Chris Et Marie

Chris travaille dans une étude de notaire à Toulouse, habite à deux pas dans une grande maison léguée par ses parents il y a quelques semaines. Jolie maison en plein centre ville avec pourtant un défaut important : elle est trop grande pour elle.
Elle gagne très bien sa vie comme premier clerc de l’étude. Pas assez pour payer une femme de ménage à temps plein. Son espoir est de trouver une jeune femme comme elle pour cohabiter.
Elle a de la chance, elle trouve la perle rare dans l’étude, une fille d’à peine 25 ans, rangée, jolie et ce qui est important très sérieuse, au moins dans son travail. La proposition faite les deux jeunes femmes se mettent vite d’accord sur les détails. D’abord la nouvelle venue, Marie, et Chris vivrons ensemble, pour les repas. Si l’une d’elle emmène un garçon à la maison, elle doit prévenir l’autre pour qu’il n’y ai pas de confusion.
Elles sont suffisamment amies pour bavarder de leurs petits copains.
Chris en avait eu qu’elle a abandonné en route : il ne pensait qu’à baiser, sans cesse, comme si rien d’autre n’existait dans la vie. Chris aime baiser normalement. L’autre fille, Marie est à peu près dans le même cas, sauf qu’elle n’aime pas tellement les garçons qui ne lui ont fait que du mal, physiquement et moralement. Elle préfère le ignorer tout simplement.
Les semaines passent sans un seul nuage à l’horizon. Pourtant arrive le tout petit incident qui change la donne. Chris trouve un jour sur le lavabos un godemichet qui n’est pas à elle. Quand Marie entre, elle lui pose la question de savoir pourquoi elle laisse trainer un objet aussi personnel.
- Oh, excuses moi, je l’ai oublié après l’avoir désinfecté.
- Tu aurais du me dire que tu te sers de ce genre de chose pour te branler.
- On n’a jamais parlé d’amour, je n’ai pas eu l’occasion de te le dire.
- Ce n’est pas grave, moi aussi je m’en sers assez souvent, je trouve que je prend d’avantage de plaisir seule qu’avec un homme.


- C’est comme moi.
Elles se mettent à table, si souvent elles parlent de bricoles sans importances, maintenant elle ne parle que de leurs plaisirs. Sans s’en rentre compte, le gode est sur la table, près de la main de Marie. Sans y penser elle le prend, soulève sa robe, ouvre son slip pour le mettre là où il devrait : dans la sexe de sa propriétaire. La présence en elle du gode la fait frémir. Elle est obligée de se masturber devant Chris. Comme elle a bien vue que le gode avait disparu, elle se doute de l’endroit où il est. Marie ne va pas tarder à joui, ses trais se tirent légèrement et elle penche sa tête en arrière en fermant à moitié les yeux. Chris, excitée malgré tout, prend dans sa main celle de Marie toujours posée sur la table. Elle n’a pas fait cela pour faire une avance quelconque à Marie, c’était machinal. Pourtant en se réveillant de son orgasme, Marie caresse la main de Chris, en guise de remercîment. Pour toutes les deux c’est le premier contact physique avec une autre fille. Elles en sont étonnées et pourtant le diable les tentant, elles continuent sur leur lancée. Prisonnière d’un mal entendu avec la gente masculine, elles se décident au fond d’elles même à employer une autre méthode d’amour, entre filles pourquoi pas? Au moins pas de pilule, pas de rapports houleux et pas de brutalité, d’après Marie.
Christiane se lève, fait lever Marie pour l’embrasser, pas sur les joues, comme elles le font souvent, sur les lèvres. Marie accepte le baiser et la langue de Chris comme une normalité. Cette nouvelle façon de se faire jouir a déjà leur faveur. Elles vont dans le chambre la plus proche, celle de Marie. Elles s’embrassent toujours, Chris cherche à caresser les seins de Marie, elle se déshabille totalement pour se donner à Chris. Pour ne pas paraitre bégueule, Chris en fait autant, elles sont deux femmes jeunes, sexys, nues prête à se donne du plaisir. Elles sont bien serrées seins à seins, pubis contre pubis et surtout les lèvres toujours unies par ce baiser interminable.
Elles se couchent bien enlacées. Chris pose une main sur le sein de Marie, elle le caresse avec délicatesse, en s’attardant sur les mamelons. Marie qui aime ce genre de caresse, elle, la laisse faire, comme elle se laisse faire quand une main de Chris descend sur le pubis. Chris ne veut pas la brusquer alors que Marie attend la main. En mordillant la langue de Chris celle-ci comprend le message et enfin va fouiller la chatte de son amie. Elle écarte bien les jambes pour que Chris la caresse. Dès qu’elle trouve le clitoris, Chris se déchaîne : elle lui branle de clitoris avec deux doigts, entre le pouce dans la chatte et la fait gémir. Cette façon un peu cavalière de faire plait à Marie qui le dit tout haut :
- Tu me fais du bien, pourquoi personne ne m’a caressé le con comme toi ?
- Parce qu’ils ne savaient pas le faire.
- Tu pourras continuer encore pour que je jouisse de la même façon.
- Bien sur, ma chérie, je te branlerai encore. J’aimerai que toi aussi tu me branles.
- Oui, chérie.
Sans attendre elle met sa main sur la chatte de Chris. Elle arrive du premier coup sur le clito de Chris et le caresse doucement, trop doucement pour celle qui le supporte. Elle arrive à entrer son pouce dans la chatte de Chris qui ne s’attendait pas à un tel plaisir, elle en jouit vite. Marie ne s’arrête pas.
Elles en veulent plus, elles ont des godes et entreprennent de se baiser. Baiser une fille avec un godemichet n’est pas si commode : il faut soit être juste au dessus d’elle soit assise à ses pied pour le lui mettre comme une vrai bite. C’est-ce que fait Chris. Elle prend le gode dans sa bouche, il a goût à la cyprine de Marie, elle le met juste sur l’entrée du vagin pour lentement la baiser. La vue de ce faux sexe entrant dans l’intimité de son amie excite tellement Chris qu’elle essaye de se branler. Ce n’est pas une réussite. Aussi dès qu’elle fait jouir Marie, elle se couche à ses cotés pour mettre sa main sur le clitoris. La manœuvre ne plait pas du tout à Marie qui munie du gode s’accroupit comme était Chris, mouille dans son propre sexe le gode avant de le lui mettre.
Chris accepte et préfère cette façon de faire à ses doigts seuls.
Elles prennent un instant de repose avant de recommencer. Marie se demande pourquoi elle ne font pas de 69. Elle enjambe le corps de Chris et plonge sa tête entre les jambes de Chris. Elle lèche toute la fente depuis le clitoris jusqu’au petit trou où elle s’attarde longtemps, à tel point que Chris se sent obliger de laisser son anus s’ouvrir. Marie n’hésite pas, elle entre sa langue profondément, la fait ressortir pour recommencer. Chris qui est novice en la matière commence à trouver plus qu’agréable la langue qui la sodomise :
- Oui, encule moi, entre là profond. Lèche moi le cul. Baise moi avec toute ta main.
Marie est un peu étonnée de la demande de Chris, est-ce que réellement elle veut avoir toute la main dans le sexe. Elle reste pour l’instant avec sa langue pour faire jouir une autre fois Chris par le cul.
Elle se met en position pour commencer à mettre dans l’entrée du con de sa compagne deux, puis trois doigts et enfin le début de la main. Chris donne un grand coup de rein en poussant un hurlement quand la main entière est dans sa vagin. Elle l’enfonce complètement. Chris semble dans un autre monde de volupté. Elle murmure des mots sans suite coupés de gémissements. Etre prise ainsi semble bien lui plaire. Marie continue avec sa main entièrement dans le sexe de son amante. Il lui semblait impossible qu’un sexe féminin puisse accueillir une main entière. Elle la fiste jusqu’au moment où Chris semble perdre conscience. Elle enlève la main pleine de cyprine. Elle la lèche comme si elle avait mis la main dans un plat unique, tout y passe, tous les doigts, le dessus et la paume, jusqu’au début du poignet.
Chris reste un moment pantelante, comme si un régiment de cosaque lui était passés dessus.
- Embrasses moi, salope, tu m’as faite jouir comme jamais. Je n’osais jamais demander ça. Je te le ferai tout à l’heure ou cette nui, tu te régaleras comme moi.
- On le fera, pas aujourd’hui, il est tard, il faut dormir.

- Oui dormons. La première qui se réveille commence à baiser l’autre.
- C’est d’accord.
Sans plus attendre, elles s’étendent pour dormir. La première réveillée est Marie qui a une envie pressante de faire pipi. Elle se lève sans faire de bruit, va s’assoir aux toilettes, quant au moment où elle commençait, arrive Chris. Sans rien demander elle passe sa main sous Marie pour recueillir de l’urine chaude, elle en prend dans une main pour la passer sur sa cramouille.
- J’aime ces échange de pipi ! c’est sans doute dégueulasse mais j’aime ça. D’ailleurs je vais faire pipi après toi, je t’en donnerai et tu en mettras sur ton con, tu verras, c’est chaud. Si tu te branles avec ta mouille parait superflue.
- C’est sale, je n’en veux pas.
- Alors bois en c’est aussi bon.
- Tu es vraiment une salope.
- C’est vrai j’aime faire ce qui déplait certain. En attendant va te préparer je vais te mettre la main entière dans ton con de pute.
Marie va se coucher, après s’être essuyer de l’urine de Chris. Elle commence se toucher la chatte pour être bien mouillée. Quand Chris arrive, elle l’embrasse et va directement sur l’entrée du vagin de Marie. Comme prévu Chris entre, avec une douceur insoupçonnée, elle la doigte d’abord avec l’index, puis le majeur, pour finir par tous les doigts pour la fister complètement. Marie ne sait plus comment se mettre. Elle gémit longuement comme une louve qui appelle ses petits. Elle ne sait même pas combien de fois elle jouit. La seule chose dont elle se souvient est d’avoir plané au dessus d’elle-même.
Drôle de filles qui sans garçon jouissent plus que beaucoup d’autre femmes qu’elles se permettent de toiser de haut l’air de dire, nous savons jouir mieux que vous.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!