Stewart Et Adélie

C’était la rentrée universitaire. Comme nombre d’étudiants Stewart venait de s’installer dans sa chambre de la Cité Universitaire Europe. Arrivé dans les premiers il avait pût choisir son bâtiment et sa chambre. Il avait pris l’immeuble répondant au nom sentant bon la mer Grèce. Ce qui tombait bien puisque ses premiers cours de première année d’Histoire commençait justement par la Grèce antique. Chaque étage avait un nom, pour la Grèce, c’était Athéna, Posseidon, Zeus, Hera et Héphaïstos. Sa chambre malheureusement ressemblait à toutes les autres, un réduit défraîchit.
Quelques jours plus tard arriva le premier cours après avoir ô joie passé l’obstacle de l’inscription administrative en Histoire. L’amphi était bondé. Heureusement Stewart n’était pas tout seul, son copain Johnny avait choisit la même voie que lui. Le cours commença, comme ce n’était pas ce que Stewart préférait en Histoire il laissa Johnny noter le cours pour jouer à un de ses jeux favoris regarder les jolies filles. Stewart ne savait plus vraiment où donner de la tête devant tant d’Aphrodite. Il s’attendait plus à trouver des filles maigres ou boulottes mal fagoté et se cachant derrière leur lunettes culs de bouteille. Devant toutes ses beautés il ne sût dire laquelle était la plus belle, ni celle qui lui plaisait le plus. Il avait le temps de faire son marché, ce n’était que les premiers cours.
Les semaines passèrent Stewart avait abordé quelques unes de ces délicieuses créatures. Il avait vidé quelques verres et fait grincer son lit quelques fois, pendant que Johnny poursuivait une demoiselle de ses avances.
Un matin Stewart partit pour un énième cours de Grèce antique en songeant qu’il allait devoir refaire son stock de capotes. Devant lui une fille d’un étage supérieur se dirigeait elle aussi vers la fac. Sans s’en rendre compte elle se dirigeait vers le même amphi que lui. Arrivé dans l’amphi sans l’avoir remarqué il s’assit à l’opposé d’elle. Ce soir là Stewart était de corvée de lessive, plus un calbut à se mettre.

Arrivé à la laverie une fille attendait que sa machine se termine. Sa machine terminée elle retira son linge mais un débardeur resta coincé. Accroupie elle se mit à tirer fort dessus et tomba à la renverse. Stewart l’aida à se relever et à remettre son linge qu’elle avait bousculé dans son sac. Après avoir lavé et étendu son linge notre jeune étudiant se dirigea vers la cuisine commune de son étage. Alors qu’il faisait chauffer ses pâtes la jeune fille à la machine à laver entra.
« Désolée mais la cuisine de Zeus est blindée de mangeurs de pizzas.
- Y’as pas de problèmes tu peux manger ici.
- Merci.
- Qu’est-ce que tu nous prépare ?
- Des quenelles de brochet, made in Williams Saurin. Et toi ?
- Pâtes bolo.
- Comment tu t’appelles ?
- Stewart.
- Comme les stewarts ?!
- Ouais. Sauf que ça vient d’un ancien pilote de F1 dont mon père était fan. Jacky Stewart. Heureusement qu’il à choisit son nom et pas son prénom.
- Tu m’étonnes. C’est pas courant. T’es même le premier que je rencontre.
- Et toi ?
- C’est plus simple : Adélie.
- T’es quand même la première que je rencontre. Lol.
- Dis moi t’es pas en L1 d’Histoire.
- Si.
- Ton visage me disait quelque chose. Tu te met où en amphi ?
- En haut à gauche.
- Et moi à droite.
- On doit pas avoir les mêmes TD je t’ais jamais vue dans les miens.
- J’ai pris tous mes TD le matin pour être tranquille et bosser l’après-midi.
- Alors que moi j’ai fait le contraire. Sauf que le matin je bosse pas je dors. Lol. »
Les deux étudiants installèrent leurs tables et se mirent à manger, tout en continuant à discuter de tout et de rien. Stewart appris à Adélie que lui attendait l’époque Moderne avec impatience alors qu’Adélie au contraire adorait la Grèce antique. Stewart ne l’avait jamais remarqué dans l’amphi, elle avait pourtant un joli visage, de jolis yeux doux et de beaux cheveux bruns. Elle était pas sublime comme les autres filles qu’il avait rencontré, elle était normal.
Mais Stewart avait compris pourquoi il avait pas fait attention à elle. Adélie sans être obèse avait pas la taille mannequin. C’était pas son type de fille, mais il devait avouer qu’elle avait un certain charme. De son côté Adélie l’observait, sans le détailler autant que lui le faisait pour elle. Stewart était un beau brun, mince qui faisait la même taille qu’elle. Après avoir mangé leur plat Adélie proposa d’aller chercher le dessert dans son frigo. Elle avait acheté du riz au lait. Stewart lui proposa de faire la vaisselle pendant qu’elle allait chercher le riz. Stewart était sous le charme. Adélie aussi. Il avait aimé discuté avec elle, elle souriante, joyeuse, elle avait de la conversation. Même si son physique ne l’emballait pas Stewart trouvait qu’elle avait vraiment un beau visage et que ses rondeurs lui allaient bien. Adélie de son côté avait craqué pour ce beau gosse, cool, qui s’il le montrait pas trop avait l’air gentil et cultivé. Dix minutes à peine après avoir laissé Stewart les mains dans la mousse Adélie revenait. La vaisselle était terminée et essuyée, Stewart l’attendait assis, regardant par la fenêtre la nuit tombée. Une fois rassise ils se partagèrent le riz au lait qu’elle avait amené. Puis ils continuèrent à discuter. Soudain alors qu’ils discutaient le gardien vint les prévenir qu’il allait fermé la cuisine comme tous les soirs. Aussi Stewart et Adélie prirent leurs affaires. Stewart proposa à Adélie de venir dans sa chambre pour continuer à discuter. Adélie était surprise, mais pas dupe sur leur discussion, lui non plus d’ailleurs, chacun avait pût voir briller les yeux de l’autre.
Sitôt posé ses couverts Stewart ferma la porte de sa chambre. Adélie était resté debout face à lui. S’approchant doucement d’elle il posa un baiser sur ses lèvres. Doucement ses brase entourèrent la taille d’Adélie. Adélie lui rendit son baiser, plus langoureux encore. Il l’attira à lui et pivotant sur lui-même l’entraîna doucement sur le lit. Faisant passer ses mains de ses hanches à ses fesses, il commença à titiller les lèvres d’Adélie avec sa langue.
Celle-ci lui répondit et leurs langues se nouèrent de plaisir. Adélie était aux anges. Stewart ne comprenait pas ce qui se passait lui d’habitude si pressé, se laissait faire par la langueur de sa partenaire. Il appréciait ses baisers, d’une douceur infinie. Il n’avait jamais connu ça. Son plaisir était différent, plus agréable, sans savoir dire exactement pourquoi. Adélie encouragée se mit à caresser le visage et les cheveux de Stewart, renforçant le plaisir de son amant. Les caresses d’Adélie rendirent la langue de Stewart plus fougueuse, pendant que ses mains commençaient à caresser ses fesses. A son tour Adélie se fit plus fougueuse échauffant encore plus Stewart dont le bassin commençait à remuer doucement. Surprise par ce mouvement Adélie sentie son sexe réagir aux mouvements de Stewart, dont elle remarquait l’érection. Le plaisir qu’elle ressentit à ces mouvements lui procurait un plaisir insoupçonné. Et sans s’en rendre compte son bassin commença lui aussi à bouger, sa pression contre le sexe de Stewart augmentant encore son érection. Stewart n’y tenait plus il commença à remonter le débardeur d’Adélie, effleurant sa peau douce. Arrivé à la hauteur de sa poitrine Adélie se releva et termina d’enlever son haut, dévoilant une poitrine imposante. Stewart se redressa pour embrasser par petite touche cette poitrine qui s’offrait à lui faisant soupirer de plaisir son amante. Lorsqu’il releva la tête Adélie lui enleva son T-shirt, avant qu’il ne déboutonne et n’enlève le pantalon de sa compagne. Couchant sa partenaire sur le dos après lui avoir enlevé son soutien-gorge, dévoilant deux superbes seins, lourds et ronds. Stewart commença à embrasser Adélie, partant de ses lèvres, il descendit ensuite le long de son coup, arrivant doucement à sa poitrine, laissant son sexe frotter le ventre d’Adélie qui commençait à mouiller à son insu. Après la poitrine Stewart posa ses lèvres sur les seins de sa compagne, arrivé aux tétons il se mit à les lécher doucement, les prenant en bouche, faisant tourner sa langue autours, les titiller rendant le souffle d’Adélie encore plus court.
Descendant du sein droit il continua à descendre sur le ventre. Arrivé au pubis il écarta doucement la culotte, avant de l’enlever, laissant apparaître une touffe brune frisottée qui sentait bon la violette. Sous ce doux tapis sa langue trouva les deux lèvres d’Adélie. Commençant doucement par des petits mouvements verticaux, il fit ensuite doucement rentrer sa langue à l’intérieur de la fente coquine suivant toujours son mouvements vertical, provoquant de légers soubresauts du bassin à Adélie qui n’en pouvait plus de plaisir. Après ses mouvements verticaux Stewart se mit à faire glisser sa langue sur les parois, doucement, puis plus rapidement provoquant de nouveaux soubresauts. Continuant son petit jeu pendant plusieurs minutes, changeant plus ou moins vite de mouvements, Stewart prenait du plaisir à sentir sa maîtresse réagir à ses coups de langue qui la faisait vibrer. Retirant enfin sa langue, il remonta doucement le corps d’Adélie, l’embrassa à nouveau sur le ventre, les seins, le coup et enfin ses lèvres. Sans s’en rendre compte pendant qu’il remontait elle avait pris son boxer qu’elle faisait glisser le long de ses cuisses. Se débarrassant de son sous-vêtement Stewart se mit sur le dos. Incitant Adélie en posant ses mains sur sa tête, elle commença à l’embrasser sur les pectoraux qu’il n’avait pas, puis sur son ventre avant d’arriver au sexe de son amant. L’embrassant doucement, elle se mit ensuite à le lécher doucement, faisant glisser sa langue le long de la tige avant de titiller le gland. Ayant goûté à la peau du sexe de son amant, pris d’une envie soudaine elle avala entièrement le sexe de Stewart provoquant en lui une sensation de plaisir. Il s’était retenu d’éjaculer aux coups de langue de sa partenaire. Douce elle avait provoqué en lui de nouvelles sensations de plaisir. Un plaisir plus intense. Le sexe de son amant en bouche Adélie devint passionnée. Elle limait son sexe à une vitesse incroyable qu’il n’avait jamais connue, provoquant en lui un bonheur fou. Stewart ne voulait pas éjaculer comme il le faisait des fois, mais il ne savait pas s’il allait tenir. Quand soudain Adélie ralentie son rythme jouant cette fois avec sa langue. Enroulant sa langue autour du sexe de Stewart, titillant son gland, remontant sa tige de bas en haut, aspirant son gland, elle sentais Stewart qui peinait à se contrôler, mais elle n’avait plus aucune retenue et resserra la pression que sa bouche exerçait sur son sexe, Stewart n’en pouvait plus il lâcha tout. Adélie qui continuait sentait que son amant allait exploser continua son travail quand de longues giclées jaillirent dans sa bouche. Visqueux le liquide coula en sa gorge sans qu’elle en soit dérangée savourant le léger parfum fruité qu’il avait. Adélie sortit le sexe de son amant de sa bouche heureuse du plaisir qu’elle lui avait procuré et qu’elle avait ressentie en lui faisant plaisir. Elle remonta doucement vers la bouche de son amant qu’elle embrassa doucement. Rendant son baiser à sa partenaire, Stewart retrouva la vigueur que son éjaculation lui avait fait perdre. Tout en continuant à l’embrasser doucement il la mit de nouveau sur le dos, puis écarta ses jambes la pénétrant doucement. Une fois à l’intérieur Stewart commença à s’activer doucement, puis augmenta progressivement le rythme de ses vas et viens. Adélie commença alors à bouger son bassin augmentant ses sensations, Stewart augmenta encore son rythme allant plus loin, plus fort, faisant haleter sa partenaire qui dont les soubresauts lui indiquait le plaisir qu’elle y prenait et que doucement montait en elle l’orgasme. Chuchotant « Vas, vas y, plus fort. » Adélie sentit Stewart augmenter encore ses vas et viens quand d‘un coup son bonheur explosa. Le souffle court elle s’arrêta presque nette dans ses mouvements, surprenant son amant. Adélie était aux anges, elle n’avait jamais connue un tel bonheur. Laissa sa compagne reprendre son souffle il resta encore quelques à l’intérieur d’elle avant de se retirer et de s’allonger à côté d’elle.
« Je suis heureuse chéri. C’est la première fois qu’on me fait l’amour commeça … .
- Je m’en doutais.
- Tu m’as comblée.
- Tu sais la nuit est encore longue.
- Oh oui !
- Laisse moi te combler davantage.
- Oui, vas y ! Prends moi ! »
Stewart l’embrassa tout en laissant ses mains la caresser sur tout le corps au gré de ses envies. Stewart allait maintenant lui faire découvrir d’autres positions. Après avoir laissé dérivés ses mains il la fit monter sur lui. Puis doucement il commença à remuer son bassin. Son sexe frottant celui de son amante il sentait le désir monter de nouveau en elle. Il prit son sexe et le mit devant son orifice, Adélie vint se mettre dessus poussant un soupir de contentement. Alors il recommença ses mouvements de bassins entraînant sa maîtresse dans un même élan. Doucement il faisait coulisser son sexe jusqu’au plus profond de son être. La sentant prendre du plaisir à ses mouvements il accéléra doucement le rythme, jusqu’à ce pouvait lui donner ses muscles. Adélie se mit à haleter de plus en plus prenant véritablement plaisir à ses mouvements, se mordillant la lèvre du bas elle sentait le désir monter de nouveau en elle. Les mouvements de son amant se firent plus forts provoquant en elle la monté d’un nouvel orgasme. Sentant qu’elle allait exploser Stewart se déchaîna, à peine avait’il accen ses coups qu’Adélie jouissait, provoquant une nouvelle éjaculation de son amant, aussi violente que la première. Stewart se cabrant dans le même élan que Adélie. Elle retomba sur son amant épuisée, mais heureuse. Elle avait atteint le nirvana. Stewart aussi était épuisé. Il s’était jamais donné comme ça. Malgré tout ils n’avaient pas envie d’arrêter. Les deux amants restèrent ainsi quelques minutes avant qu’Adélie ne se retire et ne vienne s’allonger à côté de Stewart. Restant l’un contre l’autre, sans se parler.
C’est Adélie qui rompit le silence la trêve en prenant dans sa main le sexe de son partenaire qui se redressa aussitôt. Stewart la pris dans ses bras et l’attira à lui. « Tu en as encore envie coquine. Moi aussi. On va essayer une nouvelle position. Dit’il en l’embrassant. » Il la redressa et la fit se retourner pour qu’elle s’asseoit sur son sexe redressé. Doucement le sexe de Stewart pénétra Adélie soupirant de plaisir. Stewart commença à remuer son bassin doucement posant ses mains sur les hanches de sa partenaire pour s’aider. Doucement il accélérera le rythme de ses mouvements. La pénétration était plus profonde et touchant une partie différente provoquant à Adélie de nouvelles sensations. La position lui plaisait, elle voulait que son amant aille plus vite, mais Stewart n’avait pas la même liberté de mouvements et ne pouvait lui en donner plus. Même si sa position n’était pas idéale elle donna de petits coups de bassins qui l’aidèrent à ressentir davantage de choses. Elle était heureuse, elle prenait du plaisir, mais elle ne sentait pas l’orgasme monter en elle, malgré ses efforts et ceux de son compagnon. Aussi au bout d’une dizaine de minutes ils ralentirent leurs mouvements. « Je suis désolé, j’arrive pas à te donner plus ma chérie. – Ca ne fait rien mon amour, je vais me retirer et on va en essayer une autre. – Oui. » Adélie se retira, Stewart se redressa, quitta le lit, faisant Adélie se retourner et poser ses bras sur le lit pendant qu’il se mettait derrière elle. Stewart position son sexe devant celui de sa maîtresse et le fit entre doucement. Adélie était ravie le sexe de Stewart dans cette position faisait réagir de nouvelles zones de son vagin. Doucement Stewart se mit à faire des petits mouvements de va et viens, d’avant d’aller plus profondément, plus vite. Augmentant sa vitesse il limait Adélie de plus en plus vite, encouragé par les râles de plaisirs de son amante, qui lui disait de continuer. « Vas y, vas y, baise moi, défonce moi. ». Elle n’était pas la seule à prendre du plaisir, Stewart ressentait un plaisir qu’il ne soupçonnait pas. Soudain Adélie se mit à remuer le bassin pour accen les mouvements de son amant. Stewart fût surpris mais n’en ressentis que plus de plaisir. Adélie vibrait elle aussi de plaisir, elle sentait son plaisir qui ne cessait de croître, elle allait jouir une nouvelle fois. Son souffle court incitèrent Stewart à tout donner, déclenchant la monté de son propre orgasme. Quelques coups suffirent pour que les deux amants explosent en même temps. Les jambes d’Adélie s’affaissèrent en même temps que celles de Stewart. Finalement il s’assit par terre Adélie assise sur lui encore planté sur son sexe, qui commençait à rétrécir. Ils leurs fallut quelques minutes pour remonter sur le lit définitivement épuisé par leur étreinte. Adélie rayonnait de bonheur. Si elle était déjà sortie une fois avec un garçon elle n’avait jamais été plus loin que l’embrasser. Stewart qui avait couché avec une petite douzaine de filles ne s’était jamais donné comme ça pour aucune d’elle. Il ne comprenait pas, ou si plutôt il comprenait il aimait Adélie. Epuisés ils s’endormirent en quelques minutes dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain Johnny tenant la main de Dulcinée vit arriver son copain main dans la main avec Adélie rayonnante. Stewart lui aussi rayonnait à la grande surprise de Johnny qui ne l’avait jamais vu amoureux comme ça. Stewart embrassait Adélie avec tendresse, la regardait avec tendresse, il faisait tout avec tendresse. Adélie n’avait pas une plastique irréprochable comme ses précédentes conquêtes, mais elle avait les qualités qu’elles n’avaient pas et n’avait pas leurs défauts. Adélie l’avait séduit pour ce qu’elle était une fille simple, mais avec un cœur aussi profond que l’océan et ça c’était inestimable.

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