Fatalisme. M.A.K. My Life... Ou Presque. Vi
JUIN 2003
Trois semaines maintenant que Margot fréquente Mathieu et Kemb ensembles. Lorganisation des rencontres est difficile. En fait, il y a une répartition des rôles. Kemb est lamant macho de service. Le mâle alpha de la bande. Mathieu le pote qui en profite. Et moi le cocu qui na pas su défendre son bien.
Mais nous sommes les trois aux pieds de ma femme.
Jai admis cette situation de cocu voyeur avec difficulté.
Mais en fin de compte lhabitude atténue bien des souffrances.
Mais pour Margot je reste: Didou, Chéri, Mon Ange, Mon cur etc....
Eux sont Kemb et Mathieu. Elle ne leur donne pas de surnom...
Cest curieux je suis sûr quelle maime autant que moi je laime malgré ce quelle me fait subir.
Les s ne se doutent de rien et Margot les protège de toute cette aventure comme une tigresse. Ni Kemb ni Mathieu ne cherchent à passer outre. Ils savent que cest une ligne jaune à ne pas franchir. Cest cela qui sauve notre couple. Lintimité de notre foyer en semaine.
Cest intimité nétaient pas feinte. Loin de là. Margot maimait et jouait parfaitement son rôle de mère. De gardienne. De protectrice. De femme aussi.
Mais jamais à son initiative. Jétais toujours le demandeur. A part que jy tirais de moins en moins de plaisir. Margot ne me refusait rien sauf son anus. Quand je lui faisais comprendre que javais envie, elle se mettait en position du missionnaire et attendait stoïquement que je prenne mon plaisir. Elle ne jouissait pas et je narrivais pas à la faire jouir.
- Tu nas pas envie de jouir.
- Non Chéri. Mais ce nest pas grave.
- Mais si Margot, pour moi cest grave. Tu ne jouis plus avec moi.
- Je sais mon ange. Mais je ne fais pas exprès. Je narrive pas cest tout. Mais ce nest pas grave. Lessentiel cest que tu puisses jouir toi non.
- Pourquoi tu dis ça Margot.
- Tu le sais bien Didou. Inutile de te faire du mal.
Jétais en elle quand jai posé la question fatale.
- Tu ne veux plus avec moi ?... Cest cela ?
- . Non ce nest pas ça. Tu pourras toujours bien sûr.
- Pourras ???
Elle sest tu..
- Pourras Margot ?... Quest que ça veut dire.
- Je taime Didou. Dieux sait que je taime... Mais ce nest pas du sexe que je veux avec toi ? Je ne te sens pas. Je pense quà lui. Quà sa force, son sexe ou celui de Mathieu. Il accepte de moins en moins que tu me fasses lamour et cest moi qui insiste. Mais ne me demande pas en plus de jouir.. Je suis désolée mon Chéri. Tellement désolée.
Je lai libérée sans jouir bien sûr pour partir dormir dans le salon.
- Moi aussi Margot. Moi aussi.
- Viens me faire lamour, je ten prie viens.
- Non Margot pas comme ça. Non.
Et au fil des semaines, je lai touchée de moins de moins. Lèche, caresses, baisers, câlins. Tout cela sauf la baise. Et un jour que jessayais, elle na pas ouvert ses cuisses.
- Tu ne veux plus nest ça pas Margot ? Ou plutôt, il ne veut plus.
- Je ne préfère pas non. Tout sauf cela. Sil te plaît Didou. Pour moi. Accepte pour moins mon Ange.
- Je ne comptais pas refuser Margot. Sois contente tu as gagné.
Javais les yeux humides. Elle aussi !
oooOOOooo
Je pensais avoir atteint une espèce déquilibre dans cette vie même si je nen voyais pas la conclusion. Je me trompais. Jai reçu une lettre de mise à pieds de ma boite pour objectifs non atteints. Je suis convoqué le surlendemain par mon patron.
La veille de cet entretien, nous sommes au lit. Il est tard. Les s dorment depuis longtemps. Je narrive pas à trouver le sommeil. Margot non plus. Elle tente de me réconforter.
- Ne tinquiète pas. Cela va bien se passer. Tu vas te reprendre.
- Tu te rends compte si je suis viré.
- Mais non Didou.
Elle a posé la main sur mon torse avant de la passer sous la veste de mon pyjama et me pincer les tétons.
- Tu verras... Tout ira bien...
Sa main caressait mon torse puis revenait sur la pointe de mes seins pour les serrer de en plus en fort. Je me suis abandonné en soupirant à ses caresses. Elle a déboutonné ma veste pour dégager mon torse, puis mordillé mes pointes dures de ses petites dents acérées.
- Jai envie de toi Margot
- Chut décontracte toi.
- Il y a tellement longtemps.
- Laisse toi faire mon chéri.
Je bandais douloureusement. Sa main droite est passée sous la ceinture de mon pyjama pour se saisir de ma queue. Jai entendu son petit rire cristallin.
- Tes très tendu Didou.
- Margot sil te plaît laisse-moi te faire lamour.
Ses mains ont serré mes boules... Très fort
- Doucement tu me fais mal.
- Mets-toi à plat ventre Chéri je vais te décontracter et après on verra.
Jai obéi en ôtant ma veste dans lespoir quelle me laisserait bientôt l'honorer. Jai voulu me débarrasser de mon pantalon.
- Non garde le, tes craquant avec.
Déjà nue, elle sest couchée sur mon dos. Je sentais ses seins contre mes omoplates. Elle se frottait lascivement contre moi. Jai écarté mes jambes. Bras et jambes en croix, je me suis abandonné complètement.
Petits bisous légers sur mes épaules, mes omoplates, le long de ma colonne vertébrale. Mon sexe, sorti de la braguette était tendu contre le drap. Mes couilles étaient gonflées de désir. Quand sa bouche sest posée au creux de mes reins, jai frissonné de plaisir.
- Tu as froid?
- Margot jai envie de toi. Jai envie à en crever.
- Je sais Didou. Ne dis rien. Je vais moccuper de toi mon Ange.
Elle sest redressée sur ses genoux calés entre mes jambes et a lentement baissé mon pantalon sous mes fesses.
- Quest-ce que ?...
- Laisse-moi faire chéri.
Puis ses cheveux ont balayé mon derrière avant que sa bouche nentame une ronde infernale sur mes globes.
- Comment tu fais Didou ? Pour te soulager ? Réponds-moi mon Ange.
- Tu le sais Margot.
- Dis le moi quand même mon cur.
- Je me branle.
Javais honte de mes paroles.
- En pensant à moi. ? Ou à eux avec moi? Quand on est ensembles, je vois bien que tu bandes en les voyant me prendre. Quand tu viens me nettoyer de ta langue, je deviens folle et toi aussi nest-ce-pas?
De nouveau collée contre moi, elle sest mise à onduler, frottant son vagin entre-ouvert contre mes fesses. Elle mouillait beaucoup et soupirait de bonheur. Son nouveau savoir-faire était diabolique. Je devenais fou denvie.
- Cest bon. Je me caresse contre tes petites fesses mon chéri. Elles sont douces. Ne bouge pas. Laisse-moi faire.
Un drôle de sentiment semparait de moi. Moitié plaisir, moitié surprise, mélangé à un vague malaise. Jétais sous elle, son corps plaqué sur le mien. Je sentais les poils de son pubis et sa fente se presser contre mes fesses humides de sa cyprine. Javais limpression bizarre quelle mutilisait pour sa jouissance. Cétait très troublant de sabandonner de cette manière.
Je gardais la pose, corps un peu relevé et cul tendu. Elle tenait toujours ma bitte et mes couilles, mais sans rien faire. Comme si elle voulait mimmobiliser.
Sa bouche contre mon oreille, ses seins plaqués contre mon dos, son pubis se frottant de plus en plus vite, de plus en plus fort.
- Tu as des fesses douces Didou. Cest bon. Cambre-toi un peu plus chéri que je puisse bien frotter mon bouton contre ton petit derrière. Jai toujours trouvé ton petit cul attendrissant mon amour. Tu sens mon petit bouton?
- Oui... un peu.
- Cest comme un petit sexe dhomme Didou.
Elle me parlait tout doucement au creux de loreille, frottant de plus en plus fort son bas ventre contre mon cul.
- Tu as les fesses souples. Tu mexcite terriblement ! Essaye de te cambrer plus.
Jai obéis sans rien dire avec lespoir quensuite, nous allions enfin faire lamour.
- Tu me fais mouiller comme une folle dans cette position. Tu sais quand il me la met cest comme un soleil. Ce nest pas la même chose que ce que je faisais avec toi. Oui..... Ouiiiiii.. Tiens-toi bien cambré mon amour, je sens que je vais venir. Avec lui jécarte complètement mes cuisses et il me plante dun coup tout au fond. Ça me rend folle quand son pieu rentre dune seule poussée tout au fond de moi. Quand il a envie de moi, il me prend sans attendre. Toi tu me préparais doucement.... Lui non.
Elle se frottait de plus en plus fort. Mes fesses étaient trempées. Mon sexe toujours prisonnier frottait contre les draps. Ses paroles m excitaient et me faisaient mal en même temps.
- Il me pilonne vite, fort, très loin. Comme sil voulait me transpercer. Toi tu es doux, gentil, ce nest pas pareil. Quand ils mont prise les deux, jai cru que jallais mévanouir de plaisir. Cétait plus fort que moi. Sentir la queue de Kemb envahir mon cul. Comme du plomb des deux côtés. Tu comprends ?
- Arrête Margot.... Arrête !
Mais elle ne ma pas entendu. Elle a poussé un doux feulement avant de stopper ses frottements contre mon cul. Elle était essoufflée, moi aussi. Nous sommes restés quelques secondes sans bouger. Puis elle a déposé un bisou sur ma nuque.
- Cétait bon. Merci Didou. Tu sais souvent mes amies me disent il a un beau cul ton mari. Les femmes regardent souvent le cul des mecs. Ne lui raconte pas. Cela restera un secret entre nous.
- Mais tu es ma femme.
- Chuuuut.... Tourne toi mon chéri cest ton tour.
Elle a commencé par me branler avec application. Javais le pantalon du pyjama autour de mes genoux. Jattendais la suite avec impatience. Ce moment que jappréciais tant ou elle vient pour me chevaucher. Mais elle ne bougeait pas et continuait sa savante masturbation. Jen voulais plus.
Je lui ai demandé de venir sur moi.
- Tsssss ne complique pas les choses mon amour. Je taime.
- Mais tes ma femme Margot... Ma femme!
- Moins fort tu vas réveiller les s. Et je compte bien rester ta femme encore longtemps. Laisse-moi te gâter. Jai plein de manières pour te faire jouir.
Jai joui entre ses mains. Rien dautre. Ni sa bouche, ni le reste.
Javais honte de mêtre laissé manipuler de cette façon.
Le lendemain soir, je navais plus de boulot.
Lentretien a été un vrai supplice et une humiliation supplémentaire.
Dans son bureau, mon patron ma crucifié:
- Résultat lamentable... Vous mettez en péril mon service.... Vous semblez dans un autre monde.... Lentreprise a besoin de gens qui la défende... Vous devez être un prédateur... Défendre votre territoire... Ne pas se laissait marcher sur les pieds.... Je ne vous reconnais plus... Vos collègues vous trouvent bizarre.... Vous ne défendez pas votre gagne-pain... Vous ne méritez pas votre salaire.... Etc.... Etc....
Au bout dune demi-heure, complètement cassé, je commence mollement à me défendre. A un moment sans même me rendre compte, je m'aperçois que je lui raconte tout ce qui se passe avec ma femme. Je parle vite comme pour me soulager. Je ne sais même pas pourquoi je parle de ma vie privée. Cest plus fort que moi. Les mots sortent contre ma volonté. Besoin irrépressible de raconter ce que je vis. A nimporte qui...
Il m'interrompt brusquement dun ton glacial:
- Vos histoire de cul ne mintéressent pas... Si vous êtes cocu ce nest pas mon problème. Ni celui de la boite. Vos problèmes personnels ne doivent pas interférer avec les nécessités de la réussite de notre entreprise.
Il y avait du dégoût et un grand mépris dans sa voix:
- Vous êtes libre de laisser votre femme se faire sauter par le premier venu. En tout cas nous navons plus besoin de vos services, nous sommes une entreprise honorable et mes collaborateurs doivent lêtre aussi. Passez voir notre responsable des ressources humaines dés que vous aurez vidé votre bureau de vos affaires personnelles. Lentretien est clos... Mais à titre personnel laissez-moi vous dire que si vous en êtes arrivé là, cest uniquement de votre faute.... Je vous souhaite le bonjour....
Le directeur du personnel était très cordial, onctueux. Jai vite compris quil voulait me faire signer une démission. Moins coûteuse et moins risquée pour lentreprise. Je lui ai tenu tête.
- Puisque vous voulez me licencier... Trouvez les fautes... Et faites-le... Je me réserve toutes les voies de recours possibles. Nous verrons bien.
Il ma regardé un moment sans rien dire avant de sourire:
- Vous savez André, vous pouvez rester, nous trouverons vite des fautes. Cest une question de temps. Si je vous propose une démission cest par sympathie. Je vous aime bien.
Devant mon regard dubitatif il a continué toujours aussi charmant.
- Comprenez-moi, cela va être difficile pour vous de vivre au milieu de vos collègues. Tout le monde connaît votre charmante épouse. Une femme admirable..... Alors vous imaginez les quolibets, les moqueries, les sarcasmes, les vexations de toutes sortes que vous aurez à endurer quand ils sauront que vous êtes cocu... Que vous assistez aux ébats de votre compagne avec son amant... Noir de surcroît!... Que vous laissez. avec complaisance... la mère de vos s se faire comment dire euh.... sauter... Cest cela le terme non... par deux jeunes hommes vigoureux dans la force de lâge... devant vous en plus.... Toute lentreprise en fera des gorges chaudes de vos déboires sexuels.... Il vous faudra être stoïque si vous souhaitez rentrer en conflit ouvert avec nous... Je vous dis ceci à titre confidentiel bien entendu.... Suivez la voix de la raison mon jeune ami.... Je suis certain que vous naurez aucun mal à trouver un autre emploi... Je peux vous certifier que si notre séparation se fait dans de bonnes conditions, je ne tarirais pas déloges sur vous si votre futur employeur nous demande notre avis... De plus, jai fait préparer un chèque qui me semble très raisonnable.... Même trop, au vue les dernières informations sur le comportement de Madame votre épouse...
Complètement pulvérisé par sa diatribe, jai signé ma démission la mort dans lâme sous son regard narquois et victorieux. Heureusement, le chèque était intéressant.
oooOOOooo
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