John Et Tom

Je m’appelle John, j’ai 17 ans et vis à Paris. A l’adolescence j’ai découvert un
penchant pour les hommes mais je ne l’ai jamais avoué… Depuis tout petit j’ai
l’habitude d’aller dormir régulièrement chez mon meilleur ami, Tom, qui est puceau,
comme moi.

Tom avait eu sa puberté bien avant moi et s’en était toujours venté. Il était plus
grand, plus musclé et plus poilu que moi et le tout 2 ans avant moi. D’une nature peu
pudique il se changeait souvent devant moi et je ne pouvais m’empêcher de le mater
discrètement. Il était musclé car assez sportif, très poilu mais blond ce qui
atténuait l’effet « portugais » et surtout je le trouvais super sexy ! A une exception
près, seul son corps m’attirait et non son visage assez abimé par l’acné… Tom était
hétéro et rien au monde ne l’aurait fait toucher une autre bite que la sienne…

C’était un samedi soir et Tom m’avait encore invité à dormir chez lui. Comme à chaque
fois que je dormais chez lui, nous faisions un tour dans le quartier le temps de fumer
une clope puis nous rentrions. Ensuite, nous montions dans sa chambre et l’on se
changeait. C’est à ce moment que je pouvais admirer son torse musclé, ses aisselles
rasées et le « chemin du bonheur » qui dépassait de son caleçon. Caleçon que
j’admirais tout autant car il semblait bien rempli et il était car Tom était peu
pudique il ne se gênait pas pour l’enlever devant moi et me laisser entrevoir sa bite
très légèrement décalottée. Plus jeunes, nous avions discuté de nos mensurations, un
an auparavant il mesurait 10cm au repos et 16cm en action mais aujourd’hui il se
vantait d’avoir largement dépassé ces mesures. Ses dires m’excitaient mais je n’y
portait pas une grande attention car Tom était très vantard et racontait parfois des
mensonges… Parfois je pouvais voir ses fesses très poilues mais qui était si bien
dessinées qu’on les aurait mangées toutes crues ! Moi je me changeais dans mon coin
très pudiquement car me sentant inferieur physiquement à lui.

En effet, j’étais plus
petit, plus maigre, moins musclé car moins sportif et surtout beaucoup moins poilu ce
qui me dérangeais car les poils m’avaient toujours excité chez les mecs, à condition
de ne pas dépasser un certain stade de pilosité !

J’avais de nombreuses fois imaginé des nuits torrides avec mon meilleur ami mais je
savais qu’il ne se passerait jamais rien.
Ce samedi-là, vers les trois heures du matin, Tom s’était endormi devant son
ordinateur dans son lit. Allongé à côté de lui, il était quant à lui allongé sur le
côté et me tournant le dos. A cet instant je décidais qu’il était temps de tenter ma
chance et d’essayer de le caresser.

Je vérifiai donc s’il était bien endormi, il semblait être en début de sommeil et
commençait à respirer fort et lentement. Je posais mon ordi discrètement au pied du
lit et me tournais vers lui. Son t-shirt était légèrement relevé ce qui me permettait
de le caresser discrètement dans le bas du dos. Je m’aventurais donc avec le dos d’une
phalange de mon index. Je descendais le plus bas possible jusqu’à heurter l’élastique
de son jogging. A cet instant je restais quelques secondes sans bouger en écoutant
attentivement toute fluctuation de son souffle pour veiller à ce qu’il ne me surprenne
pas. Je reprenais mes caresses discrètes toujours à la limite de son jogging (bien
trop haut à mon gout). Ici je pouvais sentir les poils de ses fesses qui remontaient
jusqu’à son bas-dos. Cette sensation me fit frissonner et je me rendis compte que
j’avais une énorme érection. Mon pénis faisait 10cm au repos et 16cm en érection,
comme Tom. Cette taille modeste me satisfaisait sans plus mais je m’en contentais.
Après quelques minutes, je tentais de passer un doigt à travers l’élastique de son
jogging, assez souple. Malheureusement, l’élastique de son boxer qu’il portait en
dessous l’était beaucoup moins ce qui me rendu la tâche ardue.
J’essayais d’y aller
petit à petit toujours en surveillant son sommeil. Au bout de quelques minutes je
réussis à entrer ma main. Avec celle-ci, je décidais d’englober une des fesses poilues
de Tom. Je jubilais et sentait mon sexe tendu comme rarement il ne l’avait été. Je
sentais la forme ronde épouser la paume de ma main. Les poils formaient un duvet très
doux sur son fessier et je n’avais qu’une envie, les malaxer, les embrasser…

Ce plaisir fut malheureusement de courte durée car la sensation de chaleur dégagée par
mes mains réveillât légèrement mon beau Tom. Je sortis ma main très vite et feignit un
ronflement pour ne pas me faire surprendre. Il se rendormit et j’en fis de même
quelques minutes après…

Cette expérience, bien que très excitante, me laissait sur ma faim. J’aurais aimé
tenter de glisser un doigt vers sa raie ou poser mon autre main sur son autre fesse
ou encore mieux sur sa bite. Mais je devais me contenter de ça, en tout cas, ce week-
end…


A suivre… (si vous le voulez)

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