Ophelie, De Femme À Femelle

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Comment suis-je tombée aussi bas?
Comment à 43 ans je peux me retrouver ainsi, vêtue d'une jupe trop courte pour me cacher les fesses, d'un corsage trop petit pour contenir mes seins, juchée sur des talons de 10cm, plantée à côté d'un arbre sur une aire d'autoroute?

Vous vous dites, encore une pauvre femme qui es obligée de vendre son corps pour sortir de la misère financière.
Détrompez-vous, je suis mariée à un important homme d'affaire, gagnant plus d'argent qu'il n'en faut.

Alors comment en suis-je arrivée là?
Par amour, par folie, par envie!


Je me prénomme Ophélie, 43 ans, mariée depuis 20 ans à Didier, de 20 ans mon ainé.
Elevée dans le nord de la France, dans une famille très croyante, je fus présentée, séduite par cet homme à l'époque commercial dans l'immobilier.
Très vite, nous nous sommes, fiancés, mariés et, il pût alors prendre ma virginité le soir des noces.
Nous vivions le parfait amour, loin de nos racines, près de Marseille ou il fit fortune dans des placements immobiliers.
Seul ombre au tableau idyllique, nous n'avons jamais eu d's, à cause d'une infection mal soignée, on a dû me faire la total, m'enlevant tout espoir d'être mère.
Cela ne nous empêchés pas d'avoir nos rapport hebdomadaires, classiques et de nous nous en contenter.

Bref, une vie de famille classique, banale et sans intérêt.

Tout bascula le jour ou, à force de travail et de pression, Didier fit un AVC, le plongeant dans un coma de plus d'un mois.
Durant ce temps, j'ai dû me résoudre à prendre un emploi pour assurer mon train de vie.

Après des dizaines d'entretiens d'embauche, une société de gardiennage et de sécurité m'offrit un emploi.
Rien de bien sorcier, des rapports d'intervention à retranscrire, des factures à faire et envoyer et, répondre au téléphone.



Tout était pour le mieux, fessant attention à bien faire mon travail afin de ne pas contrarier mon patron, Arnaud, jeune homme de 30 ans, ancien policier grand, musclé et m'intimidant énormément.
Il était impitoyable avec ses employés, ne laissant passer aucunes fautes, que ce soit dans leur travail, leurs tenues vestimentaires ou leur comportement.
Un soir, avant la fermeture de l'agence, il m'appela dans son bureau. Inquiète, me demandant quelle faute j'avais bien pu faire, j'y entrai sur la pointe des pieds, tête basse.

- Ophélie, ça va faire bientôt 3 mois que vous travaillez pour moi et, votre période d'essai s'achève. Je ne sais pas si je vais vous garder car, outre certain rapports mal rédigés, votre tenue vestimentaire ne correspond pas à mes attentes. me dit-il.

Abasourdi, je ne pouvais dire un seul mot, me voyant déjà de retour à la case sans emploi avec Didier, bien que sorti du coma ne pouvait pas reprendre le travail.

- vos pantalons et pulls, je ne les supporte plus, enchérit-il. Sans parler de vos chaussures plates, sans formes. Vous êtes la seule présence féminine dans cette agence et, vous ne vous mettez pas en valeur.
Au bord des larmes, tête basse, regardant mes ballerines, j'encaisser difficilement le coup.

- Rentrez chez vous, je vous direz demain ma décision de vous garder ou non.

De retour chez moi, en larmes je retrouvai mon mari, toujours affaibli, ne pouvant encore subvenir à nos besoins.
Il était impossible que je perde cet emploi! Je fouillais dans ma penderie bien décidée a clouer le bec à ce petit merdeux.
J'opté pour une jupe droite arrivant au-dessus des genoux, d'un chemisier rouge et des bottines a petit talon. Soutien-gorge et culotte blanche classique.
Voilà comment je suis arrivée au bureau le lendemain matin.

Plusieurs employés venant prendre leur affectation m'ont complimentées sur ma tenue, Arnaud lui est passé devant moi, me disant juste bonjour et rien.
Vexée, je me disais que la journée allait être longue. Au contraire, 10mn plus tard Arnaud m'appela dans son bureau.

Essayant de prendre le maximum d'assurance, j'entrai dans son bureau, me dirigeant vers le fauteuil pour m'y assoir.

- Reste debout, ça va ne pas être long, m'ordonna Arnaud.

Interloquée par ce subit tutoiement, je restai debout bouche bée.

Levant ses yeux vers moi il me dit

- je vois que tu as fait des efforts aujourd'hui. Es ce pour toi ou par peur de perdre ton boulot?

- je.....euh.... non c'est pour.... enfin bredouillai je.

- inutile de répondre, je sais que vu ta situation tu es prête à tout pour garder ta place, n'est-ce pas?

En guise de réponse, je baissai la tête regardant mes pieds pendant qu'Arnaud, se leva, fessant le tour de sa proie.

- pas mal la jupe! Un peu longue!

Quel mufle, comment osait il?
S'approchant de mon oreille il ajoute

- en plus on voit ta grosse culotte à travers, c'est horrible! A ton âge tu ne connais pas les strings?

J'en pouvais plus, je voulais fuir cette humiliation m'enfuir en courant mais, je ne pouvais pas faire un seul mouvement.
Arnaud s'assit sur le bord de son bureau, me regardant de haut en bas.

- si tu gardes cette robe, retire ta culotte de vieille!

Outrée, je le regarder interrogative, cherchant une échappatoire. Devant mon manque de réaction il aboya

- tu as compris ou tu es aussi stupide que tu en a l'air?

Il s'approcha de moi, saisit le bas de ma jupe et d'un geste brusque la releva jusqu'à la taille, me laissant en pleurs et culotte devant les yeux de mon patron.

- qu'es ce qu'elle est horrible! rien que pour ça je devrais te virer sur le champ me dit-il.

- s'il vous plait non Monsieur, gardez moi, je vous en supplie, j'ai besoin de travailler, pleurai je tout en baissant ma culotte, dévoilant me premier poils pubiens.
La culotte arrivée à mes pieds, je restai inerte devant le sourire carnassier d'Arnaud, regardant mon intimité, faisant le tour comme on fait le tour d'une voiture qu'on veut acheter.
Se collant à mon dos, il me chuchota à l'oreille

- j'étais sûr que tu avais un bon cul de salope!

Cette sorte de compliment me réchauffa le ventre. Pourquoi? Pourquoi ça m'a chauffé?

Arnaud retourna derrière son bureau, nota une adresse sur une feuille et me dit

- baisse ta jupe, va de ma part à cette adresse, des tenues t'attendent. Si tu veux vraiment garder ton emploi, rendez-vous demain matin à 7h30. Maintenant retourne chez toi et laisse ta grosse culotte par terre.

En larmes, humiliée, honteuse et, cul nu je rentre chez moi, me demandant ce que l'avenir me réserve........

Une suite?

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