Leslie Nr24

Leslie NR24 – Nouveaux récits
Récits saphiques - Hébergement d’une amie

Mon amante, Morgane, un jour sur l’oreiller, m’a raconté cette aventure que j’ai envie de vous conter…

« « Il y avait déjà plusieurs deux ans que Sylvie et moi, Morgane, vivions ensembles, lesbiennes nous ne nous en sommes jamais cachées pour vivre notre homosexualité, allant même parfois à avoir des aventures extérieures à notre couple, où en d’autres occasions d’à amener une fille dans notre lit, pour finir la soirée à trois dans notre grand lit.

Un dimanche de mai, je dis à Sylvie :
- Au fait, ma copine Carole monte à Paris pour passer ses examens et voudrait, si tu étais d’accord, que nous l’hébergions cette semaine-là.
- Quand ça ?
- A partir de la semaine prochaine.
Sylvie réfléchit, cette copine je lui en ai déjà parlé et elle l’a vu deux fois, mignonne elle lui avait tapé dans l’œil.
- Elle va devoir dormir dans la chambre d’amis.
- C’est pour deux semaines, elle arrive vendredi prochain et elle repart deux semaines après.
- Deux week-ends quand même, dit Sylvie songeuse, fini l’intimité, plus de câlins n’importe où et plus de déambulage à poil, et pour terminer, tu travailles les deux samedis à venir ?
- Elle est sympa, vous vous entendrez bien !
- Et tu ne seras pas jalouse de me laisser seule avec elle, tu sais qu’elle est mignonne ?
- Elle est seule en ce moment et même si elle est lesbienne comme nous, elle ne va pas te sauter dessus, dis-je en souriant.
- Et si c’est moi qui lui saute dessus ? Rajoute Sylvie.
- Alors elle finira comme les autres entre nous dans notre lit…

Le vendredi nous réceptionnons Sylvie à la gare, peu de temps après le train à quai, je fais des grands signes à une blonde traînant une valise à roulettes.
- Salut ! Dit la blonde parvenue à notre hauteur.
- Carole, je te présente Sylvie, on se connaît depuis le primaire.


Sylvie esquisse un sourire pour la blonde au physique avantageux et lui fait la bise en disant :
- Bonjour, contente de te revoir. Je vais prendre ta valise. On y va ?

Traînant le bagage de Carole, Sylvie nous suit jusqu’à la voiture et elle en profite pour détailler discrètement, mais sans vergogne Carole. Un jean moule avantageusement une paire de fesses sublime, une belle poitrine moulée dans un top assez près du corps qui épouse parfaitement sa poitrine ronde et lourde, poitrine à l’opposé de la mienne car j’ai des tous petits seins aux bouts proéminents, cela pointus.
- Tu passes quoi comme examens, au fait ? Morgane ne me l’a pas dit. Demande Sylvie.
- Un concours administratif pour avoir un poste dans la fonction publique.
- Sur deux semaines ? s’étonne-t-elle.
- Il y a les écrits la première semaine, les oraux la deuxième.
Le trajet du retour se transforme en grandes retrouvailles entre Morgane et moi, ne laissant peu de place à Sylvie qui désespérément essaye de glaner quelques informations sur Carole, tout en conduisant, puis y renonçant ne se sentant pas intégrer à notre conversation.

Tandis que Carole prenait une douche et que nous faisions son lit, Sylvie me dit :
- Elle a l’air sympa ta copine.
- Oui, je te remercie d’avoir accepté que nous l’hébergions.
- Oui, mais ça veut dire que pendant deux semaines, ceinture, réplique Sylvie.
- Il faudra juste être que nous soyons discrètes, lui dis-je, avec un sourire complice.
- Discrètes, ça va être difficile car tu as le chic de me faire hurler de plaisir… Réplique Sylvie.
- Eh bien, on verra, si tu hurles trop fort je te bâillonnerais…
- Ah oui, et tu me fesseras en même temps, dis Sylvie.
- Tu serais trop contente…

Nous avons diné et il est plus de minuit, quand nous allons nous coucher, Carole dans la chambre d’amis et Sylvie et moi dans notre chambre, juste en face de celle de Carole.

Après avoir soigneusement fermé la porte de notre chambre, Sylvie s’est ruée sur moi pour me faire basculer sur le lit, puis nous nous sommes mises nues tout en nous embrassant.
- Cela fait un moment que j’ai envie de te faire l’amour, me dit Sylvie.
- La patience est excellente pour exacerber les désirs, luis dis-je.
- Tu vas voir, tu vas payer cher ce soir, me répond-t-elle avec un air coquin.

Sur le lit toutes les deux nues, Sylvie entreprend de prendre mes petits seins dans ses mains, tout en léchant mes tétons du bout de sa langue, les yeux mi-clos je lui caresse la nuque au rythme de ses caresses.
Puis, Sylvie prend mes tétons qu’elle vient de lécher entre son pouce et son index et les pince doucement en les faisant tourner, me provoquant des halètements et des frissons.
Sylvie sent mon excitation monter, les bouts de mes seins se mettent à durcir, alors je pousse doucement Sylvie et l’allonge sur le dos.
Puis je m’installe dans l’entrejambes de Sylvie et commence à lui lécher le sexe, je passe la pointe de la langue sur les lèvres de son vagin, puis aspire le clitoris entre mes lèvres, la faisant gémir comme à son habitude.
Sylvie râle, sa tête ballote d’un côté à l’autre, puis son corps se soulève un peu, alors répondant à l’invitation de mon amante, je glisse mon majeur dans le pli de ses fesses.
Sylvie adore se faire mettre un doigt dans le cul pendant qu’on la suce, cela la met dans un état pas possible, souvent elle hurle comme une folle, sauf qu’aujourd’hui elle doit se retenir, amis parfois un grand râle sort de sa gorge.

Je l’ai sucé un bon moment, laissant mon majeur aller et venir dans son petit trou plissé, mais Sylvie décidée, elle aussi à de me donner du plaisir s’est alors installée au-dessus de moi, tête-bêche.
Elle à commencer à me lécher la vulve, tandis que je reprenais mes caresses buccales du minou de mon amante.
La langue de Sylvie passe et repasse sur mon sexe, écrasant sa langue dessus pour écarter mes grandes lèvres puis, de la pointe titiller mon clitoris.
Après quelques allées et venues, elle remplace sa langue par son majeur, qu’elle fait rentrer lentement dans mon vagin tout en léchant mon clitoris, me faisant pousser un petit gémissement.
De mon côté, après avoir caresser un instant l’anus de Sylvie du bout de mon majeur, je l’ai fait à nouveau entrer et sortir lentement, faisant apparaître son petit anneau en relief quand mon doigt se retirait.
Sylvie de son majeur a investi mon anus à son tour sans cesser de me lécher, puis elle s’est redressée et s’est rapidement équipée du gode-ceinture, notre compagnon de jeux intimes, puis allongée sur le dos, elle a entrepris de me placer au-dessus d’elle de façon à mettre le gland du gode à l’entrée de mon sexe et m’a laissé descendre lentement.
J’ai senti mes grandes lèvres s’écarter progressivement jusqu’à ce que, entièrement pénétrée, je sois assise sur Sylvie.
Sylvie m’a laissé m’embrocher sur le gode dressé pendant de longues minutes et c’est moi maintenant qui hurlait sous les pénétrations du membre factice, Sylvie me regardait en silence, un doigt sur la bouche me demandant de me calmer et de me taire…
Puis nous avons changé de position, moi à quatre pattes et elle derrière, le gode de Sylvie pénétrant mon sexe intégralement épilé, Sylvie pouvant voir nettement mon petit orifice.
Au début, appuyée sur mes coudes, j’ai posé ma tête et mes épaules sur le lit, m’offrant complètement cambré aux assauts de Sylvie.
Et lorsqu’après s’être retiré de ma vulve, j’ai senti le gland du gode effleurer mon anus, je me suis crispée en me cambrant et lorsqu’elle a pénétré mon œillet, j’ai hurlé de plaisir en me mordant les lèvres.
Pendant qu’elle me sodomisait, je n’ai pas arrêté de feuler et de hurler, si bien qu’après avoir longuement jouis, Sylvie m’a dit :
- Je crois que ton amie Carole est maintenant au courant de notre relation !

Le lendemain matin, nous étions en train de prendre le petit déjeuner, lorsque Carole a fait son apparition.
Sylvie lui a demandé :
- As-tu bien dormi ?
- Disons, réponds Carole, que je me suis endormi assez tard…
- Ah bon et pourquoi ? Demande Sylvie.
- Je crois que vous savez pourquoi.
- Ah, racontes nous, dit Sylvie.

« Après m’être retirée dans ma chambre, je commençais à m’endormir quand des bruits m’ont réveillé et sorti de ma torpeur. Sans aucun doute, vous vous donniez du plaisir et cela m’a émoussé quelque peu les sens…
Rapidement j’ai eu le feu au ventre et après avoir enlevé mon minishort et mon tee-shirt, j’ai commencé à me caresser, lorsque je me suis cambrée de plaisir, j’ai caressé mon petit orifice du bout du majeur. La vue des doigts de Sylvie en action a éveillé en elle de nouvelles envies.
Ma main gauche s’occupant de mon petit trou, j’ai continué à me caresser le minou et mouillant comme une cochonne je n’ai eu aucun mal à pénétrer mon sexe de mes doigts.
Je vous imaginais faisant l’amour et j’ai envie de vous rejoindre, me joindre à vos ébats, me faire caresser puis prendre par vous, chacune à votre tour. Mais je pensais aussi que ce pouvait être l’occasion de vous offrir ma virginité anale en guise de remerciement de m’héberger.
Alors, j’ai pris ma brosse à cheveux et après en avoir sucé le manche, allongée sur le lit, je l’ai passé sur mon sexe et je me suis pénétrer progressivement. Arrivée à la lisière de l’orgasme, j’ai retiré le manche de mon sexe trempé et je me suis sodomisée.
Après avoir placé le manche sur mon anus, j’ai appuyé doucement, j’ai senti mon petit trou se dilater et le manche est entièrement rentré, je me suis caressé le clitoris en faisant aller et venir le manche en moi et j’ai explosé dans un violent orgasme ? »

- Ton séjour promet d’être intéressant… A dit Sylvie.
Elle s’est approchée de Carole et l’a embrassé à pleine bouche, en rajoutant :
- Bienvenue parmi nous ! » »

A suivre…

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