Charlotte L'Allumeuse (1)

Chapitre 1: Mohamed Partie 1

Avant tout, je vais me présenter, avant de vous raconter mes nombreuses histoires de cul ! Je m’appelle Charlotte, et je viens tout juste d’avoir dix-huit ans. J’ai eu mon bac avec succès en juin dernier, et j’ai choisi de faire des études de sciences à l’université de Grenoble. Oh, pas spécialement par passion, mais surtout pour pouvoir enfin partir loin, très loin de chez mes parents. Avoir enfin mon propre appartement, mon indépendance, et surtout, pouvoir m’éclater comme je veux avec les garçons.

J’ai été élevée dans une famille catholique traditionnelle et stricte. Autant vous dire que les expériences sexuelles que j’ai connu furent rare et avec des garçons de ma classe, bref, pas vraiment le pied. J’attend depuis toujours de me retrouver dans une ville où personne ne me connait, et où je pourrais enfin réaliser mon rêve: Me faire défoncer par tous les garçons en manque qui m’approcheront.

Après les petites tenues traditionnelles, place aux mini-shorts, aux strings, aux jupes courtes, aux robes raz-la-moule. Fini les sourires chastes aux amis et à la famille, place aux pipes sur les parkings des boites de nuit. Je veux allumer, faire bander les hommes et assouvir tous leurs fantasmes.

Physiquement, ça ne devrait pas poser trop de problème. Je mesure 1m70, je suis assez fine, un ventre plat et des cuisses fines. Par contre, des années de GRS m’ont fait un cul à faire bander un mort ! Et mon 90D bien ferme me permettras de faire bander les plus difficiles à l’aide d’une bonne branlette Espagnole. Je ne suis pas une bombe atomique, mais je suis bonne, je suis la lycéenne sur qui vous vous retournez tous dans la rue en ayant envie de la défoncer. Et désormais, tous ceux qui oseront me le proposer pourront me défoncer.

Après mon installation terminée et mes parents partis, je suis enfin chez moi. J’ai eu le droit à un bel appartement dans le centre-ville de Grenoble, loué par ma famille.

Une grande cuisine avec un plan de travail assez large pour une levrette improvisée. Un salon - salle à manger avec deux canapés en cuir blanc, un grande télé et une cheminée. Ma chambre est assez petite, mais suffisante pour accueillir un lit double et un bureau. Enfin, la salle de bain propose une baignoire de taille normale. Ca va être difficile de tenir à deux, à moins de s’emboiter !

Après une bonne douche, je vais choisir ma tenue pour sortir en ville. C’est l’été, nous sommes samedi après-midi, le centre-ville est bondé, c’est le moment où jamais de me faire tirer pour la première fois ! J’enfile un mini-short qui laisse voir la moitié de mon cul, un débardeur noir très décolleté, et une paire de Stan Smith. Un petit sac à main pour pouvoir y mettre mon téléphone et mes clés, et me voilà partie !

Je descend dans la rue, et le soleil frappe déjà sur mes longues jambes à l’épilation parfaite. Je suis encore bien bronzée de mes vacances en Corse, c’est parfait, les hommes adorent ça. Je marche quelques minutes dans le centre-ville quand je croise une bande de quatre mecs de cité. Casquette, survêtement, chaussures TN, on ne peut pas faire plus cliché ! En chien, les potes me remarquent directement et les remarques commencent à fuser.

Je n’ai pas une bonne image de ce genre de mecs. De là où je viens, on en croise pas beaucoup et ils ont plutôt mauvaise réputation. Et la première impression qu’ils me donnent ne me fait pas mentir, j’entend des « Salope », « petite chienne », « elle veut se faire troncher »… Oui les gars. Si vous saviez, à quel point je suis une salope, une petite chienne, et à quel point j’aime me faire troncher. J’aurais aimé que les quatre mecs prennent leurs couilles en main, me prennent et me violent à quatre dans les cave de leur cité.

Malheureusement pour moi, un seul mec de la bande a les couilles de s’approcher vraiment de moi. Pas très grand, assez fin, il n’a pas une tête de méchant. C’est le seul a ne pas avoir fait de remarque sur ma tenue à haute voix.
Plus il se rapproche de moi, plus mon coeur bat fort et s’interroge jusqu’a ce qu’il me dise tout doucement, à l’oreille.

« Tu sais que tu me fais bander, comme ça dans cette tenue ? »

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