Ce Dont Tu As Besoin. (6)
Ca devait faire une bonne heure que j'étais dans ma petite cage, ou moins, peut-être plus ?
Je ne sais pas, je n'avais pas de notions du temps là où j'étais !
La porte finit par s'ouvrir, je vis sa silhouette ainsi qu'une autre, elles se rapprochèrent toutes deux de moi.
- La voici !
Dis alors ma maitresse par intérim à la « jeune » fille qui devait avoir dans les environs de mon âge.
- Cest une sale fille, un peu trop mince aussi, on devra la faire manger.
- Ah oui
- Mais toi, ça sera différent, nous nous occuperons de toi autrement.
« Nous nous occuperons de toi autrement » ? Comment ça ? Elle aussi allait être comme moi ? Je la regardais plus attentivement, petite, comme moi
Quelques kilos en trop, petite brune mignonne, petite poitrine
Je ressentis de la jalousie tout à coup.
- Je vais te montrer.
Elle ouvrit la cage et me fit sortir, à quatre pattes.
- Puante, retourne-toi, lève ton cul en lair et écarte tes fesses pour montrer comme tu es sale.
Ce que je fis immédiatement.
- Elle ne sest pas essuyée ! Sexclama la fille.
- Non, et elle aime être sale.
- Puante, va prendre ton seau !
Je repartis toujours à quatre pattes chercher mon seau.
- Fais dedans pour montrer comme tu es obéissante !
Je maccroupis par-dessus et fit pipi dedans. La fille me regardait surprise, où je ne saurais pas trop vous définir comment.
- Vois-tu, elle a compris quelle devait obéir.
- Je vois ça.
- Et toi, tu serais prête à obéir ?
- Je ne sais pas
- Si tu te déshabillais.
Et là, je la vis se déshabiller, sans dire un mot, dégrafer son chemisier, le retirer, détacher son pantalon et le faire glisser le long de ses jambes, retirer ses chaussettes, en vient alors son soutien-gorge et son string.
Elle prit sa main et la dirigeait vers une petite table, lui mettant les mains sur la table et lui faisant écartée les jambes, elle mamenait près delle, à hauteur de ses fesses.
- Lèche lui lanus, elle a montrée quelle pouvait être très gentille, elle le mérite.
Et je me mis entre ses fesses, allant jouer avec ma langue sur son anus, javais un gout amer en bouche, je trouvais ça dégoutant, elle semblait aimer cela et puis on me tira en arrière, la fille ne bougeait pas, ma maitresse passait ses doigts sur lentre jambe de la fille et dit alors.
- Tu sembles aimer cela, tu peux te rhabiller, on se voit dans deux jours.
Et elle la laissait repartir.
Deux jours ?
Nous remontâmes dans le salon, pour ensuite remonter dans la salle de bain. Elle me fit rentrer dans la baignoire et me donnait mon bain, laissant ses doigts me caresser le corps, sattarder sur mon entre jambe, une fois bien propre, elle mamenait dans sa chambre, me bandait les yeux, jétais à genoux, à hauteur de son lit, je sentais quelle poussait derrière ma tête et me rapprochait de son entre jambes, jambes quelle mit autour de mon cou en serrant.
- Je veux sentir ta langue, montre-moi le plaisir que tu lui as donnée !
Je me mis à caresser son anus avec ma langue, ses jambes se resserraient autour de moi, elle semblait aimer ça aussi et je prenais du plaisir à en lui en donner, jen oubliais presque le dégout de « lécher un trou du cul ».
Elle fit après un moment remonter ma langue sur son sexe, je le lui caressais, jaimais ça, moi qui avais toujours aimée les mecs, leur sexe, je prenais le gout à une femme ! Elle me relevait, me faisant monter sur le lit, ses mains parcourant mon corps, ses doigts sinsérant en moi, elle me mit sur elle, on sembrassait, je ne voyais rien, je ressentais tout, ses doigts qui avaient quitté mon entre jambes caressèrent mes fesses, je sentis deux doigts jouer autour de mon anus et sinsérer petit à petit, je continuais à lembrasser, me concentrant là-dessus pendant quelle prenait plaisir à doigter mon cul !
Ils se retirèrent et elle revint très vite pousser quelque chose contre, plus large, alors quelle sentait que je cessais de lembrasser et redressais la tête, elle mit sa main libre derrière ma tête et la redirigea vers ses lèvres me forçant à continuer à lembrasser pendant quelle mécartait le cul avec son god !
Lorsquelle leut enfoncée au bout, elle me retournait, mon sexe contre ses lèvres, le sien contre les miennes, en 69 nos langues se mirent à nous caresser lune lautre, elle était nue, je pouvais sentir sa poitrine, je savais que je mouillais, ça devenait abondant
Elle finit par sarrêter et se bouger, je restais sur le lit, ne voyant rien, elle me retirait mon bandeau et elle portait sur elle une robe.
- Cétait vraiment chouette, tu sais y faire avec ta langue.
Elle me redescendit dans ma cage et me retirais le god hors de mon anus, elle refermait la cage et laissait le god devant pour que je voie ce que javais en moi.
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