Leslie Nr23

Leslie NR23 – Nouveaux récits
Confidences - L’amie exhibitionniste de Laure

Voici une petite histoire d’une amie de Laure, du temps où nous étions encore à Paris…
Laure avait une amie, qui avait découvert l’exhibition après son mariage, elle savait que son compagnon, plus âgé qu’elle, avait la passion de l’exhibition et du sexe partagé, mais il ne lui avait jamais fait vivre l’expérience avant d’être mariés.
Claudia, jeune et jolie femme de vingt-cinq ans avait rencontré Carlos, lors de vacances en Espagne, elle était tombée tout de suite amoureuse de lui et ils se sont mariés six mois plus tard.
Laure, étant la confidente de Claudia, fut témoin à leur mariage, mais surtout elle était sa confidente et Laure savait tout de Claudia, jusqu’à sa vie intime et sexuelle.
Elle savait que Carlos avait un gros appétit sexuel et que Claudia le suivait dans tous ses délires, le soir de la nuit de noces, il l’a prise plusieurs fois dans la nuit et l’a sodomisée à deux reprises. Maintenant cela faisait partie de leur vie courante, Claudia aimant se faire sodomiser, ils fréquentent les clubs échangistes et adorait faire plaisir à son homme en s’exhibant pour lui. En fait elle n’avait aucun tabou, ni aucune retenue.

« Mon mari il y a quelque temps a voulu m’emmener au restaurant, mais dans ces cas-là il y a une condition que mon mari exige, c’est que je dois être nue sous mes vêtements, aucun sous-vêtement n’est toléré.
Alors comme à l’habitude je me suis pliée aux règles du jeu, une jupe courte noire boutonnage sur le devant et corsage crème boutonné devant aussi, rien de plus…
Et nous nous sommes rendus au restaurant…
Nous avons été installés dans un endroit tranquille au fond du restaurant, moi, face à la salle, mon homme qui aime bien que je sois face à la salle s’est installé en face, car lorsqu’il se lève pour aller aux toilettes, toute la salle à la vue sur l’intérieur de mes cuisses que j’écarte volontairement en grand lorsqu’il s’absente.


A ma droite, la table est occupée par un couples d’une cinquantaine d’années environ, la femme se tient du même côté que moi et l’homme lui peut aisément me détailler de la place où il est. A ma gauche, deux hommes sont attablés et grande discussion, ils ont environ quarante-cinq ans et ne se soucie pas de nous pour le moment.
Nous avons commencé à discuter entre nous, avec Carlos et je voyais que l’homme du couple voisin lorgnait dans l’échancrure de mon corsage que j’avais laissé volontairement très ouvert, laissant voir une bonne partie de ma poitrine, ma jupe déboutonnée jusqu’à mi-cuisse laissait voir le haut, juste là où tout peut être envisageable.

Rapidement mon mari a remarqué que les regards et se sont tourner vers moi, alors il s’est mis à me parler plus fort, pour que nos voisins ne perdent rien de notre conversation.
Il m’a demandé si j’avais aimé notre dernière soirée sexe où il m’avait exhibée dans le parc, mon imperméable grand ouvert sur me nudité et ensuite quand il m’avait baisé avec son gros sexe devant les voyeurs excités…
Nos voisins ne perdaient pas un mot des paroles de Carlos et trois hommes, mais aussi la femme, ne parlaient plus, ils écoutaient dans un profond silence.
Cela m’a beaucoup excitée, et je rajoutais les détails nécessaires pour excités encore plus nos voisins, je commençais à avoir chaud dans tout mon corps et c’est machinalement que j’ai défait un bouton de plus à ma jupe, laissant ainsi mes cuisses se découvrirent un peu plus, encore un bouton et mon pubis serait découvert…

Je lui ai raconté, aussi, que j’avais beaucoup aimé le soir où il m’avait exhibée dans une rue, adossée à un mur, ma jupe retroussée au-dessus de mon ventre et lui me fouillant avec ses doigts habiles, mon sexe épilé et trempé d’excitation. Comme j’avais aimé me laisser faire, docile, devant ses voyeurs pendant qu’il me doigtait profondément.
Je lui ai dit comment j’avais jouis sous ses doigts quand certains m’ont traité de salope, mais ce que j’avais ressenti pendant que j’étais exhibée.
Je lui ai dit que j’étais honteuse, troublée et excitée à la fois d’être vue, pendant que sa main explorait mon ventre sans ménagement, au point de me faire gémir dans un mélange de plaisir et que j’étais prête à recommencer si lui le voulait.
Nos voisins n’avaient pas perdu une miette de mes confidences et me regardaient d’un air lubrique espérant que ce serait pour ce soir...

Le restaurant proposait un buffet pour l’entrée et nous devions nous lever pour nous servir. Sans que mon mari me le demande, avant de reculer ma chaise pour aller me servir, j’ai défait le dernier bouton de ma jupe et ainsi quand je me suis reculer, les yeux se sont portés que mon pubis glabre et découvert.
En revenant me rasseoir, avant mon homme, je n’ai pas oublié de donner une vue sur mon intimité à toute la salle.
Lorsque nos voisins se sont levés pour aller se servir, ils n’ont pas oublié de jeter un regard appuyé sur mes cuisses offertes, mon pubis dénudé et mon décolleté audacieux.
J’offrais la vue de ma jupe ouverte sur ma fente imberbe à qui voulait en profiter et personnes n’a détourner le regard, alors ouvrant un peu plus mon chemisier, je leur ai offert un aperçu de mes seins, libres de toute entrave.
Sentir tous ces regards sur mon corps me troublait énormément et je crois avoir senti ma fente couler de désir…
Pendant le repas je n’ai pu m’empêcher de dire à mon mari :
- Je suis nue aux regards de tous, mes seins sont durs et mes tétons dardés et mon sexe est tout ouvert et mouillé, je suis terriblement excitée !
Pendant tout le reste du repas, je n’ai cessé de me m’exhiber et j’ai senti que les deux hommes attablés près de nous avaient envie de nous tenir compagnie le repas terminé.

A la fin du repas, nous sommes partis nous promener, suivis des deux hommes, Carlos m’a conduit dans les rues sombres de la vielle ville, là où tout est possible dans la pénombre d’un recoin.
A un moment, à la faveur d’un recoin sombre, juste éclairé par la lumière blafarde d’un réverbère, Carlos m’a plaqué contre le mur d’une bâtisse, rapidement il a ouvert entièrement mon corsage et a retroussée ma jupe sur mes reins et se retournant vers les deux hommes il a dit :
- Elle est à vous, faites donc ce qu’il vous plaira !
Ils se sont approchés et rapidement défait, m’offrant pour celui qui se présentait devant moi un sexe épais et veinés que je me suis mise à sucer penché en avant et alors que j’étais courbée, offrant mes fesses nues, le deuxième s’est placé derrière moi pour placer son membre à l’entrée de mon sexe mouillé ;

Pendant plus d’une demi-heure, j’ai sucé en il me faisant prendre comme une chienne sous le regard de Carlos, le sexe de celui qui me baisait était gros et je râlais sous les coups de boutoir qu’il m’assenait, me faisant entrer le sexe de son ami au fond de ma gorge.

Puis il m’a sodomisée pendant plus de dix minutes, me prenant profondément, je n’en pouvais plus, je gloussais de plaisir, comme une chienne.
Puis, ils ont échangé les positions, celui que je suçais m’a enculé directement pendant que l’autre jouissait dans ma bouche.
Je sentais mon anus en feu, le membre me forçant sauvagement, allant de plus en plus profondément dans mes entrailles et m’arrachant des cris de douleur et des râles de plaisir ! Mon œillet dilaté à l’extrême n’attendait plus que de recevoir la jouissance de mon enculeur du soir.
À la fin, mon mari m’a rempli la gorge de son sperme tandis que mon enculeur se répandait au fond de mes entrailles…

Nous sommes rentrés nous tenant tendrement et je sentais de mon cul encore ouvert s’échapper la jouissance de mon amant, coulant lentement sur mes cuisses et me faisant frémir.
Carlos m’a enculé debout dans notre chambre sitôt rentrés à la maison, son gros sexe me faisant hurler.
J’aime le sexe et celui des hommes, peu importe si c’est celui de mon homme ou d’un autre, jouir est ma raison de vivre... »

A suivre…

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