Sev, Aide-Soignante 2

Après cette bonne baise avec ma jolie aide-soignante, j’ai dormi comme une souche. Il faut dire qu’elle avait épuisé la jeunette !
6H30, le lendemain matin, la porte de ma chambre en s’ouvrant me réveille. C’est Séverine. Elle n’a plus la tenue de la clinique, mais est vêtue d’un polo sous lequel on devine son petit soutien-gorge et une jupette plutôt courte.
- Bonjour Alian, bien dormi ?
- Super j’ai rêvé de toi et de ton magnifique corps…
- Hummm, tu me rends ma culotte parce là je suis cul nue !
- Fais voir ?
Séverine ne se fait pas prier et retrousse sa jupe me dévoilant son splendide barbu qu’elle m’a offert hier soir.
- Pour récupérer ton string, il faut dire bonjour à popaul d’abord…
- Vieux vicieux ! Bon tu as de la chance que j’aime ça.
Elle s’approche du lit, vire le drap et fait glisser mon caleçon jusqu’au chevilles puis commence à m’astiquer la queue. Inutile de vous dire que je bande très vite comme un cerf. Séverine se penche sur mon dard et le prend en bouche. D’abord le gland qu’elle excite de la pointe de sa langue, puis la moitié de la hampe. J’appuie alors sur sa nuque pour qu’elle me prenne toute la queue dans sa bouche. Séverine a compris ce que je voulais et elle me fait une somptueuse gorge profonde. Je sens ses lèvres sur mon pubis. Elle reste ainsi quelques instants et c’est seulement quand elle suffoque qu’elle se retire. Sans rien lui demander, elle recommence, me prend à nouveau entièrement en bouche. Elle recommence 2 ou 3 fois. Ce que devait arriver arriva, je n’ai pas pu retenir ma jouissance et j’ai largué toute ma purée dans sa bouche. Loin d’être dégoutée, à ma grande surprise, elle a tout avalé. Jusqu’à la dernière goutte.
- Je n’avais pas pris mon petit dej… Je me suis régalée… Allez, donne-moi mon slip maintenant, il faut que j’y aille…
- attends, je vais te le mettre moi-même.
Je suis descendu de mon lit, et j’ai enfilé la culotte sur les magnifiques jambes de ma maîtresse qui avait relevé sa jupe.

Au passage je n’ai pas oublié de lui faire un petit cuni qu’elle a fort apprécié.
- A ce soir mon petit cœur ?
- Bien sûr, je viendrais réconforter mon malade. File sous la douche maintenant, l’intervention est prévue pour 8 heures…
Après un langoureux baiser à pleine bouche, elle est partie.
L’opération s’est bien déroulée, juste une anesthésie locale, donc dans la matinée j’étais déjà en bonne forme. Une jeune aide-soignante est venue me refaire le pansement vers midi. Je ne la connaissais pas aussi je suis resté très sage… Dommage car elle était toute mignonne. 19 ou 20 ans maxi, blondinette avec de belles taches de rousseur sur la figure. Des formes là où il faut. Bon je m’emballe là. Après le repas, la journée a été longue à tirer jusqu’au soir et le retour de Séverine…
20 heures, Séverine arrive enfin. Elle vient juste m’embrasser (hummm décidément j’adore sa bouche et sa langue fourrée, un délice…).
- Je reviens te voir vers 22 heures, à moins que tu veuilles dormir !
- Tu plaisantes ? Tu vas voir ce que tu vas prendre. Je vais t’éclater la chatte.
Heures bien longues à passer, mais voilà Sév qui rentre… accompagnée de la miss de ce matin !
- Coucou mon amour, tu connais déjà Léa.
- Oui, mais je ne savais pas son prénom…
- T’inquiète pas, elle sait qu’on baise tous les deux.
Léa est sortie, me laissant seul avec ma maîtresse. Sitôt seuls, elle a vite déboutonné entièrement sa blouse (tiens elle était nue dessous !) m’offrant la vue de ses splendides nibards et sa touffe brune. Elle est venue me rejoindre sur le plumard.
- Fais-moi un peu de place, j’ai envie que tu me prennes en missionnaire ce soir.
Elle s’est allongée sur le lit, à ma place et je suis venu sur elle. J’ai longuement tété ses seins, ces deux obus fièrement dressés, j’ai gobé les tétons érigés, tandis que ma queue labourait son bas-ventre. Puis je suis descendu, léchant le nombril au passage, m’égarant dans le gazon bien taillé, puis enfin j’ai atteint la cramouille de madame.
J’ai vite inséré ma langue dans la belle fente étroite mais tellement accueillante qui s’est largement ouverte me laissant admiré les petites lèvres roses finement ciselées. Je n’ai pas mis longtemps a déniché le petit clito, bien caché dans les replis du capuchon. Quelques coups de langue, un savant doigtage et il est vite devenu de la taille d’une petite bite.
Séverine mouillait beaucoup et mon braquemard s’est aisément introduit dans son con, surtout que le compas qu’elle avait ouvert me facilitait la tâche. Je l’ai violemment pilonnée, alternant les va et vient lents ou rapides et profonds.
- Oui, encore, c’est booonnn ! Prends-moi bien à fonds !
J’ai alors fait poser ses jambes sur mes épaules et mon pieu l’a pénétré encore un peu plus.
- Ouiiiii, comme ça. Vas-y, défonces-moi la chatte… Ahhhh chéri c’est trop bon !
Elle a eu un violent orgasme. Presque simultanément j’ai joui moi aussi, remplissant sa cramouille de mon foutre épais et chaud.
Séverine est restée comme ça, les bras en croix, complétement vidée pendant plusieurs minutes avant de reprendre ses sens.
- Et ben ! Qu’est-ce que tu m’as mis ! Y a pas à dire, tu baises mieux que Franck ! Je reviendrais !
- Quand tu veux ma beauté, j’aurais toujours un peu de foutre pour toi.
- A tout à l’heure alors. Là il faut que j’aille surveiller Léa, elle finit à minuit

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