Le Théâtre De Rue, Real Sex

Dans le métro de Chibroku, au Japon. Je me tiens contre la porte vitrée. Un garçon s'approche de moi, et se colle à mes fesses. Il laisse pendre son bras, et caresse le haut de ma cuisse. Sa main descend, descend, jusqu'à ce que ses doigts touchent ma peau, en dessous de l'ourlet de ma jupe. J'essaie de repousser sa main, mais celle-ci fronce le tissu de mon vêtement, découvrant peu à peu ma cuisse. Il persiste, et aperçoit ma culotte de paysanne. Je tire ma jupe vers le bas, mais le garçon se saisit de ma main. Il la coince entre la porte vitrée et son dos. Des gens jettent un regard vers nous et se détournent, l'air dégoûté. Le haut de mes cuisses se dévoilent. Mon regard se fait implorant. Il m'a averti qu'il me ferait du mal, si j'appelai à l'aide.
Un autre garçon, se tenait à une barre de maintien, juste un peu plus loin. Il vint vers nous. J'ai cru qu'il venait à mon secours. Il se baissa, et tira sur ma culotte. J'avais les fesses nues. Le premier sortit un couteau, et coupa la culotte en deux. Le second prit mes jambes entre ses bras et les releva. Un troisième garçon s'en mêla. Il déchira mon chemisier, faisant jaillir mes seins. Celui qui tenait mes jambes, les souleva. Je me trouvais la tête en bas. Le premier sortit sa pine, et la fourra dans ma bouche. Les deux autres retroussèrent ma jupe, sur ma poitrine. L'un des trois garçons sortit la sienne, et tenta de l'enfoncer dans ma chatte. L'autre, tentait de glisser sa queue entre mes fesses. Bientôt, je fus à poil. Un des gars passa ses bras, sous les miens, et sous mes seins. L'autre, écarta mes cuisses. Le premier me souleva et m'embrocha sur la bite de son acolyte. Celui-ci me prit sous les bras, et me colla contre lui. Celui qui me tenait précédemment, écarta mes fesses, et y plongea sa queue. Je ne pouvais pas protester, la pine du troisième obstruait ma bouche. L'odeur du sperme, informa les autres voyageurs, que les trois garçons venaient de jouir. Les garçons m'ont pris chacun une jambe et un bras, et, suspendue dans le vide, la pine du troisième garçon, s'enfonçai dans ma gorge.

Un autre gars participa. Il s'invita entre mes jambes, et m'enfonça sa bite dans la chatte. Une fois qu'il a joui en moi, il s'est éclipsé. Alors, ceux qui me tenaient par les jambes et par les bras, m'ont retournée, la tête, à la place des pieds. Cette fois, mes yeux ne voyaient plus que le plafond de la rame de métro. Un autre participant prit la place vacante, entre mes jambes, et planta sa queue, dans mon cul. Certains de ceux qui regardaient avec dégoût, poussaient des gémissements étouffés, qui ressemblaient plus à des manifestations de plaisirs plutôt qu'à du mépris.
Quand ce fut fini, toujours nue, j'ai parcouru le wagon en tendant un préservatif, aux voyageurs.
- Pour la pièce, s'il vous plait...en espèces ou en liquide...Une branlette, une pipe, une sodomie ?
Il y en a même un qui m'a giflée.
- Vous n'aimez pas le théâtre de rue ?
- Je préfère participer, répondit la passager.
- Pourquoi vous ne l'avez pas dit ?
- Je savais pas !
Je pris sa main en disant :
- Venez !
Le gars se leva, et je l'entraînai dans un compartiment. Les garçons l'ont mis à poil, l'ont ramené dans le wagon. Le premier lui a enfoncé sa pine dans le cul, l'autre, lui a fourré la sienne dans la bouche. Il a bien essayé de protester, mais le gros manche, le bâillonnait. Quand il eut avalé le sperme du garçon, je me suis approché de lui. Je m'étais changée. Je portais une jupe de cuir blanche, extrêmement ajustée. Ma croupe, serrée à mort dans le vêtement, était cambrée un max. La forme de mon cul réveilla ses instincts. Il souleva la jupe, je ne portai pas de culotte. Il glissa sa tête sous la jupe, et sa langue dans ma chatte. Je gémis sous la caresse. Il remonta le cuir, et m'assis sur sa biroute. Mon cul était comme sur une tringle.
Le type me tenait par les hanches et me faisait aller et venir le long de son pieu. Un autre spectateur, ayant assisté à la représentation depuis le début, se leva, vint vers moi, et enfourna sa pine dans ma bouche.
Persuadés de faire participer les voyageurs, à une forme d'expression artistique, je me suis foutue à poil, et suis descendue du métro, dans le plus simple appareil.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!