

Il parlait de moi comme d’une vulgaire marchandise ou plutôt comme un petit animal domestique que l’on doit dresser, surement une petite chienne.

Malgré ce fait, qui avec toute ma raison pourrait me révolter, là j’écoutais religieusement ses paroles sans même oser regarder autour de moi alors que je sentais toujours tous les regards sur moi.

Je maitrisais mieux mes émotions et savais pertinemment que tout cela n’avait de rapport qu’avec le sexe, c’était comme une mise en scène dont j’étais l’actrice principale.

La petite brunette me servi un deuxième plat

- Duo de st jacques et ses huitres poilées.

Les plats était raffinés et délicieux ce qui ajoutait au plaisir de la chair celui de la table.

Maître, continuait à vanter mes qualités et soit disant compétences auprès de ses invités comme si, tel un collectionneur, il faisait monter la valeur d’un objet d’art.

Mais loin de m’offusquer cela commençait à me plaire, mon égo y trouvait surement son compte et toujours sous les regards, je bombais fièrement la poitrine pour dévoiler la marchandise.

Nous avons fini le repas par un excellant dessert glacé, je me serais bien attendue à un petit café pour clôturer ce délicieux moment, mais Maître s’est levé et a contourné la table pour venir me reprendre la main
- Venez passons au salon pour le champagne

Je me sentais de plus en plus détendue, avec toute cette courtoisie et ce savoir vivre mes craintes s’estompaient et bien que les intentions perverses des uns et des autres soient évidentes je s’avais qu’ils me traiteraient correctement.

Je me suis donc retrouvé dans une grande pièce au fond de laquelle trônait une cheminée monumentale, trois grands canapés en cuir et quelques fauteuils ci et là.

Là aussi la décoration était campagnarde et respirait le bois massif, mais mon regard à été capté par une espèce de meuble bizarre qui était exposé au centre.

En nous rapprochant, cela ressemblait à une table gynécologique mais en plus confortable, toute en bois, ses surfaces étaient recouvertes de cuir matelassé et devant sortait deux supports servant à poser les jambes exactement comme chez ma gynéco sauf que là il y avait des lanières de cuir à chaque extrémité.

Juste en face de ce meuble, il y avait une espèce de potence en croix, tel un signe de multiplication, et là aussi des lanières de cuir aux quatre coins.

Juste à coté il y avait une table en chêne sur laquelle était exposé des sortes d’outils, objets phalliques, lanières et même différents fouets, il ne fallu pas plus pour comprendre à quel jeu ils allaient me faire participer.

Le S.M. n’était surement pas ma tasse de thé, je connaissais au travers de livres et aussi quelques films érotiques, mais cela ne m’attirait pas vraiment.

Le Maître la bien senti car en voyant ces objets j’avais marqué un temps d’arrêt et une certaine réticence à aller plus loin dans la pièce

- Ne faite pas la timide, nous allons vous faire découvrir des sensations fantastiques et inexplicables pour le commun des mortels.

J’ai eu comme un nœud au ventre et j’ai rapidement perdu de ma superbe assurance, çà je ne l’avais pas prévu et d’un coup je me suis prise de panique.

Les invités du Maître se sont dispersés confortablement sur les canapés qui nous entouraient et au même instant une jeune femme est entrée portant des coupes sur un plateau.

J’étais si perturbé que je n’avais même pas percuté qu’elle était entièrement nue, portant juste des escarpins à talon haut qui lui imposaient une silhouette de rêve.

Elle était très belle, grande avec des courbes magnifiques, un cul et des seins à rendre jalouse toutes les femmes, c’était un véritable canon.

Elle servit chaque invité sans osez les regarder dans les yeux ce qui me permis de penser qu’elle aussi était une soumise, chacun de ses gestes était sensuel et elle évoluait dans la pièce avec beaucoup de grâce.
Mais le plus surprenant était que l’ensemble des hommes présent ne s’emblaient pas lui prêter attention, malgré sa superbe beauté aucun ne semblait la désirer.

Non, c’est bien sur moi que les regards étaient fixés, moi qui tremblais comme une feuille, appréhendant les supplices à venir sur ces curieux engins qui me semblaient destinés.

Avec toutes ces émotions, mon ventre se crispait avec la crainte et un certain plaisir naissant que je connaissais bien.

Je fouillais discrètement la pièce des yeux cherchant la présence de Marc qui seule pouvait me rassurer, je me sentais abandonnée et apeurée.

Ils n’étaient peut être pas si courtois et galants que ça, c’était surement pour me mettre en confiance et ils m’ont peut être comme l’autre jour pour que je ne puisse pas réagir.

Certes je n’étais plus une débutante et j’avais déjà fait l’amour avec mes deux amants en même temps, mais là ils étaient neuf au total et tous me regardaient avec insistance parcourant de leur yeux la moindre parcelle de mon corps.

Les regards étaient si insistants que j’avais l’impression de ressentir leurs caresses sur ma peau alors que personne ne me touchait.

Soudain j’ai reconnu une voix familière qui m’a demandé de m’installer sur la table

- Emilie, venez vous installer

- C’était Marc il était revenu, je me suis sentie immédiatement rassuré par sa présence, il était pour moi comme une bouée de sauvetage à laquelle j’allais me raccrocher.

Il tapota de nouveau sur la table pour m’indiquer ce que j’avais à faire

Tout était prévu, il y avait un petit tabouret sur le coté pour me permettre de grimper sur l’autel des offrandes.

Je ne pouvais improviser ma position car elle était prédéterminé, couché sur le dos, les jambes bien écartées avec les pieds calés sur les étrillés, ma tête était posé sur une espèce de cousin épais qui m’obligeait à regarder mon entre jambes.

Ce n’était pas inconfortable, mais sous le regard de tous ces hommes c’était très humiliant.

Tout en me parlant Marc prenait une à une les sangles en cuir pour m’attacher fermement les pieds et les mains.

- Tout va bien se passer, faite confiance et laisser vous allez

Rien qu’a entendre ces mots j’avais de nouveau peur de ce qui allait m’arriver, je respirais de plus en plus fort érigeant mes seins à chaque bouffé d’air ce qui me rendais encore plus impudique.

Pourquoi répétait il que cela allait bien se passer, s’il en était si sur, il n’aurait pas besoin de le dire ni de réclamer ma confiance.

Allait-il m’abandonner à cette meute de pervers près à bondir sur leur proie

Marc releva les pans de ma robe de façon à découvrir totalement mes jambes et toute mon intimité qui dans cette position divulguait parfaitement ma vulve avec la fente entre ouverte et juste en haut mon petit bouton rose qui pointait déjà.

Ensuite il à défait le nœud retenant la robe autour de ma nuque pour exposer totalement mes seins aux yeux de tous, il m’a délicatement titillé les tétons qui se sont fièrement et rapidement érigés.

Ses mains ont parcourus la moindre parcelle de ma peau exposée me faisant frissonner à chaque contact, je me suis détendue et mes yeux se sont fermés pour mieux apprécier l’instant.

Ensuite Marc s’est retourner vers la table où étaient posés les instruments que j’appréhendais, il a pris ce qu’on appelle un Plug, doré à l’or fin et dont le diamètre me faisait craindre de pire.

Il a dévissé un tube de lubrifiant et sans plus de ménagements il m’en a badigeonné le trou du cul jusqu’a en lubrifier l’intérieur en me pénétrant de ses doigts.

Ce n’était pas la première fois que mon cul se faisait visiter mais là encore la présence de tous ces mâles décuplait toutes les sensations ressenties.

Quelques vas et vient avec ses doigts et j’ai senti l’engin se poser contre ma corole.

Appuyant fermement, il me dilatait l’anus millimètre par millimètre jusqu'à en arriver au plus fort du diamètre qui n’arrivait pas à pénétrer.

La douleur prenait le dessus et involontairement je me contractais l’anus empêchant la totale intrusion du Plug, mais Marc était expérimenté et s’avait bien quoi faire dans ces cas là.

Il fit semblant de le retirer d’un ou deux centimètres afin de me détendre et soudain avec l’élan il me la enfoncé d’un seul coup.

Il est parfaitement entrée dans ma cavité tout en me soulageant de la douleur qui s’est rapidement estompée pour laisser place au plaisir.

Ainsi positionné il ne pouvait plus bouger, ni dans un sens, ni dans l’autre et faisait office d’intrus permanent, Je conservais cette sensation d’être dilaté et pénétré par un objet dur et lourd sans que cela soit inconfortable.

Mais sont rôle principal était tout autre, car en étant ainsi dilatée du cul et dans cette position de soumission je ne risquais pas d’oublier que je n’étais qu’une soumise.

Croyiez moi, ma fente s’humidifiait à toute vitesse et je sentais ma cyprine couler le long de ma raie lubrifiant la totalité du sexe au passage.

Marc la aussi constaté et est venu frôler mon clitoris de ses doigts, caresse légère mais qui dans mon état d’excitation ma complètement électrisé au point que mon corps à fait un brusque soubresaut sur l’engin de .

Rien de mieux pour me rappeler que j’étais fermement attachée et décupler mon sentiment d’humiliation.

Marc s’est retournez vers le Maître et lui à dit :

- Elle est prête, Monsieur

- Merci mon ami, et bien messieurs nous allons commencer les enchères

Non, je n’avais pas rêvé, il allait me vendre aux enchères comme un vulgaire putain, mais il était ignoble et ça dépassait tout ce que j’avais subit d’humiliation jusqu'à là.

Mais Marc anticipa encore ma réaction, discrètement il me branlait le clito avec son pouce libérant des ondes de plaisir dans mon ventre, cela finissait par anéantir ma colère jusqu'à me déculpabiliser d’être traité comme une prostituée.

Après tout, qu’on me baise gratuitement ou qu’on me baise en payant où était la différence sinon dans le niveau d’humiliation, cela pouvait même ajouter au plaisir de savoir que des hommes étaient prêts à payer pour me pénétrer.

Pour couronner le tout, Marc me chuchotait doucement à l’oreille

- Vous mouillez, petite salope, vous devriez avoir honte

- Humm… mais c’est…trop… bon

- Vous aimez ça… être notre petite pute… hein ?

- Humm… non… humm… oui … votre pute… humm… oui

- Messieurs, la saillie est à mille euros, des volontaires ?

Ils se sont tous levés brandissant des billets à la main pour venir approcher de la marchandise que certains on immédiatement commencé à tâter, les seins, les cuisses et les fesses, tout mon corps leur était livré sans retenu.

- Doucement messieurs, voyons que vat elle penser de vos manières primitives, restons civilisés, croyiez moi il y en aura pour tous, elle est insatiable.

Marc à récupéré l’argent que les huit ont payé et à déposé la totalité près de mon visage, je regardais ses hommes qui se déshabillaient rapidement autour de moi et l’argent qui faisait de moi une putain, leur putain.

J’étais comme dans du coton, tout ce mélangeai dans ma tête et je n’arrivais plus à raisonner convenablement, il ne me restait que le plaisir qui commençait à m’envahir le corps tout entier.

J’apercevais maintenant tous ces sexes, petits, gros et même énormes pour l’un d’entre eux, certains bandaient déjà alors que d’autres avaient encore besoin d’être astiqués.

J’étais au centre de cette multitude et je ne distinguais plus les visages seules les bites m’importais et étonnamment je les voulais toutes et vite.

- Allez messieurs, à qui l’honneur ?

C’est le plus âgé de tous qui s’est placé entre mes jambes le premier.

J’ai senti la table descendre de quelques centimètres, car ils avaient tout prévu, un vérin électrique réglait la hauteur en fonction de la taille de l’homme qui se présentait à la manœuvre.

Mon état d’excitation était tel que je n’avais qu’une hâte, qu’on me baise et vite.

Le premier de groupe était correctement monté et malgré ma forte lubrification je l’ai bien senti se loger en moi car il la fait d’un seul coup de reins.

Il s’est agrippé a mes anches et a entamé un rapide vas et vient pendant que les autres me caressaient partout, j’avais le droit à une main sur chaque sein, le ventre, les cheveux, deux doigts dans ma bouche, des palpations sur l’intérieur des cuisses et sur les fesses.

Il ne me restait surement plus aucun petit bout de peau qui ne soit pas caressé par tous ses mâles qui commençaient à se déchainer.

- Messieurs, doucement vous allez l’abimer, ces petites choses là sont fragiles

C’était la voix du Maître qui résonnait dans la pièce, je ne le distinguais même plus avec tous les hommes autour de moi.

- Han…han…han…

Pour lui aussi cela devait être trop excitant car il a joui très rapidement en se contractant brusquement bien ancré au fond de ma vulve.

Cette première passe ne fut pas désagréable mais elle ne ma pas fait jouir tellement j’étais sollicité de toutes parts, je jouissais de partout sans réellement jouir.

Dans ma position, tête relevé je voyais parfaitement ma vulve pendant la pénétration et c’est avec un certain soulagement que j’ai vu sortir le sexe ramolli emballé d’un préservatif.

Ils étaient tous très pervers, mais heureusement ils n’étaient pas fous et cela à en quelque sorte décuplé mon relâchement au point que je me suis entendu supplier :

- Oui…humm… baisez moi… baisez moi…

Je n’avais pas fini mes mots que déjà un autre mâle avait la place libre, son sexe était plus court mais bien plus gros en circonférence.

Je le regardais pénétrer ma moule dilatée avec une impression de ralenti, il ressortait presque complètement pour replonger aussitôt me titiller les ovaires.

Pendant qu’il me baisait, il a eu le malheur de me caresser le bouton ce qui à déclenché une déferlante de plaisir et j’ai jouie en criant.

- Ho mon dieu… haaaaa…c’est…trop…bon

Mon corps s’est convulsé plusieurs fois sous les regards vicieux

- He ben, celle là… elle…ne fait pas semblant

- Quelle salope… moi aussi je la veux

- Putain… quelle est belle quand elle jouie

Les commentaires salaces ont fusé de toute parts pendant que le vicelard de service continuait à me limer en cadence.

Il me regardait avec la fierté d’avoir été le premier à me faire jouir,

Je mouillais tellement qu’on entendait les clapotis raisonner dans la pièce à chaque coup de bite, c’était délicieusement humiliant et me motivait à m’offrir encore plus.

Malgré mes poignés solidement attachés j’ai réussi à me saisir des deux bites les plus proches pour le plus grand plaisir de leurs propriétaires.

- Putain…elle en veut la salope

Je les branlais en suivant la même cadence que mon baiseur, décalottant les glands à chaque pénétration

- Mooouuuuaaaa… saaaaloooopppppeeeee…. Prend tout…

Mon baiseur venait de se vider d’un coup que déjà un autre le poussait pour me remplir à son tour.

Et floc…et floc… et floc…

Je dégoulinais de partout et mon vagin était si bien dilaté que je ne ressentais plus grand-chose en moi, mais en regardant j’ai aperçu que c’était le tour de la plus petite bite du groupe.
Mais il avait néanmoins du savoir faire car il compensait sa petite taille en glissant en même temps dans ma chatte un de ses pouces, alors qu’il posait sa main sur mon clitoris auquel il faisait d’agréables pressions cadencés.

Puis il rajouta l’autre pouce en plaçant ses deux mains de chaque coté de ma vulve tout en laissant les deux majeurs me titiller le petit bouton, ainsi il augmentait considérablement la taille de son engin, resserrait mes muqueuses autour de sa bite et ne tarderait pas à me faire redécoller à force de me branler le clito.

Je n’avais pas fini de le penser, que ma jouissance à de nouveau explosé et que lui même n’a pu retenir la sienne.

- Haaaaa… c’est….trop….je jouiiiiiiiiieeeee….

- Putain…..cette salope est….trop bonne…

A peine remise de mes émotions que le suivant sait présenter devant ma chatte.

C’était un des deux gaillards qui me faisaient peur, le regard toujours aussi dur il me fixait en frottant son membre le long de ma fente gluante.

Il était sur de lui et conscient d’avoir une très belle queue à me proposer, c’était surement la plus grosse que j’ai jamais pu voir de ma vie.

Même dans les films que mon mari m’avait fait voir je n’en avais pas vu d’aussi grosse et longue.

L’engin faisait au moins vingt cinq centimètres et ma main n’aurait surement pas pu en faire le tour au regard de la grosseur, je pense que celle là j’allais la sentir passer.

Il posa le gland violacé au centre de la raie et commença à pousser pour écarter mes chairs, rien que le gland avait du mal à me pénétrer malgré l’importante lubrification.

Mes chairs s’écartelaient lentement, le salaud prenait son temps pour apprécier le moindre frisson visible dans mes yeux, centimètre par centimètre son membre tentait de me remplir.

Mon regard restait figé sur la colonne de chair qui m’écartelait à la limite de la déchirure et je devais serrer les dents pour ne pas crier de douleur.

Plus je montrais que j’avais mal et plus ce salaud semblait prendre son pied, à chacune de mes grimasses se sentais son sexe frémir et prendre du volume dans ma chatte.

- Alors putain… tu n’en as jamais pris d’aussi grosses ?

Le salaud ne se gênait pas pour me tutoyez comme pour m’humilier encore plus et devant l’absence de réponse il m’a administré une magistrale claque sur la fesse qui m’a fait sursauter ainsi que tous les autres pervers près de moi.

La douleur sur la fesse était très vive et m’a fait presque oublier celle de ma chatte.

- Alors salle pute, tu en as déjà pris dés comme ça ?

- Non…. Aie….Non….

En relevant sa main comme pour me fesser de nouveau il répéta :

- Non qui ?

- Non…. Monsieur….Aie…

Mais la claque s’est abattue de nouveau avec un bruit sourd

- Aiiiiieeeeee… non….non…

- Non quoi ?

- Non… monsieur… jamais une…aussi….grosse…

- Voilà, c’est mieux… je vais t’apprendre moi.

Mais son sexe n’entrait toujours pas à fond, maintenant j’avais mal a la fesse et à la vulve qu’il forçait de plus en plus.

Ensuite il a pris mes tétons tendu entre ses doigts et les a serré très fort jusqu’a me faire très mal là aussi.

- Haaaa…..non… je vous…en…prie

- Petite pute, je vais t’apprendre à aimer la douleur

En même temps qu’il parlait, il donnait des coups de reins en tentant de faire pénétrer son immense membre plus au fond.

- Tu crois que tu vas me résister… j’en ai éclaté des moins salopes que toi

A l’aide d’une main il a ressorti son membre, le frottant de nouveau le long de la raie pour étaler mon jus et mieux lubrifier le conduit à forcer.

Avec le pouce et l’index de l’autre main il m’a pincé le clito tout en représentant de nouveau son énorme gland devant l’entrée à défoncer.

Il lui avait été facile de remarquer que j’étais une bonne clitoridienne, jouissant presque à chaque fois que l’on me titillait le petit organe.

Il a donc décidé de l’utiliser comme allier pour m’ouvrir totalement.

- Ma salope…vu comment tu mouille… ça devrait entrer… tout seul

Son excitation commençait aussi à le submerger car il avait du mal à prononcer ses phrases lui aussi.

Le membre est de nouveau entré avec quelques centimètres supplémentaires mais il en restait encore un bon bout à l’extérieur.

- Mais putain…tu vas me…laisser te la…mettre jusqu’aux…couilles

Tout en finissant sa phrase il ma asséner une nouvelle et magistrale claque sur la fesse endolorie et ma pincé encore plus fort le clitoris libérant une vague de plaisir qui m’a inondé de cyprine gluante.

Il s’est aussitôt agrippé fermement à mes anches

- Maintenant… tu va t’ouvrir à fond… ou je t’éclate le cul…

Et au même instant il donna un puissant coup de reins libérateur tout en criant

- Haaaannnnnnnn….

Sous la poussée, ma chatte s’est enfin ouverte et a laissé filé le reste du membre vers l’intérieur de mon ventre, je me suis senti remplie comme jamais.

- Ha…putain…tu vois qu’en tu veux…

Il est resté quelques instants bien callé au fond du conduit pour que je puisse m’habi à cette pénétration hors normes.

Malgré la douleur, je ne pouvais déjà plus empêcher mon vagin de convulser autour de sa bite et lui montrer ainsi l’installation de mon plaisir.

- Tu vois…ma pute…tu pourras plus te passer de ma grosse bite.

Tout doucement il reculât l’engin faisant ressortir le gland à l’air libre, le membre était luisant de mouille tellement je lubrifiais dans ma chatte.

Puis il replongeât de plus belle vers mes ovaires, poussant de toutes ses forces il écartait mes chairs au passage et malgré la difficulté ça rentrait déjà mieux

Un silence religieux régnait autour de nous, tous les voyeurs restaient stupéfaits de voir une telle scène, leurs yeux écartelés restaient figés sur l’énorme bite qui m’écartelait la moule.

- C’est bien….tu vois…tu vas t’y habi… c’est bon, non ?

- Humm…oui…mais…ça…fait mal…
- C’est pour ça… que t’aime ça… ma pute…

Ses vas et vient étaient plus fréquents et plus rapides, mon conduit épousait parfaitement la taille de sa queue et l’abondance de ma lubrification facilitait les introductions répétés.

Je regardais fixement cette bite énorme sortir et me dilater la vulve à chaque nouvelle pénétration, a chaque fois je me demandais si elle allait pouvoir entrer de nouveau tellement elle était incroyablement grosse.

A chaque fois mes chairs se dilataient autour de l’énorme gland qui cédait enfin pour ouvrir la totalité du passage, il pouvait ainsi me déchirer à fond en libérant à chaque fois des tsunamis de plaisir

Son regard parcourait mon corps à la recherche du moindre signe de plaisir pour satisfaire son égo, le moindre frisson, la moindre petite convulsion lui procurait un plaisir immense.

- Tu l’aime ma bite, hein… allez…dit le…

- Humm… oui….oui….je… l’aime

- Tu aime quoi ?

- Humm… ta bite…je l’aime…

Il m’a aussitôt administré une autre claque sur les fesses

- Qui ta permis… je répète…tu aime quoi ?

- Humm…votre bite…j’aime votre bite…elle est trop…bonne

- Voilà, on y arrive… vous avez vu les gars….comment on dresse une putain

- Ouuuiiiii… je suis votre….humm…putain….

Comprenant que j’allais bientôt me lâcher il a accélérer la cadence, je mouillais tellement que maintenant sa bite entrait et sortait très facilement.

- Regardez les gars, maintenant elle sera trop large pour vos petites bites

Je me sentais partir, en transe, les yeux révulsés et la respiration haletante mon corps se crispait tout entier pour contenir la jouissance qui montait.

- Han…han…han…tiens prend ça…régale toi ma petite pute…

Plus il me baisait et m’insultait de pute devant tous les autres et plus mon excitation montait, l’humiliation et la soumission étaient pour moi de puissants aphrodisiaques.

- Ouuuiiiii… j’aime votre….humm…grosse bite…humm
Au bord de la jouissance, nos corps se livraient l’un à l’autre, sa queue ressortait complètement pour reprendre de l’élan et pour replonger aussi vite cogner mes ovaires.

Je tremblais à chaque coup de bite qui m’écartelait la moule et n’arrivais presque plus à respirer tellement je haletais de plaisir.

Soudain il s’est contracté de tous ses muscles, se crispant de toutes ses forces et à planté ses doigts dans la chair de mes anches en lâchant un cri d’animal.

Haaaaaaaaaaaaaaaaa…sale pute…tu me vide les couilles…

Tout en se vidant il continuait à me bourrer à grand coups de reins

- Je vais t’engrosser salope… prend tout mon jus…

La déferlante de sperme chaud à déclenché l’explosion finale, je me tordais dans tous les sens malgré mes entraves, la bouche grand ouverte je jouissais tellement que je ne pouvais même plus crier.

Je suais de partout, mon corps perlait et sentait le sexe, tous nos voyeurs n’en croyaient pas leurs yeux, peut être n’avaient ils jamais vu une femme jouir autant.

Mon baiseur à pris sa queue dans sa main pour la ressortir doucement de ma chatte, libérant un bruit caractéristique à la sortie du gland, ma chatte est resté béante laissant couler le liquide fécond en abondance sur mes fesses.

Il a ensuite frotté son gland le long des grandes lèvres pour essuyer son méat qui perlait quelques dernières gouttes, puis en reculant il dit tout fort.

- Voilà comment on baise une pute.

Pour ma part je reprenais doucement mes esprits, j’avais la chatte en feu, les fesses meurtries, mal aux bouts des seins et je n’étais pas prête d’oublier cette superbe queue de géant qui m’avait ravagé la moule.

L’attroupement des voyeurs regardait le sperme qui s’écoulait et la quantité était plutôt impressionnante, à la mesure de la taille de l’engin.

- Je lui aurais bien éclaté le cul, mais je préfère vous laisser un trou à votre taille les gars.

Non seulement il m’humiliait mais il humiliait aussi ses amis qui restaient tous impressionnés par sa prestation.

Je venais de me faire baiser par quatre mâles en rut en moins d’une heure, passant d’une petite bite néanmoins experte à un membre de colosse et j’ai joui plusieurs fois très intensément, ce qui ma complètement épuisée.

Mais il me restait encore quatre autres mâles à vider et ils ne comptaient pas abandonner leur tour comme ça, que déjà l’un d’entre m’enfilait sa queue dans la chatte encore toute gluante de foutre.

Il a fait ce qu’il a pu mais j’étais exténuée et il m’était impossible de jouir de nouveau aussi rapidement, à son tour il m’a déversé tout son foutre pour laisser la place à un autre et puis à un autre et enfin au dernier dont la bite nageait carrément dans le mélange de cyprine et de sperme.

Ce n’est qu’a ce moment là que j’ai percuté, le seul homme de la soirée qui ai mit un préservatif était le plus âgé, tous les autres m’avaient baisé sans aucune protection en me remplissant de foutre.

Mais il était trop tard pour rouspéter et je ne crois pas qu’ils auraient tenu compte de mon éventuelle réclamation.

J’étais tellement épuisée que je ne les ai pas entendus sortir de la pièce et c’est les caresses tièdes de la toilette que me prodiguait la petite brunette qui nous avait servi le repas qui m’on plus ou moins sortit de mon état de somnolence.

J’étais détaché de mes liens et on m’avait libéré le visage, mais je restais là à savourer la tendresse avec laquelle la demoiselle me nettoyait les parties intimes qui avaient vraiment souffert.

A chaque passage elle rinçait le gant de toilette dans une cuvette d’eau tiède, nettoyant tout le sperme qui commençait à sécher sur ma peau irritée.

Toujours avec sa voix douce, elle me demanda très doucement :

- C’est douloureux ?

- Non, au contraire ça soulage, merci.

- Ils n’ont pas été trop violents avec vous ?

- Non…heu, si… peut être un seul… un peu plus dur que les autres.

- Nous l’appelons (la brute), mais venez, il faut que je vous ramène à votre chambre pour finir votre toilette

Je me suis relevé pour descendre du meuble, ma tête tournait encore un peut et j’ai dû m’appuyer sur l’épaule de ma nouvelle amie.

Tout en nous dirigeant vers la chambre, j’ai tenté de lui soutirer quelques confidences mais elle ne voulait pas dévoiler ses secrets.

- Je m’excuse, mais je n’ai pas le droit de vous dire quoi que ce soit.

- Dite moi simplement ce qui m’attend.

- Vous le saurez bien assez vite.

Une fois dans la chambre elle m’a conduit dans la salle de bain.

- Venez, il me faut vous refaire une beauté

Elle m’a fait prendre une douche en me frottant agréablement tout le corps avec du savon moussant, nettoyant les dernières traces de l’orgie sur ma peau.

C’était la première fois qu’une femme me caressait ainsi le corps et j’ai trouvé ça très sensuel, le contact de l’eau chaude sur la peau et les savantes caresses savonneuses de ma masseuse m’ont profondément détendus.

Après m’avoir entièrement séché, elle m’a alité toute nue sur les draps de satin, installé un oreiller moelleux sous ma nuque pour ensuite me nouer un voile opaque sur les yeux.

Alors que j’allais lui demander pourquoi, elle m’a posé tendrement une main sur les lèvres et déposé un doux baiser sur le front en me chuchotant :

- Chut… ce sont les consignes du Maître, reposez vous.

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