Ce Dont Tu As Besoin. (4)
- Salope ? Pute ? Trainée ?
- Tous ces noms te corresponde-t-il ?
- Je ne sais pas madame
- Alors ces noms ne me conviennent pas !
-
- De plus, dès que tu auras trouvée ton nom, jaimerais jouer avec toi, jai plein didée !
-
- Tu te demandes lesquelles nest-ce pas ?
- Oui
- Jhésite à tattacher au milieu du jardin, les jambes et les bras écartées pendant la nuit, jhésite à remplir ton cul avec un tas dobjet, à te faire prendre par des amis ou des animaux !
Essayait-elle de me faire peur ? Bon, daccord, jappréhendais, mais je savais que je devrais obéir, non ?
- Trouve ton nom très vite que je mamuse.
Javais donc le choix entre restée dans la boue, dans ma pisse ou subir un tas de chose ? Je devrais tout de même trouver un nom dans tous les cas. Je me sentais coincée, et je suis certaine quelle aimait ça !
- Petite ou grosse chienne, pisseuse, puante
- Ces noms te corresponde-t-il ?
- Oui madame
- Cherche dautre.
- Garage à bite, trou à sperme, vide couille
- Hum, tu deviens hardcore ! Dorénavant tu serais garage à bite, puante et petite chienne, selon la situation et mes envies.
- Merci madame
Elle vint près de moi et me détachait le collier, men mis un autre, avec une petite médaille dessus.
- Debout, on gravera ta médaille bientôt, va courir dans le jardin, fais quelque tour, je te dirais stop, allais petite chienne, tu as été gentille.
- Oui madame
Et je me mis à courir autour de son jardin, à faire des tours et des tours, nue, pleine de boue, je me sentais humiliée à sentir mes petits seins rebondir et la médaille claquée contre mon collier, ce qui me rappelait ma docilité.
Elle vit que je faiblissais et sécria :
- Si tu tarrêtes, tu seras punie ! Et crois-moi tu noublieras pas de sitôt !
Tout cela pour me dire cinq minutes après de revenir près delle, les jambes tremblotantes, elle me fit me remettre à genoux devant elle, elle revint avec un plat quelle déposait par terre, des pâtes à la sauce tomate froide.
- On va te laver et tu pourras manger.
Elle me fit me reculer dans le jardin et me remettre debout, elle sortit le tuyau darosage et dirigeais vers moi, leau était gelée, je criais à sa réception et elle me criait :
- Tourne-toi puante !
Ce que je fis.
- Penche-toi, écarte tes fesses quon lave ton sale cul.
Leau allant là, je voulais partir en courant mais me forçait à rester en place, elle coupait larrivée deau et me fit revenir, me mettant à genoux pour commencer à manger, une fois tout manger, avec de la sauce tomate tout mon visage, elle me fit me relever et avancer vers la porte, on rentrait, elle me fit rester sur le torchon, et puis un pied et puis lautre me fis les essuyer avec un essuis.
- Suis-moi.
Je la suivais et on allait dans le salon.
- Monte sur la table garage à bite et à quatre pattes que je vois ton cul de petite chienne.
Je montais sur la table de salon, restait à quatre dessus, jentendis un claquement, elle venait denfiler un gant en plastique et puis ce fut froid contre mon anus, elle se mit à le lubrifier et rentrer ses doigts dedans.
- Tu verras, tu te feras tellement prendre par là quon aura plus besoin de faire tout cela.
- Merci madame
Dis-je honteuse, tête baissée à regarder la table.
Une fois que ce fut assez écarté à son gout, elle appuyait quelque chose contre, et poussait peu à peu, marrachant tout de même des cris et des larmes coulaient le long de mes joues, ça me brulait !
- Voilà, tu es beaucoup plus mignonne avec un gode dans le cul ! Maintenant à quatre pattes, que je pose mes pieds !
- Oui madame, tout de suite, merci
Jétais à quatre pattes devant le divan, elle allumait la télévision, je restais ainsi un bon moment et la sonnerie de son téléphone retentit.
- Oui allo ? Oui, elle est là ! Bien sûr, elle obéit ! Oui, elle a choisi. Comment ? Garage à bite, petite chienne et puante. Vous aimez ? Je suis heureuse que ça vous plaise ! Quoi ? Vous êtes sur ? Bien, oui, daccord monsieur, très bien.
Elle déposait le téléphone sur la table et se relevait, partit je ne sais où et revint mattachant la laisse et on repartit dans le jardin, javançais à quatre pattes, apparemment dans ma nouvelle condition et une fois arrivées assez loin dans le jardin elle me retirait le gode de mes fesses, me tirant un petit cri, et me soulagea.
- Tiens, montre-moi comment tu suces puante !
Javais en main le gode qui mavait remplis le cul, nayant pas le choix je lapprochais de mes lèvres et sentit lodeur de mon derrière, je me mis à le sucer, ça me dégoutais, mais jacceptais tout cela !
Me tenant toujours par la laisse elle me fit me remettre à 4 pattes et me dit alors :
- Je suppose que tu as remarquée que ton ventre gargouillait et que tu te sentais dérangée ?
- Oui, madame
- Tu peux te lâcher.
- Svp madame ?
- Pardon, cest vrai, tu nes quune petite chienne, tu peux faire tes besoins.
Me regardant de haut, dun air satisfait, son regard ne me laissant pas le choix, je baissais le bassin et écartait les jambes et méxécutait.
- Ah ah, si après ça tu as encore de la dignité, je ne comprendrais pas !
Je baissais les yeux et lorsque jeu fini, je dis les yeux toujours baissés :
- Jai fini madame
- Fini quoi ?
- De faire mes besoins
- Utilise des mots, tu nes pas raffinée, tu nes quune puante, ne loublie pas !
- Jai finis de faire caca madame
Dis-je rouge de honte.
- Cest bien petite chienne, prends le gode et gode toi le cul.
Je le pris, je trouvais ça dégoutant, javais envie de pleurer et je me mis à me rentrer le gode dans le cul, elle souriait, je baissais les yeux.
- Regarde-moi ! Regarde-moi pendant que tu te sodomise dans ta merde !
Et je la regardais, sans rien dire, je la voyais se moquer de moi !
- Tu as envie de le sucer ?
- Non madame
- Prends-le dans tes mains.
Je le fis, je sentais les larmes monter.
- Approche ta langue tout doucement et passe la tout le long !
Je le fis, je mapprochais, une larme coulait le long de mon visage.
- STOP ! Criait-elle.
Surprise je marrêtais et la regardais.
- Tu allais le faire en plus ! Tes vraiment une puante ! Remet le dans ton cul.
Je le mis entre mes fesses et lenfonçait, et pour tout vous dire, non ça ne faisais pas moins mal malgré tous les allers-retours dedans, javais le cul en feu !
Elle tirait sur la corde et me fit avancer plus loin dans le jardin, on arrivait derrière une table, un arbre à coté et
Une cage !
Elle louvrit et me détachais la laisse.
- Rentre dedans.
Je rentrais dedans sans rien dire et elle la fermait avec un cadenas.
- Je trouve que tu es à ta place ici, je reviendrais te chercher dedans, il fait bon, même chaud ces nuits-ci, jespère juste quil ne va pas pleuvoir, je nai pas envie de me salir pour venir te rechercher donc tu resteras là.
- Bien madame
- Tu es très obéissante, je suis fière de toi ! Demain sera un autre jour.
- Merci madame. Dis-je fière de moi.
Et elle partit, me laissant dans ma petite cage ou je pouvais être juste assise les jambes croisées ou à genoux, très peu despace
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