Rendez-Vous Au Parc !

Vivement 19 heures, c'est la phrase que je ne cessais de me répéter dans ma tête depuis ce matin. En effet j'avais ce soir là rendez-vous avec une jeune fille fort jolie, de 20 ans à peine que j’avais eu la chance de rencontrer quelques semaines plus tôt et qui depuis envahissait au fil des jours de plus en plus mon esprit.

Une rencontre que j’ai tout de même pas mal du provoquer. Après l’avoir croisé du regard dans une boîte de nuit lors d’une soirée étudiante ou j’étais venu rejoindre un ami, il m’avait fallu pas mal de courage pour lui écrire un message lui avouant que j’aimerais faire sa connaissance autour d’un verre. A mon plus grand bonheur, elle avait répondu positivement à ma proposition. Pour une fois je n’avais pas écrit beaucoup de messages, pour laisser toute la place à la découverte lors de notre première rencontre. C’est dans une ambiance très sympathique que j’ai passé mes premiers instants à ses côtés dans un bar cosy du centre ville. A l’issue de cette soirée j’avais bien entendu envie de la revoir au plus vite. Tout en la remerciant pour cette agréable moment, je lui proposa d’aller dîner la semaine suivante, chose qu’elle accepta une nouvelle fois. Le dîner se passa bien, une occasion d’en apprendre encore plus sur sa vie, ses occupations. En sortant je n’avais pas envie de m’arrêter là, j’avais envie de plus et pourquoi pas de l’embrasser là devant le restaurant. Je lui proposa un dernier verre à mon appartement, histoire de boire une bonne vodka glacée. Elle du décliner non sans regrets, car elle commençait tôt le lendemain matin. Dans le taxi qui me raccompagnait chez moi, j’avais des regrets mais pas tant que ça… j’étais déjà excité à l’idée de la revoir prochainement. Dans les jours suivants, je l’invita à un apéritif autour d’une bonne bouteille de vin, à dîner une nouvelle fois non loin de mon appartement puis décida de la retrouver à l’une des soirées de son école. Ce soir là j’avais la pression car je la savais au beau milieu de ses amis, et de son ex… Je réalisa un passage de courte durée, mais pourtant si intense.

Quand elle me m’aperçu à l’intérieur de la boîte, elle cessa de fumer sa cigarette pour me rejoindre. Dans cette ambiance festive, nous avons pris quelques verres, sous le regard de son ex petit ami qui n’en perdait pas une miette. Au moment de partir, nos regards se sont croisés, nos bouches se sont reprochés et nous nous sommes longuement embrassés. J’ai immédiatement eu une importante érection, j’avais très chaud. Le temps s’arrêta un instant puis je quitta brusquement les lieux en emportant avec moi le goût de ses lèvres. C’est au petit matin que je l’invita la semaine suivante à dîner chez moi, en pimentant cela d’une séance de running en amont afin de profiter de ce superbe parc qui nous entoure et de décompresser de nos longues journées de travail.

Vivement 19 heures, c'est la phrase que je ne cessais de me répéter dans ma tête depuis ce matin. A force d’être en boucle l’heure tournait. La nuit commençait à tomber sur la ville, j’avais décidé de rentrer à pied du travail pour profiter du couché de soleil. Je trouvais cette ville si agréable que je préférais souvent éviter les transports en commun. Elle m’attendais devant mon immeuble, déjà en tenue j’avais donc du retard. Comme elle était au téléphone, je ne voulais pas la déranger à la faire monter les étages, je déposa moi même son sac chez moi. Fin prêt quelques secondes plus tard, je descendis à sa rencontre.

Ses cheveux était attaché en arrière, elle avait peu de maquillage mais était toujours aussi belle. Sa tenue était classe et vraiment sexy, elle permettait de bien mettre son corps en évidence. Je l’embrassa succinctement, c’était le top départ de la soirée. Après une grosse demi-heure de footing, une petite séance d’étirements dans l’herbe fraîche avant de rentrer se mettre au chaud. Nous étions tous les deux contents d’avoir pu se dépenser avant de céder aux excès d’un bon repas. A la lumière de l’ascenseur je pouvais voir ses pommettes rouges vifs, vestige de l’effort et du froid ambiant.
Elle dégageait toujours une odeur qui m’attirait vers elle, un mélange entre son odeur corporelle et son parfum qui n’avait pas totalement disparu.

Pendant que je préparais l’apéritif et le repas, elle alla se doucher. La porte de ma salle de bain ferme mal, et avec les courants d’airs il arrive qu’elle s’ouvre en partie. C’était justement le cas à ce moment précis, et lorsque je passa devant la porte j’aperçu sa silhouette nu derrière le rideau de douche. Rien que cette image m’excita immédiatement, les pulsations de mon coeur s’accéléraient. Voulant me laisser la place, elle décida d’aller se sécher les cheveux dans le salon et quitta la salle de bain une serviette de toilette autour du corps. A mon retour dans la cuisine, je découvre avec stupéfaction la superbe robe qu’elle a enfilé. Très élégante, comme une petite fille modèle de la tête aux pieds.

La première bouteille de vin ne résista pas longtemps, nos conversations étaient intéressantes je ne voulais d’ailleurs pas qu’elles s’arrêtent. Pour une fois que j’appréciais à ce point la compagnie de quelqu’un. Cette fille était belle mais aussi intelligente et cultivé. Elle aimait les défis tout comme moi, était taquine et joueuse. Je l’embrassa à plusieurs reprises, de plus en plus longtemps, passant ma main dans ses cheveux et elle autour de mon cou. L’heure avançait à une vitesse folle et elle décida subitement de commander un taxi. Je n’ai pas eu le temps de lui proposer de rester et je commençais à sérieusement m’en vouloir. En parfait gentlemen je l’accompagna en bas de l’immeuble et une fois l’ascenseur au rez-de-chaussée son taxi annula la course pour une raison inconnue.

C’est alors que je pris ma chance. En la plaquant contre le mur je l’embrassa fougueusement, et par la même occasion appuyait sur le bouton pour ouvrir les portes de l’ascenseur. Elle n’a même pas levé la tête, continuant à s’occuper de mes lèvres. Je senti alors monter les étages (et pas que)… jusqu’à atteindre le bon.
Dans un mouvement réflexe j’ai pu sortir la clef de ma poche pour ouvrir la porte, que je claqua fortement derrière moi sans me soucier de l’heure tardive. Sans même allumer la lumière, elle me poussa sur le canapé, je sentais alors que les simples baisers n’allaient plus être suffisant longtemps. Elle pris position sur moi, en me retira fougueusement mon tee-shirt, elle n’arrêtait pas de passer sa main dans ses cheveux, et nous alternions les moments d’embrassades et de câlins tendres. La montée de mon excitation était fulgurante, et grâce à son choix de position elle n’était pas en retard pour le savoir. Je lui ôta à son tour les bretelles de sa robe pour avoir une meilleure vu sur sa poitrine que je m’empressa d’embrasser et de caresser. Je l’a senti glisser lentement les genoux au sol, jusqu’à ne plus pourvoir attr que ces longs cheveux blonds. Elle fît sauter la pression de ma ceinture, puis déboutonna mon jean avec ses petits doigts agiles. A ce moment là pour lui venir en aide, je me suis légèrement soulevé pour lui permettre de me mettre à l’aise. Elle m’embrassa à nouveau tout en jetant sur le sol mon jean et la ceinture encore accroché. C’est alors que j’ai pu sentir ses lèvres et sa langue descendre le long de mon corps et sa main pénétrer à l’intérieur de mon caleçon. Elle saisi mon sexe bien dure qui ne demandait qu’a être libéré et commença a le branler. Elle accéléra sa cadence, cela devenait vraiment très agréable, encore davantage quand les premiers coups de langues ont fait leur apparition le long de mon sexe, puis sur mon gland. Elle pris soin à bien humidifier l’ensemble du membre avec sa salive, sans oublier en bonus de venir s’étaler sur mes deux bourses. Alternant les mouvements de bras et de langue j’étais au paroxysme des préliminaires lorsqu’elle avala une grande partie de mon sexe et que je le senti toucher le fond de sa chaude gorge. Je la vis faire le chemin inverse pour revenir à ma bouche et de nouveau faire s’entremêler nos lèvres et nos langues respectives.
Il n’aurait pas fallu énormément plus de temps pour qu’elle parvienne à me faire jouir, mes mains étaient déjà alternativement en train de lui tirer les cheveux, et de griffer le canapé. A moi désormais de mettre en haleine cette demoiselle, je profita d’un passage par la position debout pour me débarrasser de sa robe. Nous nous somme dirigés vers le lit, elle s’allongea, je fis de même dans la seconde d’après. Son string en dentelle était bien trop humide pour qu’elle puisse le conserver davantage, pendant que j’ai positionné ces jambes en hauteur pour le lui retirer, elle se libéra de son soutien-gorge. A ce moment là, nous étions à égalité… enfin pas exactement. J’avais eu le droit à des faveurs, et il était temps de rendre la politesse. Afin de prendre la température je caressa sa petite chatte parfaitement bien rasé de haut en bas, m’arrêtant sur son clitoris gonflé à bloc. J’introduis un doigt, puis rapidement deux afin de débuter de lents va et vient. Elle semblait apprécier mais montrait quelques signes d’impatience, je compris qu’elle souhaitais que je lui un bon cunni… sans plus attendre je commença donc à manger sa chatte. Mes coups de langue étaient précis car j’aime particulièrement cette partie de l’acte, mon objectif lui donner énormément de plaisir, sentir ses ongles aux travers de mes cheveux toucher, puis s’agripper à mon crâne. J’en voulais plus, encore plus… j’eu alors l’idée de réaliser une position 69, j’ai alors fais un demi-tour sur moi-même pour venir lui présenter mon membre. Nous reprenions cette fois-ci en même temps nos occupations précédentes pour mon plus grand bonheur. Elle mouillait encore plus je crois et cela me rendait plus excité, c’est alors que j’abandonne sa chatte et son clitoris pour saisir une capote. J’avais l’emballage et était prêt à la mettre en place, mais elle était toujours en train de me sucer avec application. Elle me regarda et me dis… je n’aime pas ça. Contre son avis je plaça le préservatif sur mon sexe en érection, de son côté elle s’allongea en me tournant le dos, elle savait que j’allais venir la rejoindre très vite. Je m’approcha en lui embrassant le coup puis m’arrangea pour venir frotter mon sexe non loin de son entre jambes. Sa main gauche guida alors mon sexe à l’entrée du sien… elle me dit à ce moment là de ne plus attendre et d’y aller. Je ne me fais alors pas prier, je rentre délicatement mon gland entre ses lèvres humides et la pénètre entièrement. Elle bloque sa respiration puis lâche un grand soupir de soulagement et de plaisir. A ce moment là je me sens vraiment bien, j’enchaîne délicatement les allers-retours dans cette position plutôt romantique qui me permet de l’embrasser et de lui caresser la poitrine. Je décide ensuite de me mettre sur elle, et de placer ces jambes sur mes épaules. Cette position permet de donner plus de profondeur à la pénétration et donc plus de plaisir… je sais en plus ou aller pour faire frémisse de plaisir ma partenaire. Elle apprécie réellement et cela donne des petits gémissements répétés. J’accélère pour entendre plus nettement ces cris qu’elle semble vouloir retenir le plus possible, puis accélère encore et encore pour lui faire sentir des sensations plus intenses. Une fois le calme revenu, elle me poussa sur le dos comme pour prendre l’avantage à son tour. Je ne me trompais pas, elle voulait dominer désormais en prenant les choses en main, avec une (et même deux) surprises à la clef. La première c’était le retour de mon sexe dans sa bouche, et les coups de langue pour l’entourer. Hum que c’était mon de la voir me sucer pendant l’acte en ayant ôter le préservatif… La deuxième surprise c’est qu’elle venu s’empaler sur mon sexe, sans remettre de préservatif et cela je dois avouer que le l’attendais… C’était désormais réel, je n’y croyais cependant pas… j’étais en train de lui faire l’amour sans capote et c’était tellement jouisif. J’adorais sa manière de venir s’assoir sur mon sexe, puis de se relever, elle n’allait pas vite et je crois que j’aimais encore plus car je ressentais la sensation de descente de son corps durer une éternité. Je lui demanda de venir m’embrasser et en profita pour la coincer fort contre moi, l’entourant de mes deux bras. Je changea le rythme pour lui administrer une séquence très rapide, que je compare souvent à un marteau piqueur. Et là cela n’a pas raté elle a jouit une première fois serré dans mes bras, et je n’en étais pas loin non plus. C’était le moment de prendre quelques secondes de repos et un fond de verre de vin qui était posé sur la table basse. Je n’avais pas encore eu mon orgasme mais j’avais une petite idée de la position pour y parvenir… la levrette. Elle se mis à quatre patte, les yeux vers la ville illuminée… je me plaça derrière comme le veux la tradition pour la pénétrer de nouveau. Je sentais que j’allais venir mais j’avais encore la capacité de tenir un petit peu… elle en revanche non ! Elle jouit une seconde fois, sans oublier de gratifier mon sexe de petit ruisseau de mouille supplémantaire. Je me retira pour ne pas jouir en elle, j’avais pour idée de plutôt terminer sur son corps. Elle ne me laissa pas le choix ! Elle introduis mon sexe une nouvelle fois dans sa bouche bien déterminer à se charger de la fin des opérations. Je ne pouvais plus, impossible de me retenir plus longtemps, elle pris en main mon sexe pour le branler le plus fort possible jusqu’à voir apparaître plusieurs grosses giclées de sperme.

Nous sommes retournés sous la douche, pour nous rafraîchir après cette nouvelle séance sportive. Puis elle quitta l’appartement bien décidé à finir la nuit chez elle histoire de ne pas être perdu le lendemain matin pour son réveil matinal. Malheureusement je n’ai jamais couché à nouveau avec elle, elle m’a expliqué que c’était compliqué avec son ex petit ami, et qu’elle n’était pas prête pour une nouvelle aventure sérieuse. Comme elle ne voulait pas non plus procéder par plan cul, elle préférait ne pas me donner de faux espoir. Mais n’étais-ce pas déjà trop tard ?







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