Sev, Aide-Soignante 3 Et Fin

J’ai sommeillé une demi-heure, et Sév m’a sorti de mes rêves en rentrant dans la chambre, avec Léa.
- Ca va mon cœur ? Léa veut te souhaiter une bonne nuit avant de partir…
- C’est gentil ça Léa. Tu viens me faire un bisou ? (tiens voilà que je la tutoie).
Léa s’est approché de moi et m’a embrassé sur la joue. Je ne lui ai pas laissé le temps de réagir et j’ai lui ai peloté le cul.
- Mais c’est bien ferme tout ça.
Léa ne s’est pas débattue et n’a rien dit quand je l’ai attirée contre moi et elle m’a laissé faire quand ma bouche a cherché la sienne. Elle embrassait bien la gamine et pas farouche avec ça. Quand j’ai passé mes doigts sous l’élastique de la culotte, elle a retroussé sa blouse pour ma faciliter le travail. Je caressais ses petites fesses bien fermes, bien rondes, bien potelées et j’ai même pu risquer un doigt sur l’anus. Séverine pendant ce temps se masturbait énergiquement la chatte avant de venir me pomper le dard.
J’ai été surpris, mais ravi quand Léa a fait d’elle-même glisser son slip sur ses cuisses me dévoilant une superbe moule entièrement rasée. Je me suis empressé de venir la fouiller mais après quelques minutes elle m’a dit qu’il fallait qu’elle rentre chez elle, son copain l’attendait dehors.
J’étais excité et très énervé de ne pas avoir pu la sauter mais Séverine était là pour me consoler.
- T’en fais pas, elle revient demain alors que moi je serais de repos. Tu l’auras tout à toi. Enfin, peut-être car méfie-toi, elle a la réputation d’être une allumeuse, elle te chauffe et après c’est non. Maintenant, à nous deux !
J’ai fait glisser la blouse déjà largement ouverte de Sév et je suis descendu de mon lit pour la prendre dans mes bras. Nos corps nus serrés l’un contre l’autre, ma bite labourait son pubis et nos bouches se sont soudées, nos langues s’enroulaient, nos salives mélangées.
- Fais-moi l’amour Alian, prend-moi maintenant.
- Oui mon cœur, je vais te pénétrer, mais par derrière.

Appuie-toi sur le bord du lit et écarte bien tes jambes… Oui comme ça. Tu es belle mon cœur, tu as un cul magnifique.
Effectivement, il n’y avait rien à jeter chez cette nana : des roberts splendides, une chatte accueillante, et un petit cul rebondi comme je les aime. D’ailleurs, j’ai commencé à les embrasser tout en les pelotant. Je les ai écartées dévoilant son anus que j’ai agacé de la pointe de ma langue. Mais c’est sa chatte que j’ai planté mon dard.
- Ouiii, enfin ! C’est bon mon chéri, baise-moi fort !
Dans cette position, il m’était facile de la pilonner par des coups de bite de plus en plus forts, de plus en plus rapide. Pendant que je lui ravageais le con, je lui pétrissais les nibards, étirant même les tétons à lui faire mal. Séverine a eu 2 orgasmes successifs mais je retardais le moment d’éjaculer autant que je le pouvais. Je me suis retiré de son vagin dégoulinant de mouille et j’ai frotté ma queue contre la raie du cul puis contre son sphincter.
- Ah oui Alian, encule-moi, Franck ne veut jamais le faire, il trouve ça dégoutant.
- Tu veux que je te sodomise ? mais tes désirs sont des ordres ma belle. Accroche-toi je vais t’emmener au 7ième ciel !
- Moins de paroles, des actes !
Elle voulait des actes, elle allait en avoir. J’ai appuyé mon gland turgescent contre son fion et d’une violente poussée, il l’a pénétré. Le fourreau de Sév était très étroit, preuve que Franck ne l’avais pas souvent limé, mais 2 ou 3 coup de boutoirs supplémentaires et mon pieu était en entier dans son fion.
- Ouiii, j’aime ça. Encore défonce-moi encore le cul.
Après plusieurs mouvements de va et vient dans son cul, le passage était fait et je pouvais la défoncer comme je voulais. Je ressortais totalement de son anus puis d’un coup sec je l’emmanchais à nouveau à fond. Séverine gueulait de plaisir et la cyprine qui s’écoulait de sa chatte était la preuve de sa jouissance. J’ai encore pu tenir 2 ou 3 minutes avant de larguer tout mon foutre au fond de ses entrailles.

- Ouiiiiii ! Ouiiii, vas-y, vide toi les couilles !
Je suis rapidement sorti de son cul et je lui ai présenté la bite à sucer.
- Nettoie-là maintenant.
Sans hésitation, Séverine a pris mon braquemard en bouche et a pompé les dernières gouttes de jute. Pleine d’initiative, elle a léché ma hampe des couilles jusqu’au gland et a gobé une couille, puis l’autre. J’étais aux anges, surtout quand elle a voulu me les bouffer toutes les 2 en même temps. Aucune femme ne me l’avait encore fait. C’était génial. Mes 2 boules dans sa bouche et je rebandais comme un âne. J’ai voulu la baiser à nouveau, mais elle m’en a empêché :
- Non mon amour, j’en ai terriblement envi, mais là tu m’as tuée et il faut que je fasse ma ronde dans les autres chambres. Console-toi, demain tu auras la jeune Léa…
Elle s’est vivement rhabillée, sans prendre de douche et est sortie après un dernier voluptueux baiser.
J’ai eu du mal à trouver le sommeil, mais j’ai fini par sombrer.
Lendemain, 8 heures, c’est Léa qui m’a apporté le petit déj. Un bon baiser bien baveux, une petite séance de caresses bien intimes puis elle est partie, en me disant « à ce soir »…
J’ai attendu avec impatience le soir et Léa est revenue me voir vers 21 heures.
- Regarde, je suis nue sous ma blouse, c’est comme ça que tu veux n’est-ce pas ?
- Bien sûr jeune fille. Approche que je vérifie par moi-même.
Léa s’est approchée de moi et a ouvert sa blouse. Elle avait de mignons petits nibards bien pommelés, plutôt petits, terminés par 2 petites aréoles roses et un mamelon minuscule. Un ventre bien plat, et une petite chatte toute rasée comme j’avais pu le constater la veille.
J’ai pris un téton après l’autre entre mes lèvres, histoire de les faire durcir un peu pendant qu’une main s’était glissée dans l’entre-jambe, fouillant la petite chatte bien serrée.
- C’est tout. Arrête maintenant Alian, j’ai envie mais je ne veux pas tromper mon copain.
- Tu offres ton corps à mes caresses, tu le trompes déjà, alors autant aller jusqu’au bout.

- Non, je ne veux pas… Sois gentil…
- Tu vas le regretter après coup. Allez, je rentre juste le gland dans ta petite fente.
- Non, non… Juste le gland ? C’est sûr ?
- Promis ma beauté
- Bon d’accord, mais c’est moi qui vient sur toi, comme ça je pourrais contrôler...
- Comme tu veux.
Je me suis allongé sur le plumard et Léa est venue à califourchon sur moi. Elle est lentement descendue vers mon gourdin et s’est empalée dessus. Juste le gland comme elle avait dit, mais d’un coup de rein, je suis entré un peu plus.
- Salaud t’avais promis ! mais c’est tellement bon !
Elle s’est alors elle-même empalée à fond sur ma bite et a remué son bassin frénétiquement. J’avais une trique pas possible et je voyais que j’allais bientôt jouir.
Je l’ai retournée et l’ai alors pilonné sauvagement. Léa jouissait doucement ne boudant plus son plaisir et quand j’ai senti la sève monter, je me suis retiré et j’ai éjaculé sur son pubis. Sans que je demande rien, elle est venue me nettoyer la queue.
- Séverine m’avait dit que je ne pourrais pas te résister. Et je ne regrette pas de t’avoir céder.. C’était super. J’ai pris mon pied.
Léa s’est vite rajusté et a quitté la chambre.
Je suis sorti de la clinique le lendemain matin et je n’ai plus revu Léa et plus jamais niqué Séverine…

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