Mon Beau Facteur... 2
« Jai jamais couché avec un mec, jespère que je vais pas te décevoir ! »
Ça faisait plus dune heure que Damien et moi, Pascal, nous nous embrassions, caressions, léchions. Depuis longtemps, à force de se tourner et de se retourner, la couette était passée par terre, nos deux corps se mêlaient lun à lautre. Sa peau contre la mienne, ses lèvres, son souffle, lodeur de son corps, ses caresses mélectrisaient. Un temps, javais oublié que ce super beau mec, mon facteur, rencontré depuis 6 mois, navait jamais fait lamour à un mec. Sa déclaration ma ramené à la réalité. Il fallait que je laide, que je le rassure, que je laccompagne. Je sentais sa fébrilité et son envie, ses craintes et sa virilité, ses doutes et sa puissance. Pour le rassurer, jai répondu :
« Tinquiètes, ça va être bon, on va prendre du plaisir, laisse-moi faire ».
Je lai mis sur le dos, jétais allongé sur lui, je lembrassais à pleine bouche, nos langues ne formaient plus quune, nos deux sexes, durs et raides, se frottaient lun contre lautre et mouillaient nos ventres. Mes mains caressaient sa tête, les siennes mécartaient et me massaient les fesses, parfois, ses doigts me branlaient lanus et, je mouillais, comme il faisait ça très bien, je gémissais. Un doigt, puis deux sont entrés et ont commencé les va-et-vient. Son expérience dhétéro lui servait bien, il prenait confiance en lui, je lencourageais pour le rassurer par des gémissements et des « oh oui, vas-y, cest bon, continue».
Jai commencé à descendre pour lui mordiller les tétons, il sest mis à pousser des petits cris entrecoupés de « Oh putain, cest bon ! ». Jai pu observer son torse musclé, puissant, quelques poils pour la virilité, jétais au paradis, ça valait le coup davoir ramé pendant 6 mois pour le mettre dans mon lit !
Après lui avoir excité les tétons, jai longuement léché son ventre et son nombril tout en pinçant et massant sa poitrine.
Là, je me suis retourné pour quil puisse soccuper de ma bite et de mon trou, il a compris le message mais, en bon hétéro, il ma branlé et a commencé à me bouffer le cul.
Moi, je me suis attaqué à ses couilles, ça lui a arraché quelques cris quand je les ai gobées. En même temps, une de mes mains sest aventurée dans sa raie que jai caressée, je me suis attardé sur son trou, il a écarté les jambes, jai sucé mon doigt pour le lubrifier et jai enfoncé la première phalange, puis la deuxième et tout le majeur, jai limé puis lindex a rejoint son pote ! Il gueulait de plaisir, javais sa bite dans la bouche et mes deux doigts dans son fondement. Jétais super fier de moi car là, je le sentais bien, je lui faisais vivre quelque chose dinédit et il aimait ! Je me disais quil fallait lui en donner un maximum pour quil nait aucun regret après coup et même envie de remettre ça. Tout en lui limant le trou, je me disais quun jour prochain, peut-être, je pourrais y faire entrer autre chose que deux doigts. Ah mon beau facteur, moi aussi jai parfois envie de faire entrer des gros colis dans les fentes !
Il me branlait de moins en moins régulièrement, il éprouvait tellement de plaisir quil ne soccupait plus de mon cul, je devais le reconcentrer pour lui apprendre à donner du plaisir à un mec. Je lui ai demandé de me doigter aussi, il ma mis trois doigts, ça ma filé une décharge électrique, jai pris ma bite dans la main et je lai guidé dans sa bouche, il la avalée et sucé du mieux quil le pouvait, je laidais par de petits coups de reins. On sest amusés comme ça pendant un long moment.
Je me suis relevé et je lui ai dit que je le voulais en moi, il ma mis sur le ventre, jai écarté les jambes et tendu mon cul, il est venu derrière moi, jai senti son gland toucher ma rondelle, il a poussé, cest entré, jen rêvais depuis 6 mois, ça a été comme une immense victoire. Je lui ai juste dit : « Oui, viens, jen crève denvie ». Il sest enfoncé en moi, petit à petit, jai senti ses couilles sécraser sur mes fesses, il a commencé ses va-et-vient secs, précis, presque brutaux.
Au début, il se tenait soulevé au-dessus de mon dos, en appuis sur ses bras. Puis, il sest allongé sur moi, ses mains, passées sous mon torse, me malaxaient la poitrine. Tantôt il me léchait ou me mordillait loreille, tantôt il posait son front contre ma nuque. Jentendais son souffle profond, fort qui rythmait ses coups de reins puissants et réguliers, chacun deux se terminant par le claquement de ses couilles sur mes fesses.
Là, les mecs, si le paradis existe, jy étais !
Il sest retiré, ma demandé de me mettre à 4 pattes, il a repris sa pénétration en me tenant par les hanches. Jai senti une chaleur intérieure monter dun coup, dune façon irrépressible. Jai juste eu le temps de lui demander de continuer, quil me faisait jouir, il ma donné un orgasme anal. Ça faisait quelques temps que je nen avais pas eu, cest toujours aussi intense et puissant, jestime que cest un cadeau que lon fait à son mec !
Damien la senti, bien sûr, mais nen a pas saisi limportance, il ma demandé de me mettre sur le dos, il ma pris comme sa femelle en membrassant. Je me branlais de toutes mes forces, au bout dun moment, jai éjaculé sur mon ventre. Les contractions de mon anus et mes cris lon amené à la jouissance, il sest vidé en moi en poussant un long râle et en seffondrant sur moi.
Jai éclaté de rire, il ma demandé ce quil marrivait, si ça avait été si mauvais que ça ! Jai répondu que, dabord, javais pris un pied denfer, quil est un sacré bon baiseur et, quensuite, ça faisait six mois que jespérais vivre ça ! Ça la rassuré, il ma dit avoir pris un énorme plaisir lui-aussi.
On a ramassé la couette, on sest couvert, on a fini par sendormir un peu, il devait être un peu plus de minuit. Vers trois heures de la nuit, jai été réveillé par du bruit, Damien se levait. Jai eu peur quil parte mais non, cétait juste un tour aux toilettes, il est revenu, il sest recouché, je me suis collé à lui, jai touché sa bite, elle était dure. Je lui ai dit :
« Eh ben dis donc, depuis que tas touché aux mecs, tes insatiable ! »
Je lai enjambé, jai positionné son chibre devant mon trou et je me suis enfoncé, il ma pris par les hanches et jai commencé les va-et-vient tantôt rapides, parfois lents. Ça a duré un bon moment jusquà ce quil me dise :
« Oh putain, tu vas me faire jouir, vas-y, je viens, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! «
Je me suis relevé et, sans réfléchir, jai approché ma bite de sa bouche, il la ouverte, je lai enfoncée et je lui ai baisé la bouche jusquà ce que je jouisse aussi. Il a avalé, je me suis baissé pour lembrasser, ça avait un goût de jus, mon jus !
On est restés enlacés et lon sest endormi. Il sest levé à 5h45 pour aller bosser. Il est sorti de la salle de bains, je métais levé pour lui préparer un café, il a été touché par lattention, je lai regardé déjeuner puis, quand il a fini, jai dit :
« Tas aimé, cétait bon ? »
Il ma regardé lair surpris et ma dit :
« Ben oui, cest gentil de têtre levé. »
« Je ne parlais pas du café
»
Il a compris et sest ressaisi :
« Oh oui, excuse-moi ! Je suis le roi des cons ! Cétait super, jai eu beaucoup de plaisir. Tu mas fait découvrir des choses nouvelles et très agréables
»
« Et maintenant ? »
« Ben, tu sais, faut pas temballer, on va pas sinstaller ensemble. »
« Ah non, mais on peut peut-être oublier le footing, moi cest un autre sport que jaime faire avec toi ! »
Il a souri, sest levé, moi aussi, il sest approché de moi, ma embrassé sur le front et ma mis une main aux fesses.
« On en reparlera ce soir ! »
Et là, il est parti au boulot. Ma dernière vision a été son magnifique petit cul moulé dans son jeans noir, cette vision ma fait bander. Là, je me suis dit que je serais le premier à y entrer !
Les choses ne vont pas toujours aussi vite quon le voudrait. Damien est encore resté chez moi une semaine supplémentaire. On a vite opté pour ma chambre, plus grande et plus calme, la chambre damis possède un mur mitoyen avec lappartement des voisins et, surtout, la chambre de leurs s !
Damien, cette semaine-là, était dans la période euphorique du début dune histoire et dune découverte sexuelle, sa libido était donc explosive. Ça marrangeait bien, je rattrapais les 6 mois dattente ! Il me baisait tous les soirs et parfois même la nuit, il était chaud bouillant. Je faisais de mon mieux pour le rendre accro, ça je sentais bien que cétait en bonne voie. On a testé un grand nombre de positions et lon a utilisé à peu près toutes les pièces de lappartement. Je ne pouvais pas mempêcher de penser que, quelques années auparavant, il avait déjà dû faire la même chose aux mêmes endroits avec sa copine, ça mexcitait encore plus. Il savait me donner beaucoup de plaisir et me suçait régulièrement, il avait même fait de gros progrès. Par contre, un doigtage et un suçage de son trou étaient le maximum de concession quil faisait, pas question denvisager encore dêtre passif. Son cul, si beau, me faisait tellement fantasmer que je lui mordillais les fesses, je le lui caressais et massais tendrement pour quil éprouve du plaisir et veuille me le donner mais non, cette étape était encore infranchissable !
Il a trouvé un appartement, ses potes et moi lavons aidé à sinstaller (putain de meubles à monter soi-même avec ses kilos de vis, de chevilles et ses notices en chinois !).
La dernière nuit chez moi, jai tenté le tout pour le tout. Il était allongé sur le ventre, je lui bouffait le cul, il gémissait comme une pucelle, jai pas réfléchis, je me suis allongé sur lui, jai guidé ma bite, jai appuyé, le gland a ouvert son trou, jallais lavoir.
Et bien non ! Il sest décalé dun coup sec, je suis ressorti de lui, il ma dit :
« Non, pas ça ! Pas maintenant, pas comme ça, jen ai pas envie ! »
Il fallait que je ratt le coup !
« Excuse-moi, jai pas réfléchis, cétait dans lexcitation du moment. Tes gémissements, jai cru que je pouvais, men veux pas. »
« Non, non, tinquiète ! Je sens bien que ten rêve mais moi, ça me rebute encore »
On a repris les galipettes ! Ouf, je navais pas tout gâché !
Au milieu de la nuit, juste avant de nous endormir, je lui dis :
« Dis donc, tu mas dit tout à lheure : pas maintenant, pas comme ça ! Ça veut dire quun autre jour, différemment, ça pourra le faire ? »
Il sest retourné, a poussé un long souffle et ma juste dit :
« Dors au lieu de penser à mon cul ! »
Ça, je ne peux pas marrêter dy penser, je me suis endormi avec un sourire de satisfaction, un premier verrou venait de sauter ! Jallais réussir à baiser mon beau facteur !!!
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