Ophelie De Femme À Femelle (2)

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

De retour à la maison, en pleurs, perdue, ne sachant que faire, j’allais directement sous la douche pour me laver de cet affront, de cette humiliation.
Je rentrai sous l’eau chaude, la laissant couler sur mon visage, le long de mes gros seins (95C), mon ventre et mes cuisses.
Que dois-je faire ? Aller porter plainte auprès de la police ? Quitter mon emploi ? En parler à mon mari ?
Toutes ces solutions impliquaient que je perde mon emploi et, dans ma situation cela est impossible.
En y réfléchissant, il n’y a pas eu violence, il m’a juste demandé de faire des choses indécentes et moi, comme une conne, j’ai obéis.
Et pourquoi cette chaleur dans mon ventre quand il m’a traitée de salope ?
Qu’avait il fait de ma culotte, restée dans son bureau ?
Je sors de la douche avec encore plus de questions qu’en y entrant…… Bravo
Enroulée dans une serviette, je croise mon reflet dans la glace, laissant tomber la serviette je me regarde attentivement.
Mon 95C tient bien encore, un peu tombant mais avec un bon volume, mes tétons sont bien dessinés, mon ventre bien plat avec mon pubis, bien qu’un peu poilu, reste dans l’harmonie de mon corps. Ramassant ma serviette, j’admire mes fesses, bien rondes et rebondies, pour une quarantenaire, je reste encore « potable ».
Sortant de ma contemplation, je décide de rejoindre mon époux dans le lit, me blottissant contre lui, essayant de trouver le sommeil.

Réveillée de bonne heure, je reste assise au bord du lit, me demandant quelle tenue je vais bien pouvoir mettre pour aller travailler.
J’opte pour un pantalon tailleur noir, un corsage rouge avec sous vêtement classique blanc.
Après tout, qu’es ce que je risque? Si ça ne lui convient pas, il me fera des reproches et, puis après ?
Avec la boule au ventre, je rentre à l’agence pour prendre mon poste, mais surprise, mon bureau est vide, plus d’ordinateur, plus de téléphone, plus de dossier.


Je reste comme une potiche devant ce bureau vide, ne sachant quoi faire. Soudain la porte du bureau d’Arnaud s’ouvre.

- Ophélie, dans mon bureau.
Fébrilement, j’entre dans son bureau, découvrant avec un peu de soulagement toutes mes affaires dans le coin de son immense bureau.

- Je vois que tu n’as pas compris la leçon d’hier, que tu retombe dans tes travers après l’effort vestimentaire que tu as fait.
- Mais monsieur, c’est que je n’ai pas…….. commençai-je à bredouiller.
- Ferme-la ! je vois simplement que tu ne tiens pas à ton emploi, il me reste qu’une signature pour mettre fin à ton contrat. C’est bien ça que tu veux non ?
En pleurs, je le supplie de ne pas me renvoyer, que je suis désolé de l’avoir déçue, que je suis prête à tout pour garder mon emploi.
Debout devant son bureau, il me dévisage de haut en bas, avec un sourire carnassier.

- Prête à tout Ophélie ? Mets-toi à genou et supplie moi !
Instinctivement, je prends la position ordonnée, réitérant mes supplications, mes fesses posées sur mes talons, le regard baissé, regardant les pieds de mon patron, debout devant moi à quelques centimètres.
Quel tableau pitoyable, une employée à genou devant son patron, le suppliant de ne pas la licencier, les yeux au sol, attendant la sentence.
Une sentence qui arriva sous la forme d’un bruit, le bruit d’une fermeture éclair qu’on abaisse.
Je reste interdite, n’osant pas lever les yeux, sachant, devinant, craignant de ce que mon patron venait de faire.

- Regarde-moi, m’ordonne Arnaud.
Restant immobile, il m’agrippe par les cheveux, les tirant en arrière pour que je lève la tête. Instinctivement, j’att sa main et je ferme les yeux sous la douleur.

- Mes tes mains derrière ton dos et regarde-moi !
Ce que je craignais était face à moi, à quelques centimètres, son sexe, sorti de son pantalon, pendouillant devant mon visage. Un sexe qui me paraissait énorme, long et, pourtant semi-bandé.

Malgré la peur, la honte et mes pleurs, je ne peux m’empêcher de la comparer à mon mari. Me remémorant de la dernière fois que je l’ai vu, il y a plus de deux mois, me paraissant deux fois plus petit, en pleine érection.
Es ce possible d’avoir une si grosse verge ? Comment pouvait-on accepter un si gros morceau en soit ? Es ce que ma main en fait le tour ? Avec toutes ses questions qui me traversaient l’esprit, je n’avais pas remarqué qu’Arnaud avait lâché son emprise et, malgré cette liberté je n’arrivai pas à détourner mon regard sur cet organe qui prenait de plus en plus de volume.
Comme hypnotisée, je regarde mon patron, empoigner son sexe, faire de long va et viens devant moi, étonnée par l’ampleur de son sexe.
Qu’es ce qui m’arrive ? Au lieu de crier au viol, de m’enfuir, je reste là, hypnotisée par cette colonne de chair devant moi, sentant mes tétons durcir sous mon soutien-gorge, et une douce chaleur apparaitre dans mon bas ventre.

- Je vois que ma bite te plaît, petite salope !
Salope ! Comment ose-t-il ? Et pourquoi à cette insulte, mon sexe me brule ?

- Ouvre ton corsage, montre-moi tes gros seins Ophélie ! Prouve-moi que tu es prête à tout pour rester dans mon entreprise !
Comme un automate, j’obéis. J’obéis à cet homme qui tient mon destin entre ses mains. A cet homme qui exhibe son énorme sexe devant moi. Son sexe que je ne quitte des yeux tout en ouvrant mon corsage, tirant sur mon soutien-gorge pour le faire passer au-dessus de mes seins.
Que quelqu’un vienne me libérer ! Pourquoi je reste comme ça, exhibant ma poitrine à mon patron, les yeux braqués sur ce pieu, sur ses mains qui branle ce sexe ?

- Tes mamelles sont aussi bandantes que ton cul ma salope ! dit-il en accélérant son mouvement. Je suis sûr que tu mouille, avoue que ça t’excite, que tu aimerais la toucher !
Dans mon esprit je hurle OUIII, oui j’ai envie de la toucher, mais je reste muette, sans réaction, fixant son sexe prendre encore plus de volume, regardant son gland suintait du liquide translucide sortant de son trou qui s’ouvre de plus en plus.

Soudain sa main arrête son va et viens enserrer la base de son sexe et, dans un râle m’asperge la poitrine ! 1, 2 puis 3 giclées viennent frapper mes seins, une dernière viens s’abattre sur un de mes tétons, m’électrisant les seins, fessant parcourir des frissons le long de ma colonne vertébral, descendant au niveau de mon sexe que je sens humide.
Qu’es ce qui m’arrive ? Comment se fait-il que je sois excitée ? Mon patron viens de me jouir dessus et, je suis si excitée que mes bouts de seins me font souffrir. Malgré la honte je ne lâche pas du regard son sexe qui débande doucement, n’attendant qu’une chose, qu’il me demande de venir lécher les quelques gouttes qui continuent à sortir.
Tenant toujours son sexe dans sa main, Arnaud sorti son portable afin d’immortaliser cette scène surréaliste et, au lieu de m’offusquer, je me penche, langue tirée afin de recueillir les gouttes de sperme sortant de cette colonne maintenant molle.
Que de première à plus de 40 ans…..
Première exhibition.
Première fois aspergée de sperme.
Première fois que je goutte du sperme.
Et malgré la honte, l’humiliation, je sens ma culotte détrempée, collant à mon sexe.
Aurait-il raison ? Suis-je une salope ?
S’il me demande de lui lécher son sexe maintenant, je pense que je lui obéirai sans poser de questions.
Au lieu de cela, il le range dans son pantalon, referme sa braguette et retourne à son bureau, me laissant là, à genoux, les seins à l’air recouverts de sperme, excitée comme une salope.
Que dois-je faire ? Me lever ? M’essuyer ? M’enfuir ? Tant de questions, je suis perdue, je ne sais plus quoi faire.

- Debout Ophélie !
Enfin un ordre, à croire que je n’attendais que ça.
Je me relève avec difficultés et, je reste debout, les jambes en mousse, devant mon patron, les yeux au sol, un bras essayant de cacher ma poitrine, attendant un nouvel ordre.

- Ophélie, sais-tu pourquoi je t’ai demandé de ne plus mettre de pantalon ? réponds !
- Je….
Je ne sais pas monsieur, pour être plus féminine ?
- Oui mais aussi pour éviter ce genre d’accident. Me dit-il en pointant du doigt mon entre jambe.
Regardant mon entre jambe, je cru défaillir en voyant une auréole, une auréole de mouille, ma mouille qui a inonder ma culotte, traversant celle-ci.
Quelle honte, comment puis-je nier que cette séance m’as déplu ?

- Enlève ton pantalon et ta culotte pour les faire sécher, et viens près de moi, avec ton carnet de note.
Affaiblie, honteuse, j’obéis a ses ordres et, c’est cul nu, les seins a l’air que je me poste à ses côtés, avec mon carnet et stylo pour prendre des notes.
Il compose un numéro de téléphone et, en attendant m’ordonne d’écarter les cuisses.

- Allo, maitre Richard, bonjour, Arnaud à l’appareil, comment allez-vous ?
Ne sachant quelles notes il fallait prendre, je rester ainsi, jambes écartées, à côté de mon patron, l’écoutant discuter avec, à mon avis, son avocat.
Tout en parlant à son interlocuteur, Arnaud commence à jouer avec mes poils pubiens, les caressant, tirant de temps en temps dessus, me fessant mal, arrêtant juste avant que je ne crie.
Etant gênée par ses attouchements, je ne comprends rien à sa conversation, ils parlent de contrat, d’esclave, de droit…..
Je décroche de toute réalité quand je sens ses doigts caresser mes lèvres, les séparant, laissant un filet de mouille couler sur ses doigts.
Mes tétons se sont tout de suite remis à pointer quand je sens son doigt forcer l’entrée de ma grotte. Rejoins par un deuxième, et commençant un doux va et viens. Jamais on ne m’avait doigtée de la sorte, je ne contrôle plus rien, j’écarte un peu plus mes cuisses, laissant mon patron jouer avec mon sexe, oubliant toute pudeur.
Je mime naturellement, sans honte l’acte sexuel montant et descendant sur ses doigts, m’imaginant que c’est son sexe.
Je jouis comme jamais, ne me retenant plus, déconnectée du monde réel, j’asperge de ma mouille tout le poigné de mon patron, m’appuyant sur le bureau pour ne pas tomber tellement ma jouissance fût forte. Mais lorsqu’il retire ses doigts, mes jambes ne me supportent plus et, je tombe à genou, essoufflée, au bord de l’évanouissement, les yeux embués. Me laissant aucun répit, Arnaud me tire les cheveux, m’enfonce ses doigts pleins de mon jus dans la bouche et me dit :

- Je savais bien que sous tes aires de bourges, tu es une grosse salope. Et maintenant, je vais te dresser pour devenir une chienne. Ma chienne !

A suivre….

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