La Mante Religieuse. (5/14)
Je me rends à la gendarmerie pour répondre à leur convocation suite à la mort dAntoine frère aîné de la famille dont je viens dépouser le fils le plus jeune dans un accident de la route.
Cest ce frère aîné qui ma ôté mes pucelages lors de ma nuit de noces.
Mal lui en a pris car la vengeance est un plat qui se mange froid comme il est dit.
Dans le même temps je perds mon beau-père certainement dune cirrhose du foie et ma belle-mère en perd la raison et est hospitalisée.
Une rose rouge cueillie dans leur jardin que je jette là où ma vengeance sest exercée sera ma seule marque de compassion pour celui qui sest permis de me faire haïr mon mari légitime qui a accepté cet état de fait.
Arrivé à la gendarmerie je suis reçu par ladjudant-chef en charge du dossier concernant la mort de mon beau-frère.
Pour commencer je voudrais savoir pourquoi vous me convoquez suite à la mort dAntoine mon beau-frère, celle-ci serait-elle suspecte ?
Enquête de routine même si certains premiers éléments semblent nous faire suspecter que cette sortie de route aurait pu être prémédité.
Donc je suis suspect, je demande un avocat.
Il faut rester zen madame vous nêtes en rien suspecte, par contre Henri le deuxième frère qui est intervenu sur les freins du véhicule et qui le reconnaît doit répondre à certaines de ces interrogations.
Vous savez cette enquête est difficile pour moi car je suis le seul cousin de cette famille encore vivant et voire deux personnes proches de moi partir est difficile.
Pour commencer, est-il vrai à ce quil nous déclare que dès le premier soir de vos noces vous avez été la maîtresse du défunt ?
Dite carrément que ce frère aîné a eu un droit de cuissage sur moi et que je suis une pute qui a accepté, je suis outré.
Quand je prononce ces mots je suis toute rouge ce qui semble convaincre mon interrogateur.
Calmez-vous, jai très nettement limpression que votre beau-frère Henri a essayé de détourner les soupçons sur vous.
Certainement, vous a-t-il dit quil ma fait des avances quand jai voulu entrer dans la salle de bain sans savoir quil y était.
Quelquun la entendu ?
Oui Julien lun des frères jumeaux qui sortaient de sa chambre.
Il faut savoir calculer rapidement dans ces moments-là.
Comment lun ou lautre des frères peuvent-ils reconnaître que dans leur famille on exerce au XXIe siècle un droit de cuissage sans passer pour des êtres arriérés.
Quant à Aurélien quils vont certainement aller interroger à la fac ou convoquer pourrait-il dire quil est toujours puceau et quil a vu sa femme se faire défoncer dabord par Antoine puis hier par Henri, qui le croirait ?
Je vais vous poser une seule question, confirmez-vous ce que le gendarme venu annoncer avec son collègue laccident de votre beau-frère que vous avez-vu Henri couché sous la voiture accident quelques minutes auparavant ?
Une bible, pour que je jure, jai même dit quil était entré par lavant et ressorti par larrière après cêtre arrêté un long moment à cette hauteur.
Qui peut démentir, Antoine, paix à son âme, mon beau-père idem, ma belle-mère encore faudrait-il quelle recouvre la raison.
Enfin les trois autres aucuns ne se trouvaient là lorsque les choses se sont passées.
Je vous le dis un livre de messe et je jure que cela est vrai.
Une dernière question, vous y connaissez-vous en mécanique ?
Mon grand-père est mort il y a bien longtemps et les gendarmes seraient bien incapables de requérir son témoignage.
Jaurais besoin daide pour changer une roue, alors la mécanique vous pensez !
Je vais vous donner mon numéro de portable appelé moi si vous crevez.
Gendarme mais homme avant tout, même dans le cadre de son enquête il faut quil me drague.
Merci dêtre venue, jattends vos deux beaux-frères et jespère que Julien confirmera les avances de son frère envers vous.
Je rentre à la ferme sans un regard dans la montée à lendroit ou ma vengeance sest exercée et arrivée étant seul jinvestis la chambre de mes beaux-parents à la recherche dun hypothétique magot.
Jai en mémoire les quelques mots prononcés en boucle par Camille et je me dirige vers larmoire.
Jai beau chercher rien dans le fond autre que des cartons avec de vieilles chaussures et surtout dans lun deux un peu plus grand je trouve la parfaite panoplie de la pute des années 50.
Jupe fendue sur le côté permettant de montrer les bas résille soigneusement pliés avec un chemisier très échancré et un faux vison quelle devait mettre sur ses épaules les soirs ou le temps était froid.
Jai sensiblement les mensurations de belle maman aussi je mamuse à mettre cet attirail persuadé que jai obtenu avec mon cul lors de mes dépucelages par Antoine le droit au titre que sa mère revendiquait à Toulon lorsquelle montait des petits marins.
Je pense aux cahiers et je retourne les chercher avant de mallonger sur le couvre-lit.
Dans ces cahiers il y en a un intitulé « Ma vie davant ».
Je sens le besoin décrire ce qui mest arrivé quand jétais une jeune fille dite de bonne famille.
Je faisais partie dun groupe de majorettes étant même deuxième et remplaçante de notre majorette-chef.
Notre formation prenant de limportance nous avions été invités au championnat de France de notre discipline à Nice lors du carnaval.
Nous venions de finir deuxième derrière les indécrottables niçoises favorisées en leur pays quand un beau jeune homme sest approché de moi me félicitant de ma belle prestation.
Pour lui je magnais le bâton comme personne à ce moment là sans savoir quil espérait sournoisement me faire manuvrer dautres sortes de ces engins.
Il ma invité à boire un verre et comme nous avions deux heures de quartier libre avant que notre car nous ramène à Aix les bains jai accepté.
Nous sommes allés dans un café devant lequel une magnifique voiture de sport rouge dont jignorais la marque était garée.
Je le faisais remarquer à Luigi bel italien de passage à Nice habitant à Toulon du moins cest ce quil ma dit cette belle voiture quand il ma proposé daller faire un tour dans sa Ferrari.
Jappris du même coup la marque et le plaisir de rouler à grande vitesse dans son bolide.
Je voyais bien que nous nous éloignons de Nice mais la main nonchalante quil ma posée sur ma cuisse recouverte dun bas ma électrisé et jétais impatience de voir où cette escapade allait me conduire.
À Toulon cest devant un hôtel de grand luxe quil sest arrêté et ma fait descendre dans mon costume de majorette interrogeant tous les passants.
Pourquoi lai-je suivi dans sa chambre sans me poser de questions, ai-je été subjugué par le luxe quil me présentait.
Cest dans cette chambre sans mavoir embrassé quil ma appuyé sur la tête pour que je magenouille pendant quil sortait le premier bâton que jai eu à prendre en bouche afin quil bande au maximum avant la suite quil prévoyait de me faire découvrir.
Je me suis rapidement trouvée nue sans savoir comment mes vêtements étaient tombés un à un et quand il ma couché sur le lit dun bras puissant, jai senti sa verge à lorée de ma grotte essayer de me pénétrer.
Comprenant que jétais vierge il a eu un moment de recul mais son regard froid qui me regardait lui a fait faire le geste suprême que jattendais depuis que ma main venait le soir caresser ma chatte.
Jai eu un peu mal vite remplacé par un plaisir intense et je crois quà ce moment là jétais la plus grande amoureuse que la terre pouvait porter.
Il ma retourné et mise en levrette pour mieux me pourfendre une nouvelle fois, jétais contente sans avoir eu à décider jétais tombé sur le plus bel amant que jaurais pu rêver et qui ma attaché à lui persuadé quil en était de même pour lui.
Fini les questions existentielles sur ma famille, mon travail et les autres peccadilles qui jalonnait ma vie à ce jour.
Seul ce bâton qui ma pris le cul dans la nuit mimportait, au matin jétais sûr que ce morceau de roi quil savait si bien faire entrer en moi là où les filles rêvent un jour den trouver un qui les emportent vers les sommets de la jouissance comme a su le faire Luigi.
Pendant cinq jours il ma baisé comme une reine, comme sa reine memmenant dans les meilleurs restaurants, les boutiques les plus chics où il machetait des tenues très provocantes hélas avec un but bien précis.
Un matin où nous étions couché la queue de mon amant dans ma main, on a frappé à notre porte et quand Luigi a ouvert je me suis retrouvé avec une arme sur la poitrine.
Les deux hommes qui sont entrés avaient des airs qui mont fait peur.
Rapidement ils ont réclamé à mon homme les milliers de francs quil leur devait.
Il leur a donné les clefs de la Ferrari mais cela était insuffisant, il avait deux jours pour leur donner le reste.
Ils sont partis en suggérant que Luigi me fasse gagner de largent car jétais un beau brin de fille.
Cest comme cela que jai accepté daider pendant quelques jours celui qui avait su prendre mon corps et mon cur et quil ma amené dans la basse ville appelée plus communément Chicago et où je suis monté dans deux pièces cuisine et chambre, un simple évier étant à ma disposition pour me laver.
Le soir même alors que lui si froid dhabitude était presque en pleurs dêtre obligé de me demander de faire cela mais me serait éternellement reconnaissant de laider à payer sa dette.
Il était exactement 20 heures 02 quand il ma fait descendre dans la rue et cest là que jai eu conscience du pourquoi des tenues sexy achetées quand il ma fait rejoindre deux autres filles qui par la suite jai comprises que cétaient deux de ses gagneuses comme ils disent dans le milieu.
À 20 heures 10 un jeune marin assez séduisant je dois dire ma demandé combien je prenais.
La somme étant conforme a ce quil souhaitait payer, jentendis mes talons hauts pour la première fois claquer sur les marches de lescalier jusquau deuxième étage.
Pour la première fois je savonnais la queue dun garçon sans avoir envie de la recevoir en moi mais Luigi avant de me faire descendre mavait bien expliqué ce que je devais faire.
Quand jai pris largent avant de sucer cette queue sentant encore un peu le savon jai fermé les yeux et jai jeté en lair mon bâton de majorette afin de penser à autre chose.
Le jeune marin avait beau être séduisant cest avec une larme à lil que je lai fait entrer en moi après avoir soulevé ma jupe et fait glisser ma culotte en dentelle que javais aimé que mon mac moffre.
Mon mac car dès le premier soir ou Luigi est passé ramasser les compteurs au volant de sa Ferrari bizarrement retrouvé jai compris à mes dépens que les douze fois ou javais entendu mes talons claqués dans les escaliers était un minimum que je devais réaliser pour le satisfaire.
Bien quil ait fait de moi une péripatéticienne qui pendant deux ans va vivre de montée et de descente dans ces maudits escaliers chaque fois que je le vois mon cur se met à battre tellement fort que je retourne moccuper des bâtons des clients aussi bien quau premier soir
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