Ma Vie Sexuelle

Je ne me souviens plus très bien à quel âge je me suis donnée du plaisir. Sans doute vers 15 ans, après une discussion avec copine de classe, en rentrant du collège. Elle expliquait comment elle avait obtenu une drôle de sensation en se lavant l'entre jambes. Elle était sur le bidet pour se laver, comme le lui avait demandé sa mère pour être très propre. A force de se savonner, à un endroit précis de son sexe, elle vaut découvert l'agrément de la chose, à tel point de le faire pratiquement tous les matins. Un soir, en se couchant, après avoir lu, éteint la lumière, elle passait une main justement là où elle avait senti cette nouveauté. A sa surprise, elle ressentait encore plus de plaisir avec sa main seule. Elle sentait surtout que son sexe devenait mouillé. Elle insistait et obtenait sa première jouissance.
Elle m'encourageait à en faire autant. Ce n'est qu'en me couchant que j'essayais à mon tour de me faire "jouir", comme elle disait. J'écartais un peu mes jambes pour chercher avec ma main l'endroit où j'aurais du plaisir. Je fouillais ma fente et trouver assez rapidement un petit bouton qui, sous mes doigts sortait de sa coquille. Je le touchais de plus en plus vite. Enfin j'avais un soupir de soulagement, en réalité de jouissance: je venais d'avoir mon premier orgasme. Je ne retirais pas ma main, au contraire j'améliorais ma technique en cherchant le ou les doigts qui me donnaient le plus de plaisir. Je trouvais qu'avec l'index et le majeur c'était meilleur. C'est encore cette façon de faire que j'utilise toutes les fois. Bien sur au fil du temps je trouvais d'autres méthodes plus, disons érotiques: par exemple il m'arrive de me doigter, de me mettre des doigts dans le cul ou même les deux à la fois, et plus tard d'utiliser un godemiché.
Par contre dès que j'entrais en faculté, je n'étais plus vierge depuis longtemps, je me consacrais uniquement mon travail. Par contre je passais le plus clair de mon temps libre à me caresser.

Dès le matin, avant de me lever, je passais un bon quart d'heure à me donner du plaisir: tout simplement en me masturbant avec ma main seule. Un peu plus tard, après le nescafé au lait que je préparais, je passais sous la douche. Là c'était plus complet: si je me lavais partout, comme tout le monde, je ne manquais jamais de projeter le jet d'eau sur mon sexe, j'en écartais les lèvres, faisais ressortir mon clitoris, mettais l'eau chaude du jet à quelques centimètres de moi. Pour faire durer mon plaisir j'éloignais le jet pour revenir le mettre à l'endroit où il me faisait jouir.
Je m'habillais, allais en cours, aux TP, à la bibliothèque, enfin là où je travaillais. Mon seul moment de vraie détente avec les autres était au restau U. Nous bavardions avec une bonne bande de copains et copines, à tel point que nous nous faisions régulièrement engueuler. L'apré'm était pareille. En rentrant dans ma chambre je me mettais toujours nue, me branlais d'abord, selon la saison, je restais toujours nues pour travailler à mes cours, sinon en cas de froidure je restais habillée sans culotte. Je n'étais pas exhibitionniste, au moins pas à cette époque.
Plus tard, bien plus tard, mes études terminées, une bonne place trouvée je pouvais enfin trouver un garçon suffisamment gentil et porté sur la chose pour me mettre avec lui. Malgré les plaisirs innombrables que nous prenions ensemble, je me masturbais toujours. Il aimait bien me voir faire. J'aimais le voir se branler lui aussi. Quand j'étais seule, je prenais mon godemiché de service (j'en ai eu pas mal dans ma vie) pour me le mettre là où j'avais envie. J'étais devenue adepte de la sodomie, aussi je me branlais par l'anus. J'avais aussi pris le coup de me caresser le bouton: double jouissance.
Quand je me suis mariée, ce n'était pas avec le même, je continuais mes masturbations au grand désespoir de mon mari qui pensait qu'il ne me satisfaisait pas. Comme il se trompait, il me faisait tout ce que j'aimais. Malgré toute ma manie que je pouvais me résoudre à abandonner, je devais à me cacher comme une gosse.
Enfin je pouvais toujours me satisfaire sans problème sous le douche, même dans le bain et surtout quand il n'étais pas là.
Plus tard j'ai eu un ami avec qui je faisais l'amour deux ou trois fois par semaine. Avec lui je pouvais me masturber: il adorait me voir le faire devant lui, surtout pour le remettre en forme après m'avoir baisée. Ma vie sexuelle devenait plutôt compliquée quand je retrouvais ma camarade de collège, celle qui m'avait qu'elle se masturbait. A force de revenir sur ses souvenirs nous nous sommes laissées aller à baiser ensemble plusieurs fois. J'avoue y avoir pris beaucoup de plaisir à la branler et à me faire branler. J'aimais un peu moins la sucer, alors qu'elle adorait me le faire.
Elle était mariée, moi aussi, par contre mon amant aurait bien aimé me voir avec mon amie. Son mari aussi. C'est ainsi qu'un soir nous nous sommes retrouvés à une baise à quatre. Le meilleur pour moi était le moment où les deux hommes m'ont occupés mes deux entrées.
Je vous raconterai en détail ce que j'ai pu faire pendant mes années de débauche, dans une prochaine suite.


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