Le Voyeur Second Récit

Virginie et moi avons peu d’expérience de voyeurisme. Les seuls qui puissent paraitre est celle de nos 18-19 ans dans un champs près de chez nous puis sur un lieu de vacances où la belle me tailla une pipe des plus mémorables. Dans le premier cas, nous invitions notre voyeur à se joindre à nous et dans le second celui-ci, un autre en l’occurrence, resta tapi dans l’ombre ce qui fit que ma chérie ne s’aperçut même pas de sa présence et moins non plus pour le coup au début. Le plus drôle dans l’histoire est que ce second voyeur est devenu pour le coup d’un ami qui me confia un jour n’avoir rien manqué de la petite turlute que ma belle prodiguait. Etonné, je lui dis :
- « Tu as vu ça ? »
- « Oui, même jusqu’au bout »
- « Comment ça jusqu’au bout ? » le questionnais-je.
- « Ben, jusqu’au moment où tu as joui sur son visage et dans sa bouche »
- « Putain, mon salaud ! » lui dis-je tout étonné.

Le gars s’appelait Éric. Ma chérie l’aimait bien mais n’a jamais vraiment fantasmé sur lui. Lui était un peu coincé avec les filles à l’époque. Il était seul lorsque ma chérie et moi étions en couple. Là où nous étions en vacances, entre midi et deux, après le repas, il nous suivait parfois sans que ma chérie et moi nous nous rendîmes compte. Au début tout à fait par hasard, puis quand il comprit que nous ne partîmes pas loin pour nous isoler et se faire des câlins ma chérie et moi, il nous suivait discrètement jusqu’au jour où il vit et fantasma sur le savoir-faire de ma dulcinée. Car, il faut le dire, l’homme me ressassa plusieurs fois cet instant mémorable que ma chérie me prodigua ce jour-là :
- « Tu aurais aimé être à ma place ? Avoue », lui demandais-je.
- « ça oui, pour sûr ». Rétorqua Eric. « Ma femme actuelle me suce, mais elle n’avale pas. Là, ta chérie, je me souviens c’était une sacrée coquine ! »
- « Oui, tu l’as dit. Je ne retrouverais pas de fille comme elle » précisais-je un peu triste et avec nostalgie.


- « Je l’ai baisé partout » ajoutais-je. « Cinéma, toilettes publiques, restos, bus, trains, tout y est passé ».
- « Tu es sérieux ? »
- « Si je te le dis ! »
- « Tu as des photos ? »
- « Non pas de photos. En ce temps-là, on ne faisait pas de photos comme ça »
- « J’aurais trop aimé avoir une nana qui suce et qui avale, c’est trop bon »
- « Tu aurais voulu qu’elle te suce ? » demandais-je alors à Éric.
- « Pardon ? »
- « Tu aurais voulu qu’elle te suce ? »
- « Oui, enfin, non, je ne sais pas », ajouta Éric hésitant.
- « Tu sais, tu peux me le dire maintenant. Je ne suis plus avec elle. »
- « Oui, je sais mais enfin le respect, tu vois ».
- « Oui, je vois, mais tu sais le respect ce n’est pas ce que tu crois. Le respect c’est faire les choses entre adultes consentants et responsables. Tu sais ça ? »
- « Oui, je sais » répondit Éric.
- « Peut-être qu’elle aurait voulu ? »
- « Quoi ? » questionna Éric.
- « Te sucer. Peut-être qu’elle aurait voulu te sucer » disais-je à Éric en parlant de ma dulcinée.
- « Tu crois ? »
- « Penses-tu ! elle en a sucé plus d’une ! » précisais-je à Éric.
- « Euh, tu me gènes là. Pas facile de parler de ça avec toi. »
- « Ne t’inquiète, pas soi à l’aise. Je n’ai pas de secret pour toi. Tiens regarde. »
- « Oh putain, elle est bonne., tu as eu ça où. »
- « C’est une photo que je lui ai volée. Je sais, ce n’est pas bien mais je les garde pour moi. Tiens, regarde celle-là »
- « Bah oui, c’est elle qui veut-tu que ce soit ? »
- « Bah, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu. Ce sont des photos récentes ?
- « L’année dernière avant le covid. Dernier gangbang. »
- « Pardon ? répondit Éric étonné.
- « Oui, tu as bien compris. Elle voulait faire un gangbang avec moi et 5 mecs. A la fin je me suis dégonflé mais elle l’a fait quand même. On est allé sur Paris dans un bel appart vue sur Tour Eiffel.
Et elle s’est faite sauter par 5 mecs. L’organisateur s’appelait Bertrand. C’est lui a pris les photos, je crois, à notre demande ».
- « Putain, c’est de la folie. Elle m’excite trop ta meuf, gars ! »
- « Ouais, enfin ce n’est plus ma meuf. On n’est plus ensemble. C’est la meuf d’un autre maintenant ».
- « Qu’est-ce qui s’est passé pour que ça capote ? »
- « Laisse tomber. Je ne sais pas moi-même. Elle était ingérable. Le sexe toujours. »
- « T’es sérieux ? »
- « Non, en fait. Je n’ai jamais réussi à la comprendre. Mais bon. Si on parlait plutôt de toi ? »
- « Bah moi, tu sais en couple, marié, la totale, quoi. »
- « Tu lui fais la totale ? »
- « Ne déconne pas, j’aimerais bien. Mais elle n’est pas très portée sur la chose »
- « Genre, elle n’aime pas la sodo, elle ne veut pas, etc. Il y a des femmes comme ça tu sais, plus que tu ne le crois »
- « Oui, du coup je songe à aller voir une Escort girl, un truc comme ça. Je me suis même inscrit sur un site de rencontres coquines. Sandra ne le sait pas. Tu ne lui diras rien, hein ? »
- « Tu peux compter sur la discrétion. Bon, je vais y aller Ce n’est pas que je m’ennuie. Le boulot m’appelle ».
- « C’était sympa de te revoir, vieux »
- « Ouais, toi aussi. A bientôt ».

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