Friends Et Cie

L'après-midi passa plutôt rapidement alors que je ne fis absolument rien : je restai allongée sur mon lit, essayant de deviner ce qui m'attendait ce soir. Alain ne m'avait pas demandé de m'habiller de façon particulière, je pouvais donc être certaine que ses amis connaissaient ce côté de sa personnalité et il était fort probable que je doive leur obéir également.
Cela me gênait un peu de savoir que les femmes me regarderaient mais elles devaient être habituées. Peut-être même allaient-elles se servir de moi également ? Je n'avais jamais embrassé une femme, à part en soirée pyjama quand j'avais 14 ans. Je n'avais donc évidemment jamais léché une chatte ou fais jouir une femme.
Avant de rencontrer Alain, je suis sûre que j'aurais été catégorique : je n'essaierai jamais. Cependant, j'avais découvert tellement de choses que je n'aurais jamais pensé faire durant ces derniers jours que cette perspective ne me rebuta pas autant que prévu. Je repensai à la poitrine de Lola que j'avais eue sous les yeux en début d'après-midi et me surpris à m'imaginer en train de lécher ses tétons et jouer avec ses seins. Elle aurait soupiré d'aise, d'envie et j'aurais titillé son clitoris avec mes doigts, avant d'y amener ma langue pour goûter son intimité. Elle aurait jouit rapidement, aurait rougi légèrement et serait vite repartie dans la cuisine.

Cette divagation de mon esprit m'avait follement excitée et j'espérais vivement qu'Alain serait d'humeur à me baiser sauvagement lors de notre séance de jeux.
A 16h55, j'allais me placer face à la porte, à genoux, et attendit. Alain arriva bientôt et, comme la première fois, entra sans un mot et referma la porte.

Lorsque je pus entrer, il se planta devant moi et croisa les bras. C'était l'heure de ma confession.

— Le plug s'est échappé cette nuit. Je n'ai pas réussi à le remettre avant la fin de la séance de sport. Je suis désolée, Maître.
— Comment ? Tu veux dire tu as passé la matinée le cul vide ? Et tu l'as remis avant de redescendre me rejoindre afin que je ne m'en rende pas compte, n'est-ce pas ?
— Oui, Maître.

Enfin...non. Je ne voulais pas vous décevoir, j'avais déjà essayé de le remettre ce matin mais il n'a pas voulu rentrer. Après le sport et la douche, j'ai réussi. Je savais que j'allais devoir vous le dire de toutes façons, Maître.
— Bien. Etant donné que cette séance ne va pas durer longtemps, je te punirai plus tard ce soir. En public, cela sera plus divertissant. Aujourd'hui, tu vas te montrer à mes abonnés, dit-il en désignant l'ordinateur. La diffusion a déjà commencée. Va t'installer sur le lit.


J'obtempérai et m'allongeai sur le lit. Alain régla l'angle des caméras puis me présenta un objet noir que je reconnus comme un vibromasseur, contrôlable à distance.

— Avec ça, mes abonnés peuvent jouer avec toi. S'ils envoient de l'argent, je déclenche une vibration plus ou moins forte et plus ou moins longue, selon le montant envoyé. A toi de leur donner envie ! Au travail ma petite salope, dit-il en m'insérant le vibro.

Alain retourna s'asseoir devant l'ordinateur, me tournant le dos. Je ne savais pas trop quoi faire et commençai par me caresser doucement. Je ne savais pas ce que filmaient les caméras et cela me perturbait. Je me détendis petit à petit et changeais de position, massais mes seins, levais les fesses pour que le public puisse apercevoir mon cul rempli.
La première vibration ne tarda pas à se faire ressentir : elle ne dura pas longtemps mais suffit à m'exciter un peu plus. Je regardais Alain afin de voir si mon spectacle lui plaisait mais il était concentré sur l'écran de l'ordinateur. Les vibrations s'enchaînèrent pendant une dizaine de minutes, plus ou moins longues. Alain me donnait parfois des ordres (« claque toi le cul », « lèche tes doigts », « joue avec le gode »), je compris rapidement que c'était les hommes me regardant qui me demandaient ça.
Je continuais à faire le show pendant vingt bonnes minutes puis je vis Alain éteindre l'ordinateur et se lever. Sans un mot, il s'approcha et retira le gode puis le plug.
Je me sentis vide mais les doigts d'Alain comblèrent bientôt mon anus. Il jouait avec ses doigts à l'intérieur de moi et je ne pus retenir quelques gémissements de plaisir.

— Le plug a fonctionné, tu es bien dilatée. J'ai hâte de pénétrer ton cul ma salope cependant il a encore besoin d'un peu d'entraînement. Les invités arrivent dans une heure. Va prendre une douche et remets ton uniforme puis rejoins Lola à la cuisine. Vous irez ouvrir la porte quand ils arriveront et les emmènerez au salon. Vous leur obéirez évidemment au doigt et à l'oeil en m'attendant, c'est compris ?
— Oui, Maître.

Je regagnai ma chambre et passai un long moment sous la douche. L'eau chaude me faisait du bien et décontractait mes muscles qui commençaient à courbaturer suite à la séance de sport. Une fois détendue, j'ai coupé l'eau et noué un tablier propre autour de ma taille. J'enfilai également un nouvel harnais, retouchai mon maquillage et ma coiffure et sortit ensuite de ma chambre.
Le rez-de-chaussée de la maison était plongé dans le silence, la porte du bureau d'Alain fermée. Lola était seule dans la cuisine, debout au fond de la pièce, tête baissée. Elle ne la leva pas à mon entrée : nous avions toujours l'interdiction de nous parler. Voyant que je ne bougeais pas, elle m'indiqua du doigt le panier de chien. Docile, j'allais me placer dedans et baissais la tête à mon tour.
L'horloge indiquait 18h20. Il nous restait une dizaine de minutes à attendre si les invites étaient ponctuels. Je glissai un oeil vers Lola : elle n'avait pas bougé d'un poil et respirait lentement. Sa poitrine se soulevait puis retombait à un rythme régulier et je ne pus m'empêcher de fixer ces deux seins blancs, imaginant ma langue les caresser. Je rougis à cette pensée et Lola, comme si elle avait deviné, releva légèrement la tête, croisant mon regard. Je la vis rougir également et cela me fit sourire.

La sonnette retentit bientôt et Lola bondit à la porte.
Je me relevai et saisit le plateau posé sur le comptoir de la cuisine, sur lequel étaient posés cinq flûtes ainsi qu'un sceau à champagne rempli de glaçons et de 3 bouteilles. J'ai rejoins Lola et les invités au salon et servi le champagne. Le couple observait Lola sous toutes ses formes : la femme lui tenait la main et la faisait tourner sur elle-même et l'homme palpait ses seins, ses fesses, caressait ses jambes et sa taille. Ils se tournèrent ensuite vers moi alors que Lola attrapait une flûte et j'eus droit au même traitement. Je les observai également : elle était très belle et vêtue d'une longue nuisette noire au tissu légèrement transparent. Elle était visiblement nue en dessous, ses tétons déjà fièrement dressés. L'homme était élégant et prenait soin de lui, on pouvait deviner ses muscles saillir sous sa chemise.
Il se tourna vers sa femme une fois mon examen fini :

— Laquelle préfères-tu pour commencer, Anne ?
— La blonde. Je vais garder la rousse pour le dessert, répondit-elle avec un sourire malicieux.

Elle se leva et me prit la main. En sortant du salon, je tournai la tête et vit Lola déboutonner la chemise de l'homme. J'allais devoir m'occuper d'Anne ? Seule ? Allais-je être à la hauteur ? Que dirait-elle à Alain si je ne lui plaisait pas ?
Anne s'arrêta en haut de l'escalier et se tourna vers moi :

— Où est ta chambre ?

Je désignai la porte de gauche et elle nous entraîna à l'intérieur avant de refermer la porte. Elle laissa tomber sa nuisette qui dévoila son corps nu, fourni de rondeurs excitantes. Anne s'approcha de moi et commença à jouer avec sa langue sur mes lèvres avant de m'embrasser à pleine bouche. Je lui rendis son baiser, essayant de faire taire mon cerveau qui fusait dans tous les sens. Je compris qu'elle ne me donnerait pas d'ordres et que c'était à moi de la satisfaire. J'ai plongé ma main vers son bas-ventre et commencé à explorer son intimité, déjà trempée. Elle gémit doucement et me mordit légèrement la lèvre, m'incitant à continuer.
J'ai inséré mes doigts sans difficultés et joué avec elle quelques instants avant qu'elle me repousse pour aller s'allonger sur le lit, jambes écartées.
Le coeur battant, j'approchai mon visage et commençai à la lécher, essayant de reproduire ce qui m'excitait. Son corps la trahit rapidement avec de petits spasmes et je redoublai d'efforts. J'insérai à nouveau mes doigts et remontai ma langue vers ses seins. J'ai mordillé ses tétons doucement puis je redescendis vers son vagin en couvrant son ventre de baisers. J'ai titillé son clitoris avec ma langue et commencé à lubrifier son anus avec sa mouille. Je dirigeai ensuite ma langue et j'ai donné de petits coups de langue tout en la pénétrant avec mes doigts, ce qui déclencha son orgasme. Elle cria durant quelques secondes puis éclata de rire :

— Mmm, merci pour cette session, cela m'a bien ouvert l'appétit ! J'ai très envie de te faire jouir à mon tour, petite chienne.
— Je vous remercie madame. Cependant, ma jouissance appartient à mon Maître.
— Ta jouissance m'appartient si je le décide, répondit-elle d'un ton cassant. Je t'ai dit que tu m'avais ouvert l'appétit alors allonge-toi que je te bouffe la chatte.

Je m'exécutai, nerveuse. Après tout, Alain m'avait dit que les invités avaient la même autorité que lui sur moi mais je doutais qu'il laisse passer ça quand il ne m'avait pas fait jouir lui-même avant. Je n'ai cependant pas eu le temps de me poser plus de questions car Anne commença à jouer avec sa langue et je n'étais plus capable de réfléchir.
Elle donna de petits coups de langue sur mon clitoris, qui réagit immédiatement. Toute la frustration des derniers jours refit surface et je sentis déjà des vagues de chaleur irradier dans mon bas-ventre. Je me cambrai et Anne se fit plus douce, elle voulait visiblement jouer avec moi avant de me laisser exploser.
Elle inséra deux doigts puis toute sa main dans mon trou et sa langue titilla mon anus rempli. Je poussai un gémissement de plaisir et sa langue remonta prendre la place de sa main, qu'elle me tendit. Je me redressai pour l'atteindre et lui nettoyai soigneusement chaque doigt. Le goût de ma mouille m'emplit la bouche et Anne remonta m'embrasser. Sa langue visita ensuite chacun de mes tétons puis elle me prit la main et la plaça sur mon vagin.

— Finis-toi devant moi.

Je ne me fis pas prier. Je commençai à jouer avec mes doigts et attrapai mon sein avec ma main libre. Anne se caressait en face de moi, ce qui m'excitait encore plus. Je concentrai mes doigts sur mon clitoris et accueillit l'orgasme avec un long gémissement. Anne revint s'allonger sur moi et embrassa doucement mon bouton palpitant avant de se redresser avec un sourire.

— Merci pour cette entrée. Redescendons.

En bas, Lola avait visiblement fini de s'occuper de l'homme également. Il s'était fini sur son visage récemment, le sperme lui coulait encore sur la joue.
Anne s'affala sur le canapé et réclama une nouvelle coupe de champagne. Alors que je lui servais, Alain entra dans la pièce et salua ses invités.

— Alors ? Vos premières impressions ? demanda-t-il en attrapant la coupe que Lola lui tendait.
— Pas mal, commença l'homme. La rousse a des progrès à faire avec sa bouche, j'ai dû me finir seul.

Lola baissa la tête, honteuse. Alain la regarda quelques secondes puis se tourna vers Anne :

— Et toi, ma chère ?
— J'ai apprécié, répondit-elle malicieusement. Elle t'est fidèle, elle a failli ne pas se faire jouir.

Alain hocha la tête, l'air satisfait. Il s'assit puis s'adressa à nous :

— Retournez en cuisine et préparez le repas. Nous passerons à table quand ce sera prêt.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!