Ce Dont Tu As Besoin. (3)
Le lendemain je reçus un message sur mon téléphone.
« Je vais envoyer quelquun venir te prendre, suis là. »
Je savais que je ne pouvais pas discuter, je répondais juste pour dire que javais bien reçu et bien compris son message.
Assise sur mon divan, je me disais que je navais aucune information
Qui ? Quand ? Je devais mhabiller comment ?
Je restais assise, un peu la peur au ventre et puis décidait daller prendre une bonne douche pour me détendre, ce qui, neut pas leffet escompté !
En string devant mon armoire, je regardais en me disant « je nai rien à me mettre », oui, nous disons toutes cela, je vous entends là pendant que vous me lisez !
Et je décidais de laisser les pantalons de côté, en me disant que ça ne plairait pas, une jupe ? Mais laquelle ? Je nai rien à me mettre, mais jen ai de trop ! Et puis je vis la petite noire flottante, marrivant un rien en dessous des fesses, cétait osé, mais au final, cest ce quil attendait, non ?
La jupe déposée sur mon lit, me voilà les mains sur les hanches a scruté les dessus de mon armoire, quallais-je mettre ? Un tee-shirt, il fait beau, mais lequel ? Je sors un blanc, un rose, un bleu et un vert pomme
Jessaie ce dernier, mais je remarque sans avoir mis de soutiens-gorge, tout est fort visible, cest beaucoup trop osé ! Le bleu ne veut pas avec ma jupe, je regarde le blanc et le rose qui sont de la même collection, avec un décolleté tous les deux
Je les essaye à tour de rôle, ça met mes seins en valeur sans pour autant trop montrer, avec un soutien-gorge ça devrait aller, mais lequel ?
Je massis sur mon lit, les deux tee-shirts à côté de moi, je me mis à trop penser, beaucoup trop, javais envie de me caresser, dailleurs ma main avait commencée à parcourir ma jambe, mais je ne pouvais pas, cétait interdits
Je finis par mettre le blanc, rangeais mes affaires et tournais en rond, assise devant la télévision, deux heures avaient déjà passées ! Et on finit par faire retentir la sonnette de chez moi.
Jallais ouvrir et tombais nez à nez avec une femme.
- Bonjour, je peux vous aider ?
- Comment tappelles-tu ?
- Coralie et vous ?
- Prends ta clé et suis-moi.
- Attendez, je vais mettre mes chaussures.
- Prends ta clé et suis-moi ! Dit-elle dun ton plus autoritaire.
Ne sentant pas avoir le choix, je retirais la clé de la serrure de la porte et sortie, pieds nus
On avançait jusquà sa voiture et une fois dedans toutes les deux on démarrait.
- Tu sais pourquoi je suis là, nest-ce pas ?
- Oui, vous venez me chercher.
Malgré nos âges qui semblaient être très proches, je savais que je devais la vouvoyer.
- Je vais taider dans ton apprentissage.
- Daccord
- Tu sembles déjà être sage, cest un bon début, mais est-ce que tu apprends bien ?
- Oui !
- Oui, qui ?
- Oui, madame ?
- Cest bien, tu nes pas bête.
On roulait pendant une trentaine de kilomètres, je ne connaissais pas le coin, et pourtant ce nétait pas si loin que ça de chez moi, on sarrêtait devant une barrière.
- Va louvrir. Me dit-elle.
Je sortis de la voiture et à peine un pied déposé, jétais dans la boue, sachant que je ne pouvais discuter, javançais jusquà la barrière et louvris, je revins à la voiture.
- Hum, tu vas aller jusquà la maison à pied, je ne veux pas que tu salisses ma voiture.
- Daccord madame
Elle démarrait et je fermais la barrière derrière elle, et avançait jusquà la maison à pied, dans la boue, ce nétait pas loin, mais, javais jamais marchée pieds nus dans la boue, alors que javançais vers la maison, je me disais que cétait une belle journée et me demandais à quel moment il avait pu pleuvoir pour quil y ait autant de boue ?
Arriver devant la maison, elle me regardait, dun air satisfait et me fis signe de la suivre, on fit le tour de la maison, elle marchait sur les dalles de son allée et moi dans lherbe, on arrivait derrière, cétait un super grand jardin ! Et je le dis dailleurs à voix haute.
- Comment tappelles-tu ? Me demanda-t-elle à nouveau.
- Coralie madame.
- Déshabille-toi.
Un peu surprise, et à la fois non, je la regardais et puis mexécutait avant quelle ne simpatiente, je retirais mon tee-shirt et ma jupe les déposant sur la petite table de jardin à proximité de moi, et dégrafais mon soutien-gorge, sans la regarder je retirais mon string, une fois entière nue, elle me regardait, aucune expression sur son visage.
- Tourne-toi.
Je me retournais lui montrant mes fesses.
- Comment tappelles-tu ?
Encore cette question ?
- Coralie madame.
- Couche-toi par terre et roule-toi dans la boue.
Je tournais la tête vers elle, surprise et interrogatrice, mais sur un ton sec.
- Grouille-toi !
Je me mis par terre et commençait à me rouler dans la boue, est-ce de là lexpression être trainée dans la boue ? Après avoir bien fait plusieurs tours sur moi-même dans la boue et den être de la tête au pied, elle me fit me relever et mamenait de lautre côté de larrière de la maison, et me fit me mettre à genou dans la terre, me mettant un collier métallique au cou.
- Tu aimes cela avoir un collier on ma dit, jai souhaitée te faire plaisir.
Et elle partit, à genoux dehors, complètement nue, le corps recouvert de boue, je remarquais très vite que le collier était fixé au mur, assez bas afin que je ne puisse me relever, que si javais les mains déliées cétait juste parce que je navais rien à proximité à attr, que ce collier se déverrouillerait seulement avec une clé.
Jétais « prisonnière » dune inconnue, une jolie inconnue devait-je avouer, je ne vous les pas décrite, mais je vais le faire.
Une dizaine de centimètres en plus que moi, une blonde aux yeux verts, par rapport à moi une énorme poitrine, surement du D, et pas toute fine comme moi, des rondeurs, mais qui ne la rendais pas « grosse », loin de là !
Après un long moment à rester dans ma boue, elle revenait avec un bol.
- Tu veux boire ?
- Oui, madame
- Comment tappelles-tu ?
- Coralie madame
Elle versait leau par terre et me tendis son pied, était pour celle que je pouvais mabaisser ? Je me penchais pour lui embrasser son pied et elle le retirait, me laissant interrogatrice.
Elle me regardait « de haut », le sourire au coin de la bouche et me dit ;
- Tellement obéissante, mais si peu futée.
Et elle repartit, pour revenir assez vite avec une bouteille deau.
- Comment tappelles-tu ?
-
- Dis-moi ton nom.
- Soumise
Madame ?
- Ce nest pas le nom que jattendais, mais cest mieux que rien, tiens bois tout.
Elle me donnait la bouteille et je du toute la boire, javais le ventre lourd et elle semblait contente, elle prit la chaise et le tabouret un peu plus loin que moi et sassis dessus les jambes tendues.
- Explique-moi tout depuis le début avec monsieur.
Et je lui expliquais tout, dans les moindres détails, lorsque jeut finis, elle me dit alors.
- Et je parie que ça te donne tellement denvie que tu ne te rends pas compte que tu te pisses dessus ?
À peine avait-elle commencée à parler que je me rendais compte de ce quelle affirmait.
- Svp madame, laisser moi sortir.
- Tu naimes pas patauger dans la boue et ta pisse ?
- Non madame
- Dis-moi comment tu tappelles.
- Salope madame ?
- Cest mieux, mais non.
Dit-elle fermant les yeux, ne prêtant plus attention à moi et laissant le soleil se déposer sur elle.
Me laissant ainsi.
Comment devais-je mappeler ?
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