Leslie Nr26

Leslie NR26 – Nouveaux récits
Retrouvailles – Elle est devenue une sacrée salope, suite

Nous avons mis du temps à nous revoir, n’échangeant dans un premier temps que des messages sur nos portables, mais rapidement les échanges furent chauds Dany me demandant des détails sur ma vie, ce que j’avais fait pendant les quatre années passées et allant même jusqu’à me demander des photos de moi et si possible intimes.
Il avait surement compris que j’avais bien changer et que je n’étais plus la petite fille sage qu’il avait connue, il avait aussi dû voir les tatouages sur mes jambes et le style d’habits que désormais je portais.
En effet le soir de notre rencontre, je portais une mini-jupe de cuir noir très moulante et un top noir moulant aux manches longues, moulant ma poitrine nue dessous et masquant les tatouages de mes bras, juchée sur des escarpins à hauts-talons, je ne portais pas comme à l’accoutumé, depuis maintenant un certain temps, de culotte. En y repensant je faisais un peu salope.
Comme j’étais en couple avec Tina, je suis restée sur la réserve, non sans l’allumer un peu par des sous-entendus afin de le faire penser encore plus à moi et ainsi le tenir disponible dès que l’occasion se présenterais.
Tina avait bien vue que lors de cette soirée, la rencontre de Dany m’avait troublée, trois semaines plus tard elle me dit :
- Tu sais chérie, si tu veux le revoir, je ne peux t’en empêcher.
- Mais Tina, que dis-tu là !
- Je vois bien que depuis quelques temps tu n’es plus la même, alors vis ce que tu as à vivre et reviens moi ensuite, et même qui sait, avec lui…

Deux jours plus tard, j’avais rendez-vous avec Dany, pour soi-disant refaire le contact et parler de nos souvenirs, en fait je pensais, en roulant vers chez lui, qu’il ne faudrait pas longtemps pour qu’il me saute dessus et me prenne sauvagement, peut-être que ce que j’espérais en fin de compte…
Après plus d’une heure de route, j’arrivais devant chez lui, une petite maison dans un hameau en pleine campagne, une vingtaine de maison tout au plus, un endroit isolé propice aux ébats amoureux.

..
Le café était préparé et nous en avons dégusté une tasse sur la terrasse.
J’ai senti dès mon arrivée son envie de me sauter dessus, mais il n’en fit rien, me laissant mijoter dans mes désirs et attendant le moment pour se lancer.
Ce fut au moment d’entrer dans la maison pour prendre le déjeuner que les évènements se précipitèrent, après m’avoir ouvert la porte, il me sauta dessus et nos langues se retrouvèrent dans un baiser torrides, nous avions du mal à nous contrôler.
Pendant le baiser, il caressa mes fesses rebondies, ma poitrine et me plaqua contre le mur en continuant ses baisers et caresses. Il était déjà dur et me le fit sentir en plaquant son sexe contre ma hanche. Puis il se fit plus pressant et passa sa main sous ma petite jupe, la même qu’à la soirée, constatant que fidèle à mon rôle de salope, je ne portais pas de culotte.
Il ne manqua pas de me dire :
- T’es devenue une sacrée salope !
- Ça te déplait, dis-je, je peux repartir.
- Non, non. Dit-il, tu me rends fou !
Le ton était donné nos retrouvailles promettaient d’être incendiaires.

De sa main entre mes jambes il constata que j’étais mouillée, alors il enfonça deux doigts en moi et le sentit me cabrer de désir, puis il se déshabilla rapidement et lui appuya sur mes épaules en me murmurant :
- Suce-moi !
Trop heureuse de la demande, je ne fis pas prier, appréciant la taille de ce membre que je n’avais jamais vu, mais seulement sentis au travers d’un jean, j’ai commencé doucement à passer sa langue sur son frein, puis sur tout son gland avant de l’engloutir en le regardant dans les yeux. Les mains de Dany se posèrent sur ma tête et il se mit à me baiser la bouche, essayant d’enfoncer son membre plus loin dans ma gorge.
Mais l’excitation l’emportant, il déchargea en longues giclées dans ma bouche, j’avalais sa jouissance et me relevais, puis et il m’entraîna dans le salon pour déjeuner.
Il se rendit vite compte qu’il était nu, alors que j’étais encore toute habillées, il me demanda de me mettre nue afin de profiter du spectacle de mon corps en déjeunant.


En enlevant mon top, il regarda mes tatouages avec attention, ses yeux se fixant sur mes seins entoilés, puis, une fois ma jupe retirée, ce fut la queue du dragon se perdant dans la raie de mes fesses qui attira son attention. Mon sexe épilé parut le ravir et ainsi nous avons déjeuner en bavardant, nus, ne manquant aucun détail sur mon parcours….
A la fin du repas, il me demanda :
- Tu aimes quoi ?
- Tout, tout ce qui est possible de faire !
- Tout ! Me dit-il étonné.
- Tu en seras même étonné.

Il se leva et me prit la main pour m’allonger sur le canapé et s’intéressa de plus près à mon sexe épilé et il se mit à me le bouffer sans ménagement, il me léchait et mordillait le clitoris pendant que je me tortillais de plaisir, puis il me doigta avant d’introduire trois doigts dans mon vagin, j’ai adoré en gloussant. Puis il en osa un dans mon anus, me faisant me cabrer.
Il constata que j’étais réceptive et que je ne refusais pas ses caresses, et il se mit à me baiser de ses doigts et je ne fus pas longue à jouir, arrosant son visage de ma jouissance.
- Ohhh ! Femme fontaine en plus…
Il m’aida à me relever et m’entraina dans sa chambre, me fit mettre quatre pattes au bord du lit et me pénétra brutalement la vulve, pour me baiser comme une petite chienne. Mes seins ballottant au rythme de ses coups de reins. Rapidement j’ai déposé mes bras sur l’oreiller et ma tête aussi, me présentant impudique, le cul en l’air à Dany.
J’ai jouis encore sentant son sexe aller toujours plus loin en moi, puis il s’écroula sur le côté pour reprendre son souffle en disant :
- Alors toi !
- Quoi moi ? dis-je avec un sourire.
- Si je me doutais, t’es une belle salope !
- T’as encore rien vu. Dis-je sur le ton de la provocation.

Nous sommes retournés au salon pour fumer une cigarette et boire un café afin de se remettre de nos ébats et reprendre des forces, enfin surtout pour Dany.
Assise à côté de lui, j’ai posé ma main sur son membre, je ne l’avais pas encore eu dans ma main et je l’ai trouvé très épais, le contact de ma main fit frémir son sexe et j’ai senti qu’il allait redevenir dur rapidement.
Cela ne tarda pas sous la caresse que je lui faisais tout en fumant ma cigarette.
Il bandait dur lorsque j’ai éteint ma cigarette, il se plaça debout devant moi toujours assise sur le canapé et me le mit entre mes lèvres pour me baiser une nouvelle fois la bouche.
Puis il me prit par la main et m’entraîna dans la chambre en caressant ses fesses, n’oubliant pas de me rentrer un doigt dans mon petit trou plissé, en disant :
- Ton cul va y passer, ma belle…
- Je sais, je m’y attendais !
- Tu as déjà été enculé ?
- Mon petit trou est rodé depuis longtemps.
Il me fit pencher en avant, debout les jambes écartées au pied du lit. Il prit du lubrifiant, puis j’ai senti deux doigts s’introduire dans mon cul sans ménagement et m’enduit la rondelle copieusement, puis il plaça son gland devant mon petit trou et me pénétra d’un coup en poussant un grognement, la douleur me submergea tant son membre était épais, je n’en avais pas pris encore d’aussi gros par cet orifice, mais j’ai aimé ce côté animal.
Il fit quelques mouvements, puis il accéléra le rythme en disant :
- J’adore baiser ton cul de petite chienne…
- Tous disent la même chose !
- Je m’en doute ma salope !

Ces mots dans mes oreilles décuplèrent mon désir et je sentais mon cul s’ouvrir, il me tenait fermement par les hanches, parfois par les épaules pour aller le plus loin possible en moi, je me sentais pourfendue par ce membre. Il ne jouit pas encore, mais me fit jouir par le cul, puis il se retira de mon cul, se coucha sur le lit et m’attira sur lui.
Je m’empalais le cul sur son sexe tendu, pensant qu’il ne tiendrait pas longtemps, mais il me fit jouir encore et inonder les draps de ma jouissance qui s’échappait par jets de ma vulve en feu.
Lorsque je le sentais buter au fond de moi, un long gémissement s’échappait de ma bouche, je m’astiquais le clitoris de mes doigts et des jets de jouissance sortirent à nouveau de mon con endolori.

Il donnait maintenant de grands coups de reins qui me faisaient gémir un peu plus fort à chaque fois. Le rythme s’accéléra, nos souffles aussi, jusqu’au moment où il m’attira d’un coup contre lui, me serrant fort la taille et jouit en moi, les contractions de son sexe déclenchèrent un nouvel orgasme et, épuisés nous nous sommes écroulés sur le lit.

A suivre…

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