Le Rendez-Vous Du Panard

Depuis que j'écris mes histoires, je reçois des avis de lecteurs. Puis un jour, dans ma boîte mail, je reçois ce message :
- Tu dis toujours que tu ressembles à un éphèbe, que t'as un joli cul, et que tu aimes l'amour sauvage. Alors, j'ai décidé de tout vérifier. Je t'invite à une soirée sadomaso. Si ce que tu écris est vrai, je sais que tu me contacteras. Mon numéro temporaire est le 69 ..... Je suis sûr que tu trouveras l'énigme.
Voilà comment ça va se passer. Tu m'appelles. On convient d'un rendez-vous dans un lieu quelconque, sauf chez toi, ou chez moi. Tu passeras une cagoule opaque, et je t'attacherai les mains dans le dos. Ceci, pour éviter que tu repères l'endroit où on ira, et les lien pour éviter toute agression à mon encontre. Je te ramènerai ensuite au lieu du premier rendez-vous, et tu pourras rentrer chez toi. Ce sera une soirée sadomaso, mais sans douleur. Si tu n'es pas là, 24 heures après ton appel, je ne t'attendrai plus. Ah, pour me reconnaître, j'aurai un lingam autour du cou. Je sais que tu sais ce que c'est !
Trop curieux, et excité, pour renoncer, malgré les risques potentiels, j'ai appelé, puis me suis rendu, à l'endroit convenu. Au téléphone, la voix semblait être intéressée par mon costume de fille, vous savez, celui avec un tutu rouge.
Le lingam était parsemé de pierres rouges, façon rubis. C'en étaient, peut-être. C'était une femme. Nom de dieu, qu'elle était belle. Elle n'attendit pas que je m'asseye. Elle avait reconnu le tutu. Elle vint à ma rencontre, et me prit par la main. J'étais juché sur des escarpins vertigineux.
- Quelle classe ! Dit-elle. Ca va éclairer la soirée !
Nous montâmes dans sa voiture. Elle se tourna vers moi et ajouta :
- Les plaques sont fausses !
- Pourquoi tant de précautions ?
- Il y a des gens très connus qui viennent s'encanailler.

...dit-elle avec un sourire carnassier. Elle sortit une cordelette de son sac à mains, et comme prévu, elle lia mes mains dans mon dos. Elle me passa la cagoule sur la tête, et ce fut la dernière fois que j'entendis sa voix.
Au bout d'un assez long temps de trajet, on s'arrêta et ma portière s'ouvrit. Une main délicate, saisit la mienne et m'invita à descendre du véhicule. On me fit entrer dans une pièce, et j'entendis la porte se refermer, avec le bruit d'une d'une serrure de sécurité. On me retira la cagoule, et pourtant je ne voyais rien.
On me dirigea vers un endroit où je semblait être seul. On me délia les mains. D'autres mains agrippèrent ma chemisette blanche, et la firent passer par dessus ma tête, me faisant lever les bras en l'air. D'autres mains en profitèrent pour dégrafer le tutu rouge. De grosses paluches me forcèrent à m'asseoir sur une sorte de tabouret de bar. On me retira mes bas de soie blancs. On me remit debout, et j'attendis. J'entendais des murmures feutrés. On me fit faire un tour complet sur moi-même, très lentement. Des mains grosses mains caressèrent mes fesses. D'abord tendrement, puis, plus fermement,et enfin, d'une façon un peu plus brutale.

Puis, les grosses mains se glissèrent dans ma culotte et me l'arrachèrent. Là j'ai entendu un grand : Ahhh !
Les lumières s'allumèrent. Quelques dizaines de personnes, portant des lunettes à vision nocturne, étaient assises sur une sorte de tribune circulaire. Devant moi, un homme noir, énorme, vêtu d'un slip rouge en cuir, les bras croisés sur son torse, me regardait, semblant attendre un signal. Le colosse s'approcha de moi. Oh ! Il devait bien mesurer plus de deux mètres. Imaginez mon mètre 55... J'ai touché les muscles de ses avant-bras, de l'acier.
Soudain, j'ai entendu un claquement de doigts. Le tout plein de muscles, saisit ma culotte blanche, et l'arracha. J'ai entendu un grand Aaahhhh !!! et, quand on me retourna, un grand Ohhh ! en voyant ma pine.
Un autre noir, tout aussi musclé, presque la copie du premier, s'avança. A la place du slip de cuir, il portait une sorte de jupette, façon pagne, couleur marron. Il monta sur petite estrade carrée. Au sommet, une toile blanche recouvrait le sol. Trois marches en faisaient le tour, façon pyramide aztèque. Le géant noir monta les marches, ôta son pagne et fit un tour sur lui-même. Il était nu. Son sexe volumineux était dressé vers le ciel. Sa taille était plus que respectueuse. Il s'assit en tailleur. Mon rendez-vous, fit son apparition. Elle était vêtue d'une guêpière échancrée, qui montrait ses fesses magnifiques. Elle me prit par la main et me conduisit au bas de l'escalier. Elle me glissa dans l'oreille :
- Faites semblant de refuser de monter !
Je retirai ma main de la sienne. Elle claqua des doigts. Un deuxième noir en slip rouge, fit irruption, un fouet à la main. Il m'en asséna un coup sur mon cul nu. Je me suis raidi à la réception des lanières. Sauf que, j'ai failli éclater de rire, elles étaient en coton. J'ai fait un pas en avant, stoppant ma progression. J'avais compris le jeu. Un autre coup, et je repris l'ascension. La maîtresse reprit ma main et me conduisit à l'homme noir au sexe triomphant. Je lui fis face, de manière à ce que tout le monde puisse voir que le sexe herculéen allait s'enfoncer dans mon petit cul. La présentatrice me fit enjamber les cuisses du géant, et me mit en position au-dessus du monstre. Elle s'empara d'un flacon de vaseline, et en enduisit le sexe reptilien. Elle m'écarta les fesses et saisit le membre dans sa menotte délicate. Son autre main, vint se poser sur mon épaule, m'invitant à m'asseoir sur la pine monstrueuse. Le gland se posa sur ma petite rondelle, et je me laissai tomber lentement.
La grosse queue s'enfonçai centimètre par centimètre, dans mon cul. De grosses larmes coulaient sur mes joues. Je suis sûr, que l'assistance pensait que je souffrais. En réalité, c'étaient de larmes de gratitude, rapport au plaisir que j'étais en train de prendre. Le sexe entra tout entier dans mon cul. A un moment, un spectateur s'aperçut que je bandais. La rumeur se répandit, et l'assistance fit appel au bourreau. Il réapparu avec son fouet. Je souris, mais juste une seconde. Quand le fouet s'abattit, je poussai un hurlement. Le fouet était devenu réel. Une zébrure apparut sur mes fesses. Le deuxième coup siffla. Je me tortillais de douleur, quand tout à coup, je sentis une vague de plaisir m'envahir. L'énorme braquemart, fiché dans mon cul, remuait, faisant monter des ondes de désir. Plus le fouet lardait mes fesses, plus ma queue grandissait. Mon tortionnaire, me fouetta jusqu'à je crache un mega-flot de sperme. J'ai alors perdu connaissance, et je me suis réveillé vers 19 h. La maîtresse me tenait la main.
- Ca va mieux ? demanda-t-elle.
C'est déjà fini ? Quel panard !

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