Sev, Aide-Soignante 1

J’ai longtemps hésité avant de vous raconter cette histoire vieille de plusieurs années. Je me disais : une baise entre un malade et une infirmière, ça fait vieux fantasme bateau qui n’intéressera personne. Mais maintenant, presque 10 ans après je me suis dit que ce n’était pas un rêve mais une histoire vraie et l’infirmière en fait une aide-soignante était avant tout une jeune femme que je connais depuis longtemps : Séverine.
J’ai dû subir une petite intervention chirurgicale bénigne, mais mal placée qui a nécessité que mon pubis et mon sexe soit totalement rasé. Ce travail incombe généralement aux aides-soignantes et ce jour-là c’était Séverine qui était de service. Elle était aussi gênée que moi mais elle s’est mise à la tâche. J’ai du ôter mon caleçon devant elle et lui montrer mes attributs. Séverine, jeune femme alors âgée de 25 ans tout juste mariée était rouge comme une pivoine.
- Je suis mal à l’aise là Alian, tu m’as connu toute gamine et maintenant je vais devoir toucher ta verge et tes testicules…
- Ce qui te gêne ma belle c’est d’être en état de supériorité sur moi. Alors on fait un échange : tu tripotes ma bite et tu me montres ton minou !
- Alian ! ça va pas non ! raser des verges, j’en fais toutes les semaines !
- Oui mais pas celle d’un vieil ami qui a 25 ans de plus que toi ! Allez tu peux bien me montrer ta petite chatte.
- Et si quelqu’un entrait ?
Je constatais que ce qui embêtait Séverine ce n’était pas de mon montrer sa chatte, mais plutôt qu’elle se fasse surprendre !
- Tu as mis la lumière rouge, personne ne va venir.
- C’est vrai, mais quand même…
- Ben quoi, tu as quoi sous ta blouse ? juste une petite culotte ?
- Et un soutien-gorge aussi.
- C’est simple, tu baisses ton slip et tu déboutonnes le bas de ta blouse, juste assez pour que je vois ta minette.
- Vieux cochon ! Bon d’accord, mais tu mates juste hein ?
- Oui oui…
Et Séverine a défait les 2 derniers boutons de sa blouse puis a baissé sa petite culotte blanche découvrant ainsi son pubis aux poils bruns bien taillés en triangle.

Je bandais comme un cerf et j’ai attiré ma belle aide-soignante vers moi.
- Viens plus près que je te vois bien et écartes les cuisses. Tu vois ma queue, tu dois me montrer ta fente.
Séverine s’est approchée du lit et a écarté un peu les jambes. J’ai vivement passé une main entre ses cuisses et caressé sa vulve.
- Tu m’avais dit juste regarder ! enlève tes pattes de là !
- Dis-donc toi tu me tiens la bite, je te caresse la chatte, c’est normal !
- Tu avais promis….
- Fais pas ta mijaurée… tu aimes bien ça je suis sûr…
- Oui c’est vrai, mais c’est réservé à mon mari…
- Bah il n’en saura rien… Hummm, elle est toute douce ta minette…
- Arrêtes, Ooooh ! Ouiii
- Mais tu mouilles déjà ma belle !
- Ben oui, tu caresses drôlement bien.
- Enlèves complètement ta culotte et écartes les cuisses encore plus, je vais te doigter la chatte.
Séverine a ôté sa culotte qu’elle a mise dans une poche de sa blouse et a écarté largement les jambes. J’ai introduit un doigt dans sa petite chatte, puis un deuxième. Séverine gémissait doucement. Sa vulve était trempée et mes doigts allaient et venaient dans son con sans difficulté.
- Arrête maintenant s’il te plait, je vais jouir et il faut que je te rase…
- Vas-y mon cœur, occupes-toi de ma bite.
Séverine a commencé son rasage tandis que je lui pétrissais son petit cul. Elle avait des petites fesses bien fermes et au milieu de la raie j’ai trouvé son anus que j’ai voulu masser.
- Non pas ça Alian, je vais perdre mes moyens et je risque de te couper !
- D’accord, j’arrête là pour l’instant… Tu es de service ce soir ? Tu reviendras me voir ?
- Oui, promis je finirai ma tournée du soir par ta chambre et je resterai un moment avec toi…
- A tout à l’heure ma beauté….
Je ne croyais pas vraiment que Séverine reviendrait, mais qu’importe, j’avais déjà bien profité de sa petite chatte…
Bonne surprise, vers 22 heures, la porte de ma chambre s’ouvre.
Séverine est là, beau sourire aux lèvres, son string à la main.
- Voilà, j’ai bordé tous mes malades, je suis tranquille… et disponible !
J’étais allongé sur mon plumard, la bite à l’air. Séverine s’est approchée de moi, s’est penchée au-dessus du lit et m’a roulé un patin. Si elle jouait aux saintes nitouches tout à l’heure, elle cachait bien son jeu, car c’est une femelle au tempérament de feu que j’avais maintenant près de moi.
Pendant que nos langues se livraient une bataille farouche, j’ai commencé à défaire un à un les boutons de sa blouse puis j’ai passé mes mains dans son dos pour dégrafer le petit soutif pigeonnant. J’ai délivré les nibards de ma belle aide-soignante de leur carcan et je les ai pris à pleines mains. Séverine avait une magnifique poitrine : deux beaux seins en forme de poires, bien fermes probablement des bonnets C ou D, terminés par d’arrogants tétons que je roulais entre mes doigts. J’ai mis fin au langoureux baiser qui nous unissait et j’ai pris les nichons en bouche. Ma langue allait d’un mamelon à l’autre, léchait les larges aréoles marron. Séverine n’était pas restée inactive et elle me paluchait le dard vigoureusement.
- Hummm, c’est booonnn, Franck (son mec) ne s’en occupe pas aussi bien que toi !
Encouragé par ces propos, je lui pétrissais, malaxais les mamelles, je les tétais comme l’aurait fait un nouveau-né.
- Oh Alian, tu me rends folle, je ne sais plus ce que je fais. J’ai envie de toi. Baise-moi !
- Tes désirs sont des ordres ma belle, mais d’abord je vais bouffer ta chatte, viens sur moi.
Séverine ne s’est pas faite priée plus longtemps et elle est monté sur le lit une jambe de chaque côté de ma tête et a posé sa moule sur la bouche. Je n’avais jamais imaginé en rentrant à la clinique que je sucerais la cramouille de Séverine !
J’ai écarté les lèvres et introduis ma langue dans le vagin tout rose de ma petite salope. Séverine mouillait abondamment et quand j’ai titillé son petit clito, elle a lâché un flot de cyprine.

- Salaud, tu arrives à me faire jouir sans même me baiser. J’en peux plus là, vite défonce-moi le con.
- Oui je vais te niquer ma belle. Viens t’empaler sur mon gourdin.
Sévérine est venue se placer au-dessus de ma trique et lentement elle s’est laissée descendre. Je la tenais par les hanches et rapidement ma queue a été engloutie dans sa fente béante et humide. Ma belle aide-soignante a commencé de lents mouvements de va et vient que j’amplifiais en soulevant mon bassin. La vision des nibards de Séverine qui tressautaient à chaque mouvement me faisait bander encore un peu plus. Je les ai pris dans mes mains, rapprochant les tétons que j’ai pris en bouche. Sucer les 2 mamelons en même temps, labourer sa chatte eut vite raison de ma résistance et rapidement je lâchais ma sauce au fond de sa matrice tandis qu’elle était prise d’un violent orgasme.
Vaincue, Séverine s’est allongée sur moi, sa langue venant chercher la mienne. Je débandais lentement et ma queue est sortie de sa fente gluante.
- Hummm, merci Alian, il y longtemps que Franck m’a fait jouir comme ça. Mais faut que j’y aille maintenant. Je prends une petite douche vite fait avant.
A mon grand regret, ma jeune maîtresse s’est dirigée vers le cabinet de toilette, sans fermer la porte. Ça m’a donné l’envie de la voir encore une fois nue et j’ai pris mon smartphone pour la filmer.
- Non, ne fait pas le salaud, balance pas ça sur le net !
- N’aie pas peur ma chérie, c’est juste pour moi, pour penser à toi quand tu ne seras pas service.
Puis Séverine a remis son soutif et sa blouse. J’ai gardé son string.
- Rends le moi ! les autres vont voir mon cul si je dois aller dans leur piaule !
- Ben quoi, ils ont bien le droit à un petit plaisir aussi, je suis partageur moi !
- Salaud !
- Je te le rendrais à la fin de ta garde, quand tu viendras me sucer avant de partir !
Mes aventures avec la belle Séverine ne s’arrêtent pas là, et ce sera un 2ème épisode de mon récit.

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