Ophélie, De Femme À Femelle (5)

J’émerge doucement de mon sommeil, allongée sur mon canapé, encore vêtue de mes habits d’hier.
Sans faire le moindre mouvement, je pris pour que ce qui s’est passé hier ne soit qu’un rêve mais, la sensibilité de mon entrejambe me rappelle à la réalité.
Ce rapport torride et jouissif n’était donc pas un rêve, je me suis véritablement faite baisée par mon patron.
Je cherche à tâtons mon téléphone pour voir l’heure. Mon dieu, 8 heures moins dix, 2 appels en absence, un message et un SMS. D’un bon je me redresse écoute le message.
C’est l’aide-soignante de mon mari, elle aura 1 heure de retard. Merde
Le SMS, de mon patron, il me dit d’être prête à 8 heures, il vient me chercher. Re merde !
Je me lève rapidement, paniquée essayant de faire le point sur la situation.
L’aide-soignante va arriver vers 8h30.
Mon patron à 8h00, ça me laisse moins de 10 minutes pour préparer mes affaires, prendre une douche et, me préparer.
J’enlève ma robe et, cours toute nue vers ma salle de bain. En passant je jette un coup d’œil dans la chambre de mon mari, ça va il dort encore, enfin une bonne nouvelle.
Je saute dans la douche, et commence à me savonner sous l’eau encore froide. Ça va me réveiller comme! Je passe mes mains partout sur mon corps, hum avec la froideur de l’eau j’ai mes tétons qui sont tous durs, je m’attarde un peu dessus, passant et repassant mes doigts. Humm si j’avais le temps.
Vite pas le temps, je m’attaque à mon entre-jambes, il y a du boulot, j’ai du sperme séché dans mes poils pubiens, sur mes lèvres encore sensible, sur mes cuisses. Même entre les fesses. Le salop, il m’en a mis vraiment partout !
Petit rinçage toujours à l’eau froide et je sors de la douche. En m’essuyant je regarde de nouveau l’heure : 8h00
Merde, merde, merde. Je n’ai pas encore préparé mes affaires, je sors de la salle de bain enroulée dans une serviette, me précipite dans le salon. Avant même d’y arriver, j’entends toquer à la porte.


Pitié, faites que ce soit l’aide-soignante.
J’ouvre et découvre Arnaud, mon patron, habillé costume, cravate. S’il n’était pas aussi pervers, je pourrais le trouver séduisant.
Il me toise de haut en bas, je sens une pointe d’agacement dans son regard.

- Tu n’es pas encore prête ? qu’es ce que tu fous ? je t’ai dit 8h00 !
J’essaie de lui expliquer tant bien que mal, que je ne me suis pas réveillée, que l’aide-soignante a du retard et, que je ne peux pas laisser mon mari encore endormi tout seul.
Sur ces explications je vois son petit sourire en coin, quelle conne, en une phrase, je viens de lui dévoiler que je suis seule, à moitié nue, avec mon mari endormi !
Bravo Ophélie, si ça ce n’est pas une invitation…..
D’ailleurs, il le prend comme tel, avançant vers moi, me fessant reculer au milieu du salon. Après avoir refermé la porte, il se tourne vers moi et, d’un geste habile tire sur ma serviette, dénudant mon corps, offrant toute mon intimité a son regard pervers.
Par pudeur, je couvre mes seins avec mon bras et mon sexe avec l’autre main.
Il me regarde avec envie et me demande de mettre mes mains derrière la tête. Le son de sa voix me glace et, me fait obéir. La position demandée me fait bomber le torse et, par conséquent ressortir ma grosse poitrine. Le froid et, l’excitation a pour effet de faire pointer mes tétons. Arnaud tourne autour de moi, je peux sentir son souffle sur mes épaules, ma nuque.
Malgré moi cette situation m’excite. Je sens le désir, l’envie de mon patron.
Du haut de ma quarantaine, je fais toujours envie à ce pervers, j’ose même un coup d’œil rapide à son entre-jambe. Il le voit et souris de plus belle.
Il s’approche de mon oreille et me murmure :

- Tu as vraiment un corps de salope !
Et en me prenant les pointes de mes seins entre ses doigts me demande si je me rappelle de la séance d’hier soir.
Je lui réponds que c’était une erreur, que je n’étais pas moi-même, qu’il ne faut pas recommencer.

Cette réponse ne le satisfait pas et en accentuant la pression sur mes tétons il me rétorque en serrant les dents.

- Comme ça madame la salope a eu son coup de bite, elle a jouis comme une chienne et, maintenant se défile ! tu crois que je vais m’en contenter sale chienne ?
Mes tétons pincés par ses gros doigts m’électrisent, m’excitent et, je pousse un Ah de douleur et de plaisir. Jamais on ne m’avait maltraité les seins de la sorte. Je ferme les yeux pour apprécier ce traitement malgré moi.
Tout en me tenant par mes pointes, il insiste.

- Dit moi ce que tu m’as céder hier soir salope ! dit moi ce que tu veux devenir pour encore gouter à ma bite salope !
Je gémis de douleur et de plaisir, je sais très bien qu’il ne ma lâchera pas tant qu’il n’aura pas obtenu ce qu’il demande et, dans un murmure je lui avoue :

- Je veux devenir une chienne, votre chienne.
Je le sens jubilé, il vient d’obtenir ce qu’il voulait, ce qu’il est venu chercher. Il tient entre ses doigts une bourgeoise qui vient de lui avouer qu’elle veut devenir sa chienne. J’imagine son sentiment de domination qu’il doit éprouver à cet instant.
A cet instant précis, si j’avais pu disparaitre, je l’aurai fait avec plaisir mais j’étais là, toute nue, les mains derrière la tête, tenue par les tétons par un homme à qui je venais d’avouer que je voulais qu’il me traite comme une chienne.
Cela aurai du me dégouter, m’effrayer, mais tout au fond de moi, j’étais excitée, je me remémorée les orgasmes à répétition d’hier soir, cette sensation d’être remplie comme jamais.
Si l’homme me dégoutait, ce qu’il avait entre les jambes m’excitait !
En regardant sa montre, il me demande à quelle heure doit arriver l’aide-soignante. A 8h30

- Très bien, il est 8h21, ça te laisse moins de 10 minutes pour me faire jouir salope.
Sur ces mots, il sort son sexe à moitié bandé de son pantalon. Je reste interdite, fixant cette hampe qui, il y a quelles heures était en moi, me fessant jouir comme jamais.
J’attendais comme la dernière fois qu’il se masturbe et jouisse sur moi.
Devant mon inactivité, il vient appuyer sur mon épaule, me fessant mettre à genou. Je le regarde interrogative, qu’es ce qu’il veut ?
Présentant son sexe devant mon visage il me dit

- Allez au boulot salope, il te reste moins de 8 minutes !
Mon dieu, il veut que je le masturbe, que je le fasse jouir. Timidement je prends son sexe dans ma main. Mes petits doigts arrivent à peine à en faire le tour et, je commence une timide va et viens. Je sens son sexe se raidir et grossir encore, je me félicite intérieurement de l’effet que je lui procure.
Ma joie est de courte durée, car je comprends rapidement que ce n’est pas ce qu’il attend. D’un geste d’agacement il retire ma main de son sexe, le prends a pleine main par la base, le fessant grossir au maximum, de son autre main me tire par les cheveux vers sa hampe, frottant son gland contre mes lèvres encore fermés !

- Putain, suce salope !
Il force sur mes lèvres, s’impatiente. Je ne veux pas, j’essaie par tous les moyens à échapper à cette pénétration mais, il est plus fort que moi, il me tient bien et, arrive enfin à insérer son gland dans ma bouche.
J’ai son gros champignon entre mes lèvres et, je n’ai qu’une envie, de l’expulser, de le recracher, de le mordre pour qu’il se retire.
Mais au lieu de cela, il me maintient la tête avec ses deux mains et commence un va et viens dans ma bouche.
J’ai envie de vomir ! Je vais vomir ! Il va de plus en plus profond et j’ai des hauts de cœur. J’essaie de le repousser avec mes mains. Il sort enfin de ma bouche, reprends son sexe dans une main et commence à me gifler avec son barreau de chairs.

- Je suis sûr que tu n’as jamais sucé une grosse bite petite salope. As-tu déjà pompé ton mari salope ?
Sans me laisser le temps de répondre, il me remet de nouveau son sexe dans ma bouche, me provoquant un nouveau haut le cœur et me fessant baver.


- Tu ne sais pas sucer chienne ! je ne vais pas y arriver avec toi ! me dit-il en me libérant de son emprise.

Me laissant avachie par terre, essayant de ne pas vomir, bavant et crachant sur le sol, les yeux pleins de larmes.
Pleins de larmes par cette brutale pénétration mais aussi pour l’avoir déçu !
Oui, je voulais le faire jouir ! Je voulais lui prouver que je pouvais le faire jouir !

- Faut vraiment refaire toute ton éducation ! Putain, même une pipe c’est trop pour toi ! va t’habiller, on y va !

Je le sens très en colère, agacé. Je pense que ça va être une longue journée….
Devant ma penderie, en larmes, je regarde ce que je peux mettre. Ce que j’ai de sexy, de plus provocant pour lui faire plaisir.
Non mais tu t’entends ma pauvre Ophélie ? Pour lui faire plaisir ? Mais pour qui tu te prends ?
Tout en prenant une petite jupe à volants très courte et, un chemisier que j’avais mis de côté car il était trop petit au niveau de la poitrine, je me résous à m’avouer que je suis sa chienne.
Sa chienne qui pour se faire pardonner va essayer de le rendre fier par sa tenue et, c’est avec une jupe qui m’arrive juste sous les fesses, des talons haut et, un chemisier qui est tellement serré au niveau de la poitrine qu’on a l’impression que les boutons vont sauter, que je me présente à lui, à mon patron.
Il me détaille sous tous les angles fessant le tour pour mater mon derrière.

- Pas mal, je vois que tu as fait des efforts vestimentaires. Au fait, l’aide-soignante est arrivée, on peut y aller.
Sans me laisser répondre ni aller dire au revoir à mon mari, il m’entraine par le bras vers sa voiture.
Nous partons direction l’agence. En route il me fait écarter les cuisses, dévoilant mon sexe, le caressant de temps en temps, ce qui nous value un coup de klaxon d’un camion, arrêté à notre hauteur dans les embouteillages de Marseille.

- Laisse tes cuisses écartée, fais le bander ce monsieur ! m’ordonne Arnaud.

Rouge de honte j’obéis, je n’ose pas regarder ce routier qui doit avoir une vue imprenable sur ma toison. Il pousse même le vice à me titiller mon clitoris, me fessant frémir de plaisir, oubliant presque ce routier qui ne doit pas en croire ses yeux de cette scène surréaliste.
La circulation se fluidifie, et nous arrivons enfin à l’agence, toujours mon sexe à la vue d’Arnaud qui, s’arrêtant dans le parking souterrain, se tourne vers moi et m’ordonne de sortir de la voiture.
Il est 9h00, l’heure à laquelle je dois prendre mon poste, mais je suis là, debout, tête baisser devant la voiture, attendant mon patron qui pianote sur son téléphone, envoyant des messages me semble-t-il.
Au bout d’un moment qui me semble une éternité, il sort de sa voiture, fais le tour et viens se coller à moi, pressant sa virilité dans le bas de mon dos.

- J’ai toujours envie de jouir, en plus tu as fait exprès de m’exciter dans la voiture ! qu’es ce que tu proposes pour remédier à ça ma salope ?

Mon dieu, qu’es ce que je peux lui répondre ?
S’il veut que je le suce, je ne vais pas y arriver ! Il va encore s’énervé. Angoissée, je regarde partout dans le parking pour voir s’il y a quelqu’un et, dans un effort surhumain, je me saisis le bas de ma petite jupe, la relevant par-dessus mes fesses comme une invitation, espérant qu’il comprenne.
Cette invitation le fait rire et, il commence à se frotter contre mes fesses. Me fessant sentir toute son érection, son envie ce qui m’excite, me fais mouiller. Mais il ne fait rien, il ne sort pas son pieu pour me l’enfoncer dans ma petite chatte dégoulinante. Pourquoi ?
Pourquoi il me fait languir comme ça ? Il attend que je lui demande, que je le supplie.

- Baisez-moi monsieur ! baisez votre chienne.

Je mesurai toute l’importance des mots que j’ai employés. Comprenant qu’avec cette demande j’abdique, je m’abandonne à mon maitre chanteur, mon patron pervers.
D’une main ferme, il appuis sur mon dos, m’obligeant à coller mes gros seins sur le capot de sa voiture, écartant mes jambes avec ses pieds. Il se décolle de mes fesses et je l’entends ouvrir sa braguette. Il frotte son gland sur mes petites lèvres, titillant mon clitoris, comme hier !
Et sans attendre, me pénètre d’un coup, de toute sa longueur ! Humm !
Drôle de sensation, j’ai l’impression d’être moins remplie qu’hier ! Mon sexe se serait-il habi à sa grosse bite ? Ou est-ce mon imagination.
Il commence à se mouvoir en moi, fessant des allers-retours, ses couilles me tapent sur ma chatte.
Là, ce n’est plus mon imagination, hier soir il n’arrivait pas à « tout rentrer », j’étais plus remplie hier, ce n’est pas possible, ce n’est pas Arnaud qui est en moi.
Prise de panique, j’essaie de me retourner, de me dérober, je me débats mais on me tord les bras derrière mon dos pour m’immobiliser.

- Bouge pas salope me crie Arnaud.

Je cris des non, des s’il vous plaît pour convaincre la personne d’arrêter mais rien n’y fait, il continu de me violer avec l’aide de mon patron. Il y met du cœur à l’ouvrage, cet inconnu, je le sens de plus en plus rapide, de plus en plus excité et, bien que e, je commence à y prendre du plaisir.
Je me laisse baiser comme une pute sur le capot d’une voiture, abdiquant, acceptant mon nouveau statut de chienne.
Tellement abandonnée qu’on a même plus besoin de me tenir les mains, je subis mon sort, éprouvant du plaisir, soupirant d’aise quand je sens des mains écarter mes fesses pour rendre plus profond cette pénétration.
Encouragée par les insultes d’Arnaud et de cet inconnu, je sens un violent orgasme monter en moi.
Mais avant qu’il ne me submerge, mon inconnu se retire et dans un râle m’asperge de son foutre chaud. Je sens ses giclées frapper la raie de mes fesses, une dernière qui atterrie sur mon anus.
Ah le salope, j’ai ma chatte qui palpite, je me tortille, lançant mon cul en arrière pour réclamer mon orgasme, poussant des ah, ou des encore.
Une vraie chienne réclamant son os, les fesses toujours écartées, souillées par mon « agresseur ».
Arnaud me lâche les fesses, je le sens derrière moi, il doit apprécier le spectacle de cette bourgeoise complétement souillée, prête à tout pour jouir.

- Alors, il t’a bien baisée petite salope ?
Je tortille mon cul pour toute réponse.

- Réponds chienne ! dit moi s’il t’a bien baisée !
- Non Monsieur, je n’ai pas jouis, s’il vous plaît faite moi jouir monsieur.

Me voilà en train de supplier mon patron de me faire jouir, le cul à l’air, le sexe dégoulinant de mouille.
Quel spectacle !
Et, lui s’amusant à me caresser la chatte, les fesses, mon cul, m’électrisant encore plus, me fessant pousser des râles de plaisirs et de supplications.
D’un coup, il vient plaquer son sexe entre mes fesses et, se plis en deux pour pouvoir me murmurer à l’oreille :

- Je vais te faire hurler petite pute ! te faire hurler de douleur et de plaisir ! vu que tu n’es pas bonne pour sucer, je vais voir si tu es bonne pour autre chose chienne !
Ne saisissant pas le sens de sa phrase, je murmure :

- Oui monsieur, je suis à vous, z de moi s’il vous plaît !

Il se décolle de moi, ouvre la portière passagère, fouille et reviens derrière moi.
Durant tout ce temps je n’ai pas bougé d’un millimètre, attendant qu’il vienne r de moi, qu’il vienne me faire jouir, peu importe comment.
Je ne me débats même pas quand je le sens me lier les poignets derrière le dos, m’immobilisant complètement lui laissant ses mains libres, pour me pétrir les fesses, les claquer, les écarter.
Il pose son sexe entre, puis les resserres, coinçant sa bite entre mes fesses, s’en servant pour se branler. Comme une cravate de notaire mais avec mes fesses.
Aider par le jus de l’inconnu, je sens toute la longueur de son sexe glisser contre mon anus, ses couilles taper chaque fois sur mes lèvres ouvertes !
Il me rend folle, immobilisée, je savoure ce traitement qui dure un moment, rendant son sexe encore plus dur.

- Passons aux choses sérieuses maintenant ! me dit-il tout en me pénétrant doucement mais surement.

Je suis si mouillée que j’entends le trop plein de mouille s’échappée lors de cette pénétration.
Butant au fond de ma chatte, il s’arrête, me demandant si je sens la différence.
Oh que oui, je la sens bien, je suis remplie, pleine, je suis à lui !
Dépêche-toi de me prendre par les hanches et de me défoncer ma chatte de salope !
Fais jouir ta salope de chienne ! Putain vas-y !!
Toutes ses pensées obscènes me traversent l’esprit mais aucuns sons ne sort de ma bouche.
Mais il ne fait rien, il reste là, sa bite plantée en moi, m’écartant les fesses de ses mains et me crachant dessus. Ca l’excite de me recouvrir de salive ? C’est un nouveau jeu érotique?
Pour toute réponse, je sens son pouce venir me caresser l’anus, étalant toute la salive et, forçant l’entrée de mon cul.
Ahh, non, mon dieu, il veut me rentrer son pouce dans mon petit trou !
J’essaie de me relever, oubliant mes mains liées dans mon dos, ce qui a pour effet de me plier en deux, bomber mes fesses, fessant entrer tout son doigt entre mes fesses.
Je serre les dents pour ne pas crier sous cette violente pénétration, j’essaie de me libérer, je sers les fesses pour le dissuader d’aller plus loin.
Me sentant me contracter totalement, il me dit de me calmer, de me détendre.
Comment pourrais-je me détendre ? En moins d’un quart d’heure je viens de me faire baiser par un inconnu, et maintenant j’ai un gros morceau de chair dans mon sexe et un doigt dans l’anus !
Pour m’aider, il passe sa main sous mon ventre et, habillement, commence à me titiller le clitoris avec son doigt.
L’effet ne se fait pas attendre, je m’effondre de plaisir, j’écrase mes gros seins sur le capot et, savoure mon plaisir. Une simple pression sur mon bouton me fait tout oublier, l’environnement, ce qui s’est passé, ce qui se passe !
Mon excitation décuple mes sensations et, je sens Arnaud qui fait coulisser son pouce dans mon cul, qui se caresse le sexe avec son doigt à travers la fine paroi qui sépare mon cul de ma chatte.
Je sens de nouveau mon plaisir monté, il revient très fort, le mouvement dans mon anus est des plus en plus rapide et, ne me fait plus mal, au contraire, je l’apprécie. J’essaie de me concentrer sur mon plaisir et, de me laisser aller, je ne me suis même pas rendu compte que ma chatte n’est plus investie, qu’il s’est retiré, laissant simplement ses doigts dans mon fondement et, sur mon clito.
Je jouis puisement, sans pouvoir me retenir, sans pouvoir m’arrêter de crier mon plaisir. Je tremble de partout, mes jambes ne me supporte plus tellement que ma jouissance est forte, je suis simplement retenue par la main d’Arnaud sous mon ventre.
Il retire ses doigts de mon anus, et viens positionner son gland à la place.
Je suis abattue, je n’ai même plus la force de lutter. Je sais ce qu’il compte faire, mais je ne peux plus lutter, je suis sa poupée entre ses mains.
Je le sens forcer sur mon anus, même lubrifier, ça a du mal à passer, il s’y reprend plusieurs fois et, sur une poussée plus forte, son gros champignon arrive à passer mes sphincters, m’arrachant des larmes de douleurs. J’ai l’impression que l’on vient de me pénétrer avec des braises. La douleur est terrible et, je hurle de douleur.
Arnaud ne bouge plus, sa queue planté dans mon cul, il doit savourer son emprise sur moi.

- Putain ce que ton cul est étroit ma chienne. Tu me sers trop la bite !
Je l’entends cracher derrière moi, il doit lubrifier le reste de son sexe. Je souffle, transpire et pleure lorsque je le sens avancer dans mon cul, malgré la lubrification. Chaque millimètre de se barreau me brule, me fais crier mais ça ne l’arrête pas. Il continu sa longue progression jusqu’à ce que je sente le haut de ses cuisses buter contre mes fesses.

- Ah, voilà, tu l’as prise entière ma chienne. C’est mieux que mes doigts hein, salope ?

Je ne peux lui répondre, j’ai le souffle coupé, au bord de l’évanouissement. N’attendant aucune réponse de ma part, il commence à faire de petits vas et viens, augmentant au fur à mesure son amplitude.
C’est au bout de plusieurs minutes, que je subis de violents coups de butoir dans mon cul, entendant Arnaud pousser des râles de plaisirs, appréciant cet orifice apparemment.
Pour moi, la douleur est trop forte, toujours présente, je suis sure qu’il m’a déchiré le cul, j’attends dans la souffrance la fin de ce calvaire qui arrive vite, il se calle contre mes fesses, m’agrippant mes hanches il se vide dans mon intestin.
Voilà, tu es une enculée me dit-je en moi-même, une salope enculée.
Sans plus de considération pour moi, il se retire de mon cul, son sexe débandé, me libère les poignets et me dit en me claquant les fesses :

- Allez salope, tu vas être en retard, je vais être obligé de te punir.

Il me laisse là, les fesses à l’air, le cul défoncé, affalée sur le capot de sa voiture, essayant de reprendre mon souffle, mes esprits, mon calme.
Au lieu de m’effondrer, de m’enfuir, je glisse ma main sous mon ventre, effleure mon clitoris, caresse mes lèvres. Je sens son sperme s’écouler de mon anus, coulant sur mes doigts, je soupire, pas de douleur ni de honte mais de plaisir. Je me doigts doucement ma chatte, j’ai envie de jouir !
J’ai envie de me faire jouir.
Je suis une salope !
Une chienne !

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