Sexe Boy De La Maison De Retraite. (2/6)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après le décès de ma nounou qui après mavoir donné le sein ma fait le cadeau de me dépuceler le jour de mes 18 ans, nous avons vécu ensemble bien que lâge ait commencé à compter surtout pour elle qui avait vingt ans de plus que moi.
La différence dâge a entraîné des changements sur son corps qui comme les personnes âgées se parcheminait et se ridait me laissant indifférent tellement lamour était profond entre nous.
Nous avons vécu sur le pécule gagné par mes parents mais après la mort de Constance je suis allé minstaller dans un village près dAuxerre ou contre toute règle jai enterré son urne dans mon jardin sous un massif de fleurs.
Je suis en train de tout biner quand une brave dame profitant des premiers beaux jours sarrête pour me féliciter sur sa bonne tenue.
Cest ainsi que japprends que la grande bâtisse à deux cents mètres de là est une maison de retraite ou ses s lont placée.
Satisfait de ses félicitations je linvite à entrer prendre un café ou un thé.
Vous avez beaucoup de goût, votre intérieur est comme votre jardin impeccable.
Cest votre mère qui est partout en photo ?
Regardé cette photo, vous croyez que jembrasserais ma mère sur la bouche, non cest Constance avec laquelle jai vécu toute ma vie depuis ma naissance ou elle était ma nounou et le moment où nous sommes devenus amant.
Pardon, mais vous êtes bien plus jeune quelle.
Vingt ans mais en amour ce petit détail reste insignifiant.
Vous avez raison cest comme moi avec Arthur, nous étions très soudés mais à la fin de sa vie jai souffert du manque de câlin car il lui était impossible de band
Excusez, jai failli dire un mot qui est mal venu dans la bouche dune vieille dame comme moi.
Non, vous avez raison de dire quil lui était impossible de bander, bien sûr Constance avait à sa disposition un homme capable de la satisfaire et confidence pour confidence elle était très souvent demandeuse et adorait nos rapports sexuels.
Nous avons fait lamour la veille de son hospitalisation sans penser que cétait la dernière fois hélas car elle me manque.
Puis que nous en sommes aux confidences moi ce qui me manque ce sont les fellations que je faisais à Arthur et surtout son sperme que jadorais avaler.
Si je mécoutais je vous proposerais 50 francs pour avaler le vôtre à la place de ce thé.
Excusé moi, pas 50 francs, 50 bien sûr, jai du mal à me faire à la nouvelle monnaie.
50 la pipe et 100 la baise comme vous avez hésité à le dire, est-ce bien raisonnable.
Tenez, les voici baissés votre pantalon que je me délecte de mon nectar favori.
Ayant répondu sous forme de boutade me voila piégée car la dame dont le nom mest inconnu profité de ce que je viens de lui servir leau de son thé par me prendre la main et mattirer à elle.
Allez, fais-moi voir ta queue, me voilà rajeuni de 10 ans. Arthur me sortait sa bite et venait vers moi pour que je le suce.
Que cest bon de retrouver ces mots orduriers que nous adorions nous dire, souvent je lentendais me dire, Gislaine tu es une pute mais jaime que tu le sois et je lui répondais que jallais le payer en liquide avant de lavaler.
Cest ainsi que japprends quelle sappelle Gislaine et que cette brave mamy a été une sacrée salope avec ou grâce à Arthur.
La manière dont elle défait ma ceinture alors quelle a pivoté sur sa chaise leau du thé refroidissant me montre une grande expérience surtout que sa main vient rapidement me saisir.
Putain que cest beau une belle queue surtout que la tienne est de bonne taille.
Cest malheureux de laisser un tel engin inexploité à ton âge.
Et cest comme cela que grâce à ses lèvres qui me pompent goulûment je me trouve entièrement tendu et que la vieille dame indigne avale mon sperme quand je lâche la purée.
Je peux dire quelle en a pour ses 50 car depuis la disparition de Constance mes couilles se sont bien remplies et jamais vidées.
Le plus naturellement du monde elle se lèche les babines pour éviter de perdre la moindre goutte de ce quelle appelle son nectar.
Dommage que tu aies été un peu rapide pour décharger, jaurais aimé te sucer plus longtemps, mais je reviendrais dès que jaurais gagné la somme nécessaire au poker la nuit auprès des copines ou nous jouons dans une vieille cave de la maison de retraite que nous sommes quelquune à connaître.
Au début nous jouions pour des haricots mais très vite ils ont eu une valeur marchande même si pour revenir te sucer il va falloir que je sorte de bonnes mains.
Cest ainsi que Gislaine est partie après avoir bu une tasse de thé me laissant comme un grand couillons mon pantalon en bas des pieds et son billet de 50 dans la main.
Tout est resté calme jusquau surlendemain où jai entendu sonner à ma porte.
Je vais ouvrir et jai la surprise de découvrir une petite mémé dau moins 80 ans saidant dune canne pour marcher.
Cest ici que pour 100 on peut se faire baiser.
Gislaine nous a donné plein de détails sur laprès-midi quelle a passé avec toi et elle nous a vanté la tasse de thé que tu lui as offert après.
Tiens voilà tes euros, recompte il y a 10 billets de 10.
Certainement des billets gagnés au poker mais largent est inodore et je commence à entrevoir le plaisir que je vais avoir à gagner de largent tout en retrouvant les plaisirs que je prenais avec ma nounou dans les derniers jours de sa vie quand sa peau était de plus en plus ridée.
Je dois reconnaître que la vue de cette vieille femme mapporte tout le plaisir que jai à avoir sous ma queue une de ces femmes ayant vécu une vie avant la maison de retraite et qui aspire à retrouver les élans de leur jeunesse.
Bon elle a raison tu es un beau mec dans la force de lâge mais voyons si tu sais faire couiner les filles sous toi, est-ce que je peux entrer ?
Je me suis effacé et cest dun pas alerte quelle à rejoint ma salle à manger où Gislaine mavait sucé pour la première fois pour de largent.
Ou on fait cela, dans ta chambre ?
A oui tu as perdu ta compagne qui avait environ mon âge et ce lit doit être sacré pour toi, je vois ce canapé qui fera très bien laffaire, déshabille-moi.
Nous nous sommes rapprochés de cette banquette où je massoie pour défaire un par un les boutons de son chemisier.
Elle a mis un soutien gorge à bal-connait aidant ses seins à se tenir en lair.
Dès que je le détache ses seins tombent magnifiquement vers le bas comme jaime contrairement aux seins des filles plus jeunes qui se tiennent droits.
Jaspire son droit tout en caressant celui de gauche.
Sa respiration saccélère et cest delle-même quelle détache sa jupe qui tombe à ses pieds.
Sa petite culotte en dentelle et ses bas tenues par un beau porte-jarretelle comme peu de femmes en porte de nos jours sont des meilleurs effets.
Je retrouve mon aimé qui portait toujours ce genre de sous-vêtement à la place de ces collants disgracieux.
La dame devant moi est comme je lespérais quand je lai laissé entrer ayant accepté les billets quelle me tendait et cest sans quelle me touche que je bande denvie pour elle.
Je retire délicatement cette culotte pour découvrir son abricot tout blanc bien que quelques-uns de ses poils soient encore grisonnants.
Le mouvement du bassin quelle fait me fait comprendre que ma langue doit venir caresser son clitoris très proéminent et que jarrive à aspirer.
Elle ploie sous ma charge se retenant grâce à sa canne quelle a encore en main.
Pour éviter la chute je me relève lassoie à ma place et cest très naturellement avec une bonne souplesse quelle écarte ses cuisses me dévoilant lintégralité de son intimité.
Je magenouille rapidement après avoir défait ma ceinture et baissé mon pantalon ma hampe étant déjà prête à entrer en elle.
Mais contrairement à lautre après-midi avec Gislaine où jai déchargé trop rapidement je veux que ce qui est jen conçoive ma cliente en est pour ses 100 et moi qui prenne un plaisir à retrouver les après-midi chauds dans des siestes crapuleuses que nous prenions ces dernières années avec Constance.
Je prends conscience au moment où ma bouche se pose sur sa bouche intime que cest seulement la deuxième fois de ma vie que je vois un sexe féminin baillant denvie car malgré son grand âge la dame mouille abondamment.
Je suis en train de comparer le goût de ce que ma langue récupère dans cet antre avec le goût de celle de Constance mais je recentre mon cerveau sur la dame qui commence à se contorsionner sous moi car faire des comparatifs serait illusoire car chaque femme a sa spécificité en amour.
Elle, ce sont des petits jets qui sortent de son corps et que je bois avec avidité permettant à ce que ses premiers cris damour sortent de sa bouche.
Ces petits couinements sont vite remplacés au fur et à mesure que ma bouche et ma langue la lèche par des propos aussi salace que ceux que Gislaine aimait prononcer.
Putain 20 ans que personne ne ma brouté, je jouis mieux quavec ma main quand dans mon lit je me masturbe me remémorant les parties carrées que nous faisions avec mes copains et copines qui étaient mes amants et amantes.
Je relève la tête.
As-tu été mariée ?
Dieu men garde, jai vécu une vie de travail où je gagnais largement ma vie et de débauche dans des soirées ou nous étions les précurseurs du libertinage actuel.
Jai fait partie des premières femmes à prendre la pilule et qui sest éclatée chaque fois quune belle bite comme la tienne ou une belle chatte passait à sa portée.
Assez parler, donne-moi ton pieu que je le suce.
Je me suis exécuté car rapidement je comprends que je suis devenu un objet sexuel pour ces dames qui retrouvent par mon intermédiaire leur jeunesse.
Pour la deuxième fois une bouche me pompe mais une bouche vorace qui sait prendre mes boules une à une pour mon plus grand plaisir.
Je trique comme jamais et afin de lhonorer je la fais mettre à quatre pattes sur le canapé ou ma bitte vient pénétrer sa chatte qui semblait mattendre tellement elle ruisselle.
Si cela fait vingt ans quaucune bite le na pénétré sa grotte est restée bien ouverte car je trouve le fond naturellement.
Je lui empoigne les seins que je malaxe sans ménagement et cest ainsi que je fini par décharger sous ses cris de plaisir finissant même par un orgasme, un oh ! montant de ses tréfonds.
Jai peur un instant que le cur de ma cliente nait cédé quand elle saffaisse sur le dossier semblant avoir perdu le souffle.
Quelle conne, pourquoi jai attendu 20 ans pour me payer un sexe boy
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