Mon Beau Facteur...3
Il y a des déménagements qui séternisent pour plusieurs raisons : soit le nouvel appartement est plus petit que lancien, on ne sait pas comment on va pouvoir empiler toutes les affaires, soit parce que lon est super mal organisé. Dans le cas de Damien, ce nest ni lun ni lautre !
Pourtant, il y a encore des choses à lui dans mon appartement. Moi, je les conserve comme des reliques et lui me dit quelles ne lui sont pas très utiles pour linstant, que, si elles ne me dérangent pas, je peux les lui garder encore quelques temps.
En fait, ni lui ni moi ne voulons vraiment couper complètement les ponts. Ces affaires sont un prétexte pour quil vienne régulièrement, nous entretenons mutuellement cette magnifique et intense tension sexuelle qui sest créée entre nous. Ainsi, un lundi, il a subitement eu un besoin urgent de venir chercher son service à raclette. Il est arrivé en fin daprès-midi, Je lui ai proposé de sassoir sur le canapé pour boire un coup et discuter. Moi, jai commencé à lui caresser doucement la cuisse, il a écarté les jambes comme un signal pour me dire quil aimait ce que je lui faisais, il ma regardé en souriant tout en continuant à parler comme si de rien nétait. Javais lair captivé par son histoire tandis que ma main massait sa bite de plus en plus dure à travers son jeans. En fait, je ne le regardais plus dans les yeux mais mon regard était capté sur ses lèvres, je les trouvais toujours aussi sensuelles, il passait régulièrement et lentement sa langue dessus pour bien les humidifier, je mimaginais en train de les embrasser, de les dévorer et dy introduire mon sexe dur, chaud, humide et plein de désir. Il sest penché pour prendre son verre sur la table basse et boire une gorgée, il sest rassis tranquillement, il avait un peu de mousse de bière sur les lèvres, il sest délicatement essuyé avec le revers de sa main et me la tendue pour que je suce les traces. Je me suis approché de lui, jai commencé à délicatement ouvrir les boutons de sa chemise les uns après les autres, il continuait à me raconter des trucs anodins dont on se foutait mais rien que le son de sa voix mexcitait.
Jai écarté les deux pans de la chemise pour bien caresser son magnifique torse et pincer ses tétons, une main est descendue sur son ventre plat et musclé puis sest glissée sous la ceinture pour aller titiller sa tige désormais dure comme du fer. Je la caressais doucement, je sentais une auréole de mouille se former sur son boxer. On bavardait toujours de la météo et dautres futilités, cétait surréaliste mais terriblement sexy !
Par sa beauté et sa virilité, ce mec mexcitait comme un fou et, en plus, il savait se servir de tout son pouvoir de séduction et de son charme naturel pour me retourner les sens et me mettre en ébullition. Jimaginais aisément le nombre de femmes quil avait dû emballer et rendre folles !
Il a doucement défait sa ceinture en me disant que, comme toujours, il faisait bien chaud dans cet appartement. Jai pu alors déboutonner la braguette et libérer son sexe déjà décalotté et luisant de mouille. Sans arrêter de parler, il ma doucement posé une main derrière la tête et a un peu appuyé pour que je descende moccuper de son service trois pièces.
Jai commencé par jeter un tout petit coup de langue sur le méat, il a eu un sursaut, a pris une grande inspiration et une grosse goutte de mouille est sortie. Avec ma langue, je lai étalée sur tout le gland et sur la hampe tout en le fixant dans les yeux, puis jai très lentement posé mes lèvres sur le sommet et je me suis enfoncé très progressivement, ma langue senroulant autour du gland et de la hampe. Quand je suis arrivé à la garde, il a eu un nouveau petit sursaut, il a profondément expiré en lâchant : « Oh, putain, que cest bon. »
Il ma maintenu en fond de gorge quelques secondes puis a relâché son étreinte, jai alors commencé les va-et-vient en jouant avec ma langue. Mes mains lui caressaient le ventre et le torse, il gémissait, me félicitait et mencourageait à ne pas arrêter.
Après un bon moment, jai gobé ses couilles, en même temps, je lui enlevais son pantalon, il avait fait sauter ses chaussures et quittait sa chemise.
Il sest laissé faire et semblait apprécier vu les gémissements quil poussait. Jétais décidé à aller jusquau bout cette fois-ci. Il repartirait de là les couilles vidées mais le cul ouvert !
Ne voulant pas lui donner une chance de résister, jalternais lanulingus avec le doigtage et une fellation de dingue. Il était totalement abandonné, jy étais presque !
Pensant reprendre le dessus, il ma relevé vers lui pour membrasser comme on embrasse une proie que lon va dévorer et posséder. Habituellement, jaurais fondu et cédé à son envie de mâle dominant mais là, ma détermination fut plus forte. Ma mission était de le posséder et je laurais !
Jétais encore habillé, jai baissé mon survêt, je me suis branlé, jai mis un peu de salive sur ma bite puis je me suis redressé, jai plaqué mon gland sur son trou, bien ouvert et dégoulinant de salive et de mouille. Jai poussé, cest entré, il sest raidi et sapprêtait à dire quelque chose, jai posé mon doigt sur sa bouche pour lempêcher de parler puis jai écarté ses lèvres pour entrer mon doigt dans sa bouche, il sest mis à le sucer et a fermé les yeux. Jai poussé encore et encore et, hourra, je suis enfin entré en lui ! Mes couilles ont touché ses fesses, il grimaçait un peu de douleur, je suis resté au fond de lui sans bouger pour quil shabitue et pour en profiter. Cest si bon un petit cul serré, visité pour la première fois, il faut en profiter, ça ne dure pas mais cest tellement intense !
Il a ouvert les yeux, ma souri et ma dit : « Et ben maintenant que ty es, amuse-toi ! »
Ah ça oui, jallais bien mamuser ! Jai commencé des va-et-vient lents puis, sentant quil mouillait et que je coulissais de mieux en mieux, jai accéléré le rythme, les coups de reins sont devenus plus secs et puissants.
Je métais un peu penché sur lui pour lembrasser à pleine bouche. Cette fois, cest ma langue qui était entrée dans sa bouche et qui senroulait autour de la sienne, il était à moi, entièrement, sans aucune résistance ! Sans ressortir, je lai doucement fait pivoter pour lallonger sur le canapé ce qui me permettait de changer de position. Ce nétait pas le moment de me faire un claquage ou une crampe, ah non !
Je lai encore baisé un bon moment, ma bite coulissait parfaitement bien en lui désormais. Jalternais les moments tendres avec baisers sur la bouche, sur son front et dans son cou, puis, subitement, je me mettais à le défoncer, lui arrachant des cris de plaisir et de soumission, ses mains me caressaient les flancs, le dos et les fesses. Selon mes assauts, ses caresses étaient tantôt douces et sensuelles, tantôt crispées.
Jaurais voulu que ça ne sarrête jamais tellement je prenais mon pied mais bon, au bout dun moment, vous savez bien comme ça se passe, un petit fourmillement apparaît au niveau des couilles, la bite se raidit encore plus, le gland grossit, la montée du plaisir est alors inéluctable, fulgurante et incontrôlable, les muscles se tétanisent, les reins poussent une dernière fois et se bloquent, une sorte de râle venant du fin-fonds de notre ventre est expulsé de notre bouche en même temps quun flot de sperme qui jaillit et inonde le canal dans lequel vous êtes enfoncé au maximum. Cest lorgasme libérateur, le don de ce que lon a de plus précieux et de plus intime, la fécondation de lêtre possédé.
Je pense ne pas avoir joui comme ça de nombreuses fois dans ma vie, huit mois de frustration et denvie sont partis dun coup dans son cul ! Comme on dit : « Il a pris cher ! ».
Jétais effondré sur lui, vidé, crevé mais terriblement heureux !
Je me suis retiré doucement tout en lembrassant, il a allongé ses jambes sur le canapé, jai écarté les miennes, je me suis relevé, jai branlé sa bite devenue mi molle, elle a repris de la vigueur, jai laissé tomber deux filets de salive dessus pour la lubrifier, je lai positionnée à lentrée de mon trou et je me suis empalé. Il était encore groggy, comme absent, jai commencé à monter et descendre, dabord doucement puis de plus en plus vite et fort. Machinalement, il a posé ses mains sur mes hanches mais il semblait ailleurs, comme transporté par ce quil venait de vivre.
Dun coup, son souffle sest fait plus rapide, ses mains se sont crispées, je me suis enfoncé au maximum, il a poussé ce magnifique râle libérateur et sest vidé à son tour. Jai cru quil narrêterait pas de jouir, il était secoué de spasmes et a bien mis une minute en tout avant de reprendre le contrôle.
Je me suis allongé à côté de lui, on sest embrassé et je lui ai dit :
« Alors, tas aimé ? »
« Cétait ENORME ! Jamais je naurais cru pouvoir prendre un pied pareil en me faisant baiser. Jai eu presque pas mal et jai éprouvé un plaisir tout nouveau et tellement intense, cest délirant ! Merci de mavoir fait connaître ça. »
« Tu vois, cest ce que je tavais dit, deux mecs, cest encore plus de possibilités ! Et encore, tas pas encore tout vu. »
« Ouais mais bon, là, ça va aller ! »
On est resté comme ça un long moment puis son portable a sonné, il recevait un SMS, il sest relevé, a lu le message et ma dit quil devait y aller, jen ai profité pour admirer son cul désormais ouvert et bien rempli, il sest rhabillé puis est parti après mavoir embrassé et remercié. Je suis allé me doucher et là, seul dans ma cabine de douche, jai poussé un énorme cri de victoire !!!
En sortant de la douche, javais, moi aussi un SMS de Damien : « Jai adoré, faut quon remette ça bientôt ! »
« Quand tu veux ! » ai-je répondu.
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