Cindy, Ma Vie Sexuelle

Je me présente je m’appelle Cindy, j’ai 18 ans, je viens d’avoir le bac, je viens d’être engagée à l’Intermarché voisin avec ma meilleure amie, nous avons d’ailleurs décidées avec Sandy de louer un appartement ensemble. Un appartement qui est coup de chance à une centaine de mètres du magasin. Outre le fait de payer les factures ça nous permettra de faire des rencontres. Parce que le sexe reste ma passion principale, à moi et à Sandy.

Le boulot est ennuyeux mais se passe bien. Tandis que Sandy se partage entre les rayonnages et la caisse je m’occupe exclusivement de la caisse. J’attire plus le client a dit le patron avec un sourire dragueur. C’est vrai je suis grande, mince avec de longs cheveux châtains et les yeux bleus et surtout des petits seins bien fermes qu’il a tout de suite repéré. Au lieu de faire ma sainte nitouche je rentre dans son jeu. Il est plutôt pas mal, j’aime le sexe et la promotion canapé ne me fait pas peur. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai eu mon bac.
Les boutons du haut de la chemise défaits je me penche en avant de manière à ce qu’il voit mes seins le temps que je signe le papier posé sur son bureau. Je prends le temps de lire son papier, du moins je fais semblant, je suce le bout du stylo de manière équivoque, sa main glisse entre les pans de ma chemise pour caresser mes seins. Je le laisse faire avant de me redresser et défaire le reste de ma chemise. Il s’approche pose une main sur ma poitrine, l’autre sur ma taille et m’embrasse. Je commence à défaire sa cravate et sa chemise pour glisser ma main sur son torse. Je le déshabille doucement puis je prends un préservatif dans ma poche de jean que je glisse sur son sexe. Avant de le prendre je lui dis. Il me fait un signe de la tête, je glisse son sexe dans ma bouche et je commence à le sucer. J’appui bien sûr sa verge avec ma bouche et le pompe littéralement. Il pose ses mains sur ma tête et commence à appuyer pour que je lui fasse une gorge profonde.

C’est ma première et j’avoue que ce n’est pas très agréable mais je ne fais comme si de rien n’était. Quand il repousse ma tête et me relève je le laisse me déshabiller. Une fois nue il m’écarte les jambes, me soulève et me pose sur son bureau. À peine posée sur son bureau il me pénètre brutalement et me donne de grands coups de reins. Pendant qu’il prend son pied en me baisant comme un furieux je pousse des petits cris qui lui font croire que moi aussi je prends du plaisir. Une fois qu’il a joui il se retire, enlève le préservatif qu’il jette dans sa poubelle et se rhabille. Je descends de son bureau, je me rhabille et sors de son bureau comme si de rien n’était, avant que je ferme la porte il me dit « Merci Cindy, c’était bien. N’hésitez pas à frapper à ma porte si vous avez besoin. » Avec un grand sourire je lui répond que je n’hésiterais pas.