La Maison De Retraite. (1/1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Jai enfin trouvé un travail depuis huit jours dans une maison de retraite comme infirmier de nuit.
Jai trois étages de pensionnaires à gérer.
Une nuit au cours de ma ronde, jentends du bruit au 2e étage.
Je monte pensant quun ou quune pensionnaire à des problèmes et jai le temps de voir comme un ectoplasme entrer dans la chambre dune femme qui ma été présentée comme sappelant Mamy Josiane.
Je comprends de suite que Papy Louis est parti en promenade lorsque je vois que sa porte est ouverte et quil en est sorti.
La directrice mavait prévenu, Papy Louis est somnambule et va de temps en temps dans les chambres dautres pensionnaires.
Il est inoffensif et les autres samusent de ses déplacements nocturnes qui égayent leur vie souvent monotone.
Mamy Josiane est une vieille dame de soixante-douze ans, très maigre et cheveu entièrement blancs restant seule au monde à ce quelle men a dit un soir de confidence, il y a deux jours.
Malgré son âge, elle reste une femme avec une classe folle à qui jaurais volontiers conté fleurette, il y a quelques années malgré mes trente-cinq ans.
Je frappe à sa porte doucement comme il est normal lorsque jentre dans une chambre surtout dune dame et dans la clarté de la pleine lune, les volets étant ouverts, je vois Papy Louis couché sa tête sur lépaule de Mamy Josiane et qui dort en suçant son pouce.
Mamy Josiane est allongée nue la climatisation étant en panne dans sa chambre et devant être changée demain par le service dentretien.
Je prends doucement le vieil homme de près de 80 ans comme il ma été dit de le faire et jai la surprise de voir quil se lève et me suis avant de se recoucher dans son lit.
Je retourne auprès de Mamy Josiane pour excuser la maison de ce dérangement.
La dame a tiré le drap sur elle, mais un sein en sort.
Sa vue mattendrit, mais bien sûr je reste de marbre.
Venez Christophe me tenir compagnie, vous savez, les nuits sont longues depuis deux ans que je suis entré ici.
Et avant vous habitiez ou.
À Paris ou plus précisément à Pigalle.
Vous avez de la chance, je suis allé une fois à Montmartre et jai eu envie dy rester.
Si je vous racontais ce qua été ma vie, vous en partiriez en courant.
Je vais vous raconter.
Attendez, madame Josiane, je fais finir ma ronde et je reviens passé une demi-heure avec vous pour vous tenir compagnie.
Si jai été engagé, cest que mes références étaient parfaites ayant jusquà ce jour travaillé comme remplaçant dans de nombreuses maisons de retraite.
Comme je lui ai promis, je retourne auprès de madame Josiane où jentre sans faire de bruit.
Elle est assise dans son lit qui mattend.
Asseyez-vous là vous serez mieux quà rester debout ?
Il est incorrect de faire cela, mais la dame semble avoir tellement besoin de compagnie que, pour la première fois je transgresse la déontologie de mon métier.
Voilà ce qui peut arriver à une jeune fille plus que mignonne qui a un caractère trop indépendant.
Je suis issu dune famille bourgeoise du XVIe arrondissement mon père étant responsable dune banque.
Ma mère restait au foyer et un jeudi où elle mavait demandé de rester dans ma chambre lorsque javais 13 ans, jai entendu des gémissements dans la salle à manger.
Pensant que maman était malade où avait eu un accident, je me suis glissé jusquà la porte sans bruit.
Dans ces années-là, les jeunes étaient tenus en dehors de toute sexualité aussi, jai eu le choc de ma vie, ma mère celle que je prenais pour lune des saintes dont notre curé nous parlait tous les dimanches à la messe était à quatre pattes sur la moquette et le voisin lui entrait un genre de bâton dans les fesses.
Elle a crié très fort et lhomme a crié aussi.
Lorsquil a sorti son bâton, jai vu tomber des gouttes de liquide au sol.
Le voisin a traité maman de belle salope et que demain lorsquil viendra à la même heure, il lenculera comme elle aime quil le fasse.
Maman lui a donné son accord et comme jai vu quil se relevait en sembrassant, je suis retourné rapidement dans ma chambre.
Madame Josiane, votre histoire est passionnante, mais je dois faire ma ronde, je reviens.
Je fais mon travail avec une certaine célérité et jai la chance quils dorment tous alors je rejoins madame Josiane.
Où en suis-je, assieds-toi, tu seras mieux près de moi !
Je massois et jai la surprise quelle me prenne la main.
Jai donc rejoint ma chambre et quelques heures plus tard mon père est entré et maman est partie à son cours de gymnastique où elle allait trois fois par semaine.
Papa sest installé dans la salle et je suis venue sur ses genoux regarder la télévision avec lui.
Je faisais des envieuses à mon école où jétais la seule à avoir la télé.
Et puérilement jai posé une question qui a bouleversé ma vie.
Dis papa quest-ce que cela veut dire « enculera » ?
Où as-tu entendu ce mot ?
Tout à lheure, lorsque maman était à quatre pattes devant le canapé et que le voisin a dû lui faire du mal avec son bâton, car ils ont crié très fort et lorsquil la sorti de maman à goûter sur la moquette, tu vois, on voit encore les petites taches, il lui a dit, « demain il l enculera, car maman aime beaucoup cela. »
Ma fille, cest un vilain mot et surtout à ton école avec les surs ou avec tes copines, tu te tais, cela doit rester entre nous.
Oui, mon papa, je te promets.
Ma promesse a été facile à tenir, car le soir alors que jétais couché, jai entendu mes parents se disputer chose quil faisait rarement.
Le lendemain lorsque je me suis levé pour partir à lécole papa était absent et elle a dit aucun mot, mais le lendemain, on ma appris que papa était parti rejoindre le bon dieu au ciel.
Le baiser que je lui ai donné en lui faisant la promesse de ne rien divulguer à lécole était le dernier.
Ta mère sest remise avec le voisin.
Non, il était marié et a refusé de quitter sa femme.
Pendant trois ans jusquà mes dix-huit ans, jai dû déménager cinq fois, chaque fois dans des lieux de plus en plus crades.
Je voyais ma mère descendre, elle aussi à mesure que nous descendions dans léchelle des logements.
En plus, elle sétait mise à la boisson en me traitait de trainer, car cétait de ma faute si mon père sétait suicidé.
Le jour où elle ma dit cela la première fois, jai été horrifié, car javais toujours en mémoire son retour vers le bon Dieu.
Josiane, je sens que tu arrive au point crucial où ta vie a entièrement basculé.
Aujourdhui, il est déjà cinq heures et les personnes chargées de votre petit déjeuner vont arriver et vont se poser des questions si je suis absent du poste de garde.
Peux-tu me rendre la main ?
Le tutoiement, le fait quelle mappelle Christophe et moi Josiane se sont faits naturellement comme ma main qui a fini sur sa poitrine serrée entre les siennes naturellement.
Je te propose quelque chose, jhabite à deux pas sur les bords du Doubs à midi je viens te chercher où je taurais préparé un bon repas que nous prendrons dans mon petit jardin devant ma maison.
Tu auras assez dormi.
Quatre heures me suffiront, et puis tu maideras à faire la sieste en continuant lhistoire de ta vie.
Merci, ce sera la première fois que jirais manger au-dehors de létablissement.
Daccord vient me chercher.
Viens que je te fasse une bise, il y a si longtemps quun beau gosse veut minviter chez lui.
À douze heures tapantes au clocher de léglise, je suis devant la porte de son établissement et Josiane comme toute jolie femme qui se respecte se fait attendre une dizaine de minutes.
Sa silhouette élancée na dégale que le temps quelle a dû passer à se pomponner, car jai limpression quune midinette entre dans ma voiture.
Cinq cents mètres et nous sommes arrivés.
Gentleman, je laide à descendre.
Sur ma terrasse doù nous voyons passer la rivière coulant très lentement le niveau de leau étant très bas à cause de la sécheresse, sous le store, nous déjeunons de ce que jai préparé avec amour pour elle, des pâtes.
Il fait trop chaud dehors, on peut rentrer, je me sens un peu mal.
Viens sur mon lit, la pièce est fraîche et tu vas pouvoir tallonger.
Elle me suit et je linstalle pour quelle récupère.
Elle ouvre son chemisier et ses petits seins apparaissent, mais je laisse, mes mains bien posées sur mes genoux, métant assis à ses côtés.
Cela va mieux, cest mon cur qui ma encore joué des tours, cest pour cela que jai quitté Paris pour venir ici afin de trouver lair pur.
Ou jen étais cette nuit.
Oui.
Javais appris que mon père sétait suicidé après les traces de sperme laissées sur la moquette que je lui avais fait voir et que je lui avais dy que maman se faisait enculer par le voisin.
Maman est tombé très bas et au fure et à mesure quelle buvait, ses amants toujours plus nombreux devenaient de plus en plus ignobles.
Cest comme cela quelle a amené Adamo bel italien qui en plus de baiser, maman, ma pris mon pucelage dans ma 18e année.
Trois jours plus tard il memmenait en Italie où tu te doutes, je me suis retrouvé dans un bordel transalpin où jai dû subir des hommes qui mont pris mon corps en mapprenant ce qu « enculera » veut dire.
Enculée je lai été, car les clients adoraient cette Française aussi maigre quune liane.
Un jour Adamo ma dit de faire ma valise que nous retournions à Paris et plus spécialement à Pigalle.
Plus tard jai su quil fuyait la mafia, car ils les avaient grugés.
Cest huit jours plus tard alors que nous venions daménager dans un logement proche des derniers où jai vécu avec ma mère où jai atterri quil a pris trois balles de revolver en pleine tête alors quil était attablé à un bar de la place Clichy avec la dernière pute quil avait réussi à mettre sur le trottoir.
Nous avons été récupérés par un mac corse avec lequel il avait une ardoise.
Adamo ou Enzo, même si officiellement la prostitution est interdite en France, javais toujours tous les soirs même le dimanche des bites à satisfaire.
Jai honte pour tous ces hommes qui ont abusé de toi et de ta candeur de jeune fille.
En disant ces mots sans aucun calcul, javance ma tête et nos bouches se trouvent.
Christophe quest-ce que tu fais, je pourrais être ta mère.
Même ma grand-mère, je te veux.
Cest comme cela quelle sait laisser faire et que je lai déshabillée, lui mangeant sa chatte avec sa toison blanche, la faisant jouir après quelques petits coups de dents sur son clitoris.
Tu es fou, mais cest bon, cest la première fois depuis mon dépucelage et les deux ou trois premiers jours que je jouis.
Tu crois que tu vas aimer venir dans cette vieille femme devenue.
Je vais être grivois, ma belle salope écarte, tes cuisses, je vais te rentrer ma verge bien en profondeur.
Jentre dans son sexe tout chaud et bien humidifié par lenvie de faire lamour que son corps réclame.
Lorgasme que je déclenche en elle et les jets de sperme quelle tire de moi sont sans aucune mesure avec ce que jai connu avec dautres femmes.
Je suis conquise, dans les heures qui ont suivi, elle souhaite me donner son anus et me faire une fellation non pas comme une pute avec son client, mais entre deux êtres qui saiment et qui pratiquent le plaisir des corps pour concrétiser leur amour et leurs envies.
Le soir, elle veut rentrer, je len dissuade et après une nuit dormant dans les bras, lun de lautre, je vais porter ma démission à la maison de retraite ainsi quune lettre demandant le compte et la libération de la chambre de Josiane.
Jai pris le poste à pourvoir dans le centre médical dinfirmier libéral avec mon cabinet dans ce centre installé par la mairie.
Six mois sont passés et après bien des combats, jarrive à ce quelle accepte de mépouser.
Nous allons à la mairie publiée les bans. La secrétaire lorsquelle transcrit les dates de la carte didentité comprend que la mariée est la dame au cheveu blanc qui maccompagne croyant certainement que ma maman maccompagnait.
Le samedi à la date prévue le maire nous unis et nous nous payons un bon restaurant non loin de notre domicile.
Dans la nuit Josiane après avoir fait son devoir conjugal sendort dans mes bras rejoignant le bon Dieu
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