Je Suis Un Thon (5)

On sait que je m’appelle Gertrude et que je préfère que l’on m’appelle Véronique.
J’ai quitté la clinique de ma petite-maîtresse Wan pour retrouver sa maison située sur les hauteurs de Neuchâtel.
Je passe une convalescence très agréable et j’ai le plaisir de m’apercevoir que mon accident a eu un effet bénéfique sur ma manière de voir la vie.
J’ai commencé à prendre conscience que ma vie était plate et sans grand intérêt lorsque j’ai accepté de faire cette formation pour espérer devenir visiteuse médicale pour une société pharmaceutique lyonnaise.
Ce travail m’a permis de trouver des amants qui m’ont redonné confiance et que malgré mes problèmes de poids, je pouvais encore séduire des hommes.
Mon accident a permis à Wan médecin spécialiste des yeux de m’opérer et de m’enlever mes lunettes à double foyer qui enlaidissaient mon visage.
Depuis qu’elle me les a enlevés, j’ai découvert que j’avais de magnifiques yeux bleus.
En voulant remettre mes vêtements après trois semaines de nourriture par tuyaux et cuisine allégée à la clinique, nous nous sommes aperçus avec ma petite qu’il était impossible que je m’habille avec mes anciennes tenues. Mes pantalons de taille 62 sont descendus à une taille 50.
J’ai dû refaire ma garde-robe et le choix a été facilité par Wan qui a des goûts plus modernes que les miens.
Depuis quelques jours je retrouve le goût de la course à pied dans la nature ou dans la salle de sport où je suis inscrite par Wan.
En ce qui concerne le sexe, j’adore ce que nous faisons avec mon ami qui m’apprend tout ce que peuvent faire deux femmes entre elles.
À la clinique, elle m’a fisté et je l’ai faite avec elle malgré sa petite chatte dès mon retour chez elle.
Jamais j’aurais pensé que j’étais capable de recevoir sa main intégralement dans le corps comme mettre la mienne dans le sien.
Aujourd’hui, mon chef de service lyonnais vient me voir. Elle m’a appelé pour prendre rendez-vous.

C’est une nouvelle, car il semble qu’il y ait du changement dans la société depuis mon accident.
Je lui donne rendez-vous au restaurant très couru par les femmes à Neuchâtel et où mon amour m’a emmené le premier soir.

Lorsque j’arrive, je m’interroge qui je dois voir et si cette personne est arrivée.
Dès que je rentre, la patronne vient à moi me reconnaissant après une légère hésitation et me demande de la suivre.
À la même table que celle où j’ai mangé avec Wan, une grande femme dans les quarante ans se lève.
Malgré les améliorations sur mon physique depuis que je suis venue et mon accident, j’ai encore du chemin à faire pour atteindre le niveau de perfection de cette femme.
Elle irradie la grande classe dans son tailleur mettant en valeur la couleur de sa peau.
Cette femme noire, peau très lisse. Jamais une peau m’est apparue aussi lisse.

• Bonjours Gertrude, j’ai failli me demander si je m’étais trompé.
• Nous nous sommes déjà vus.
• Non, je viens de rejoindre le laboratoire lyonnais venant du centre de gestion de Paris, j’ai étudié les profils de chacune d’entre vous et j’ai regardé votre fiche avant de venir vous rencontrer et la photo que j’ai vue est loin de correspondre avec la jolie femme que j’ai en face de moi.
• C’est incroyable comme un accident peut changer les gens.
En parlant de changement, pouvez-vous noter que j’aimerais que vous m’appeliez Véronique à la place de ce prénom, hélas, hérité à ma naissance avec tout le respect que j’ai pour les autres Gertrude.
• Je vous comprends, mes parents sont réunionnais et avec tout le respect que j’ai pour eux donner à leur fille le prénom de la mère paternelle à sa fille et l’appelé Colline, certes, avec deux « l », vous comprendrez que je m’appelle Magali.

J’apprécie beaucoup l’approche de cette femme et tout de suite un climat agréable se crée entre nous.
La patronne s’approche de notre table.

• Excusez-moi, j’aurais dû vous reconnaître madame Véronique !
Madame Wan lorsqu’elle est venue avec son amie Alice pendant votre hospitalisation après votre accident m’avait dit que vous seriez méconnaissable.

Elle avait raison, mais à ce point c’est incroyable.
• Et c’est loin d’être fini, vous verrez dans quelques semaines avec tous les kilomètres que Wan me fait parcourir, je vais bientôt décoller les affiches.
• Je papote, mais que voulez-vous manger.

Alors comme cela Wan, mange ici avec Alice, il est vrai qu’à l’hôpital, elle semble près proche mais très professionnelle. Très drôle, je me surprends à être jalouse alors que je suis parti de chez moi pour vivre une vie trépidante.
J’ai bien commencé avec mes beaux amants, beau part leur queue que j’ai beaucoup aimé recevoir en moi.
Mais Wan le simple fait d’évoquer son nom me transporte dans un milieu que j’aurais été incapable de fréquenter avant de la rencontrer.
Le monde du luxe sans extravagance et avec beaucoup de simplicité.
Mais surtout un monde de travail au service des autres. Alors qu’elle prenne du bon temps avec Alice, comment pourrai-je lui reprocher moi qui en ce moment regarde droit dans les yeux mon chef de service avec l’envie de la séduire pour continuer à être celle que j’ai souhaité devenir alors qu’au fond de mon cœur, je suis prête à demander Wan en mariage.
Hélas, je suis marié et en Suisse quelles règles régissent les couples ?
Comme toutes les femmes, je suis pleine de contradiction.

• Véronique, il fallait que je te voie pour deux choses.
La première nos services ont reçu un coup de téléphone de ton mari qui cherchait désespérément, comment te joindre.
• Wan à l’hôpital m’a dit qu’elle l’avait appelé pour lui dire que j’avais eu un accident.
• Je l’ai rappelé et il m’a dit que toutes visites t’étaient interdites pendant trois semaines et le médecin a raccroché sans lui dire où tu étais.

Quelle garce, elle a organisé ma coupure avec mon mari pour mieux m’avoir pour elle seule, je devrais lui en vouloir, mais mon cœur explose de bonheur.
Moi qui étais un vrai boudin, elle a manœuvré pour m’avoir à elle seule, vivement que je quitte ma chef de service et que je la retrouve dans notre nuit qui va être torride.


• Véronique, vous êtes avec moi.
• Excuse Colline, je rêvais.
• Magali, pas Colline.

Je lui tends la main qu’elle me prend.

• Si Colline, c’est un prénom merveilleux qui va très bien avec toi.
Gardent tes racines, soit toi-même comme je suis devenu moi-même en prenant ce travail.
• Alors, restons pragmatiques, j’ai une lettre de ton mari que j’ai accepté de te faire suivre lorsque je te verrai.

Elle sort de son sac une enveloppe qu’elle me tend et sur laquelle est marquée tapée à la machine. « Gertrude ».
À l’intérieur une feuille format A.
Je lis et j’éclate de rire. Colline me regarde avec incrédulité.

• Oui, il me fait savoir qu’il divorce.
• Et cela te fait rire.
• Oui, en acceptant mon travail, je rêvais de cela.
• Tu vas tout perdre.
• Non, il prend les torts à sa charge et joint son notaire pour faire le partage de nos biens sans que j’aie rien à faire.
• Il te dit pourquoi.
• Oui, il a rencontré une de ses élèves et a décidé de l’épouser.
Sachant l’âge de ses élèves, ils doivent avoir vingt ans d’écart. Il sera cocu rapidement.
Mais je m’en fiche, je vais être libre de refaire ma vie.
• Cela c’est le point numéro un. Passons au point numéro deux.
Tu étais absente à la réunion que j’ai tenue à Lyon, il y a dix jours et dans laquelle j’ai exposé ma vision des secteurs de travail dans les mois futurs.
Je vais te dire qu’elle a été la logique de ma pensé.
La partie française de ton travail, t’es enlevée. Fini, la Bourgogne et la région lyonnaise. Dans un premier temps lorsque j’ai pris ta fiche, je trouvais que l’on avait confié un secteur si stratégique à une femme ayant ton look.
Mais car il y a un, mais, lorsque j’ai vu tes résultats aux examens après les cours, croisé avec tes premiers résultats, j’ai décidé de te faire une proposition.
Il faut que tu saches que nos chercheurs ont découvert une nouvelle molécule en Amazonie dans une plante facile à faire pousser donc à haut taux de rentabilité qui nous permet de mettre une nouvelle gamme de médicaments et de produits qu’il va vous falloir promouvoir.

La Suisse est coupée en deux secteurs, la partie que j’appelle langue française et langue allemande.
Tu avais le secteur français et je pensais te nommer dans le secteur allemand à entièrement développer et je dois l’avouer te cacher au fond du pays.
• Je ne parle pas allemand.
• Quatre-vingt-dix pourcents des médecins par anglais et beaucoup parlent le français. Mais il y a tout de même encore un, mais j’ai compris l’attachement qui t’unit au docteur Lee.
Plusieurs fois je l’ai appelée pour prendre de tes nouvelles et la façon enflammées dont elle parle de vous me fait changer d’avis et si tu le désir le secteur suisse français est à toi. Pour le secteur allemand, je vais voir pour recruter.
• Merci, j’allais dire, Madame, merci Colline, mon cœur déborde de joie, bien sûr que je le prends et tu verras les chiffres que je vais faire.
Que fais-tu demain ?
• Je rentre à Lyon pour le week-end, pourquoi.
• Tu es attendu.
• Non pas spécialement.
• Alors demain soir ici à vingt heures, je te présenterai Wan, mon petit cœur, demain, visite Neuchâtel et le lac de Bienne. Tu verras comme c’est beau.
• D’accord, depuis que j’ai été muté de Paris, j’ai déjà fait le tour de Lyon.

Nous finissons le repas et je file oubliant les visions que j’avais sûre Colline pressé de retrouver Wan.
Je gare ma voiture et dès que j’entre dans la chambre après une douche rapide, Wan voit arriver une tornade qui lui aspire les seins, qui lui arrachent les jolies mures que forment ses aréoles faisant gicler son sang partout dans la chambre. Son clitoris lui aussi tombe sous mes dents pendant que je pénètre la chatte de Colline et que j’enfonce entièrement ma main dans la chatte d’Alice qui va directement mettre deux doigts dans l’anus de Wan qui finit par accepter qu’elle fasse entrer sa main dans sa grotte arrière alors que personne a osé aller si loin avec elle.
Bref, ma nuit de baise est démoniaque, il y a partout qui décuple mes forces pour donner du plaisir à ces trois femmes qui sont tout amoureuses de moi.

Au matin, alors que je suis bien lové contre elle, le baiser de Wan me montre toute l’étendue de notre amour.

• J’ignore ce que t’as dit ta responsable, mais il faudra qu’elle te donne d’autres rendez-vous car à un moment, j’ai cru que tu voulais m’arracher les seins et le clito sans compter la main que tu as faite pénétré dans ma rosette et qui m’a fait jouir alors que j’étais persuadé que ce que tu as réussi était impossible…
















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