John

Mes s étaient alors au Lycée. Dans le cadre d’échange entre jeunes nous avions accueilli chez nous, John un jeune américain de 17 ans, pour 6 mois. John était arrivé en février et devait repartir en juin, chaque jour il allait au lycée avec mes s.
Un matin alors que je sortais de ma salle de bain, mon peignoir a moitié ouvert, je tombai nez à nez avec John. Je fus surprise mais je constatai qu’à son attitude il l’était encore plus que moi. Je lui demandai alors que je rabattais mon peignoir ce qu’il faisait là. Il me répondit qu’il n’avait pas cours. Je pris mon petit déjeuner avec lui. Il avait l’air gêné, mais je surpris a plusieurs reprise son regard sur le haut de mon peignoir qui était resté entrouvert. J’avais presque oublié cet incident lorsque quinze jours plus tard, alors que je prenais de nouveau ma douche, la porte de la salle de bain entre ouverte, tout le monde avait en principe quitté la maison, j’entrevis une ombre prés de la porte. « Qui est là » demandai je « C’est John » entendis je. Manifestement il était là depuis plusieurs minutes à m’observer. Je suis sortie de la salle de bain avec mon peignoir. John était dans le couloir, je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment là, c’était la première fois, j’avais probablement envie de me faire un petit jeune, sans réfléchir aux conséquences négatives que cela aurait pu avoir. Je me suis avancée vers lui, il était rouge écarlate, je devinai sous son jean a l’entre jambes son sexe déjà tendu. « Tu n’as jamais vu de femme nue John » « no in reality » répondit il. Je lui pris les deux mains et les amenais sur mes seins. Il était de plus en plus rouge, je le sentais excité au plus haut point. Je fis glisser ses mains sur mes hanches, mon ventre, mon sexe, ouvrit doucement mon sexe pour y introduire un de ses doigts. Déjà je mouillai. « Comme in, viens » lui dis je en l’amenant dans ma chambre. Je le déshabillai en un tour de main. Sous son slip sa verge était tendue comme une flèche.

Alors je me suis saisie de ce bel organe et ai commencé doucement à l’introduire dans ma bouche. Je l’ai décalotté délicatement tout en titillant de ma langue son gland. Je descendais ma langue le long de cette hampe, je descendais encore essayant de gober les deux globes de ses couilles. Trop grosses pour contenir toutes entières dans ma bouche, a moins qu’elles ne soient trop pleines. J’ai envie de les vider entièrement jusqu’à plus soif .Je vais et je viens avec ma bouche gourmande sur ce fruit plein de promesses. Alors que je ne m’y attends pas John éjacule d’un seul coup dans ma bouche. Il est confus « excuse me excuse me », « Ce n’est pas grave je vais t’apprendre à te retenir » lui dis je.
Après quelque minutes John a retrouvé toute sa vigueur. Je m’étends alors sur le lit, écarte les cuisses et l’amène à me pénétrer, manifestement je suis sa première femme, il est vraiment puceau.
Je l’aide en prenant ses fesses à pleine main et en leur imprimant un mouvement pour rythmer au mieux sa pénétration. Je commençais à sentir une douce chaleur dans mon bas ventre lorsque je sentis une forte giclée au fond de mon vagin, suivie de plusieurs saccades, John se vidait abondamment. « My God it ‘s fine » « Mon Dieu c’est bon » furent ses premiers mots après cette première pénétration.
Durant les semaines qui suivirent j’ai continué à parfaire l’éducation sexuelle de John. Il séchait de plus en plus les cours, tantôt le matin tantôt l’après midi, chaque fois qu’il savait que j’étais là de par mon emploi du temps. Au fil des jours il est devenu un amant appliqué et j’avoue avoir commencé à prendre du plaisir avec lui. Je lui avais appris à me lécher le clitoris, ce qui fut difficile pour lui les premières fois, coincé probablement par des préjugés et son éducation, mais finalement il y mit beaucoup d’application après m’avoir vu jouir de cette façon. Au bout de quelques temps j’ai mis Paul mon mari au courant, je connaissais par avance sa réaction.
Il m’encouragea à continuer …
Nous étions fin juin c’était la dernière semaine de John à la maison avant son retour aux US . Les s étaient partis deux jours en voyage de fin d’année, Paul était en voyage d’affaires.
J’avais envie de profiter pleinement de John de ce jeune corps plein de vigueur, la nuit entière, de vider ses couilles jusqu’à plus soif, d’en faire un vrai homme. Après le diner j’invitais John dans ma chambre . Là je le fis s’assoir dans un des fauteuils, et doucement je me déshabillais devant lui, m’offrant totalement à son regard. Je m’assis à mon tour dans un des fauteuils, écartai grandement les cuisses et l’invitai à venir boire les sucs qui déjà coulaient entre mes lèvres. Avec beaucoup de délicatesse il se mit à me lécher, je sentais sa langue déjà experte qui titillait mon clitoris. Parfois je ralentissais ses caresses pour mieux reprendre mon souffle. Je le déshabillai à mon tour et pris sa verge entre mes lèvres, doucement, avec délectation. Chaque fois que je le sentais prêt à éclater j’arrêtai, lui laissai le temps de reprendre son souffle. Nous avons joué ainsi de longues minutes avant que je jouisse brusquement dans sa bouche, lui envoyant un flot de cyprine. Il était ébloui, et je le vois encore se barbouillant le visage de mes senteurs.
Je me suis mis alors en levrette sur le lit, lui présentant mon cul. Je sentis immédiatement sa verge à l’entrée de mon vagin, mais c’est cela que je voulais. J’avais envie de lui faire un cadeau d’adieu, j’avais envie qu’il me sodomise. Pour lui c’était la première fois, nous ne l’avions jamais fait auparavant. Doucement je guidais sa verge vers mon anus. Il sembla d’abord surpris, mais compris très vite ce que je voulais. Je l’entends encore dire et répéter « Oh yes, oh yes, the arsehole ». Doucement là encore il me pénétra avec douceur. Une fois à l’intérieur de mon anus ce fut autre chose, il est devenu comme fou , me bourrant le cul à grand coups de saillie , jusqu’à éclater en moi dans un cri bestial .
Il s’est alors retiré de moi, m’a embrassé sur tout le corps. Nous avons dormi quelques heures avant que de nouveau il me prenne cette fois dans mon sexe, écoulant toute sa jeune semence à gros bouillon .Il a du cette nuit là me baiser 4 ou 5 fois. Ce fut un moment inoubliable pour moi. J’avais l’impression d’avoir contribué à faire de cet adolescent un homme, un vrai.
Il est reparti chez lui en fin de semaine, je me souviens encore l’avoir accompagné avec mes s à l’aéroport et avoir vu dans son dernier regard beaucoup de tendresse et de reconnaissance. Nous n’avons plus eu de ses nouvelles ni moi, ni mes s. Il m’arrive de penser encore à lui, et j’en ai des frissons dans le bas ventre.

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