Amélie Et Antoine

Les filles tiennent une grande place dans le restaurant. Elles trois doivent avoir trop arrosé une événement quelconque. L’une d’elle, une jolie brunette demande depuis un bon moment que quelqu’un lui offre une rose. La vendeuse de fleurs fait de timides apparitions espérant qu’un galant homme se dévoue pour tendre une seule fleur à une autre fleur.
La conversations tournait à la plaisanterie, je me proposais pour être le donateur. Heureuse comme tout de mon cadeau, la fille m’invite à sa table. Je me retrouve avec trois filles, assez grises, sauf une. J’ai droit à une série de bises des trois filles. En somme j’ai le choix. Je pourrais raisonnablement m’approcher de la fille à la rose.
Je suis attiré par le seule sobre, qui parle normalement sans avoir la bouche pâteuse. Au moins elle est plus belle que les autres, et possède un atout indéniable : sa poitrine me plait assez. Le repas et la suite finissant nous partons ensemble chez mademoiselle à la rose. Je suis uniquement pour celle qui me plait. Il me semble que c’est réciproque. Nous marchons ensemble; laissant les autres devant. J’essaie de l’embrasser : elle se dégage comme si j’avais la peste.
Ah, elle me boude, je vais en faire autant. Je m’approche de la chef pocharde qui m’embrasse goulument. C’est toujours ça de prit. J’ignore la belle qui me rejetait quand elle réalise qu’elle a fait une bêtise. Elle revient vers moi, se faisant plus câline. Après l’avoir ignorée un moment, je « consens » à me laisser faire.
Cette fois c’est elle qui cherche ma bouche. Je n’attendais pas un si bon baiser. Sa langue dans ma bouche fait des ravages : elle cherche ma langue, mon palais, les lèvres. Elle fait le tour de l’intérieur de ma cavité buccale. Elle se colle à moi, pauvre homme qui du coup commence à manifester son contentement : elle le sent bien quand débute mon érection.
Les deux autres filles, un peu moins grises commencent à émerger des vapeurs de l’alcool.

Je sens qu’elles voudraient elles aussi me partager. Je suis en main (comme on disait dans les anciens bordel), je ne tiens pas à lâcher la nana que j’ai choisi, surtout qu’elle frotte son ventre contre ma bite. Elle murmure dans l’oreille :
- J’ai envie.
Je fais l’innocent en demandant:
- Envie de quoi ?
- De toi, de nous dans un lit.
Puis demandant fort à sa copine :
- Ta chambre est libre ? Je vais l’occuper.
Sans attendre une réponse, elle m’emmène vers la chambre où le lit est défait d’un amour récent, il sent même le foutre et la cyprine.
- Tu sais je m’appelle Amélie : tu sauras qui tu baise.
- Moi, c’est Antoine. Tu sauras qui te la met.
Nous reprenons notre baiser sauf que cette fois ci elle n’hésite plus à prendre ma bite dans la main. Elle me masse longtemps, pendant que je défais la fermeture éclair de son jean. J’insinue une main pour trouver directement un sexe, avec sa fourrure. C’est encore plus simple que je le pensais. Je trouve avec deux doigts son petit bouton, disons son ex petit bouton : il est largement sorti de sa protection. Le masturber est facile surtout qu’elle tend son ventre vers ma main. Le plus facile est de la faire jouir vite fait bien fait : elle part en moins de deux minutes.
- Recommences à me branler, j’aime ça.
- Branles toi, seule devant moi, j’aime voir les filles se masturber.
Elle n’hésite pas, elle fait tomber son jean pour apparaitre avec son seul haut que je me charge d’enlever. C’est maintenant nue qu’elle se livre au plaisir solitaire. Elle ne reste pas longtemps debout, il lui faut se coucher pour être bien à l’aise. Joli spectacle de voir cette jolie fille me montrer comment elle se fait du bien.
Elle oublie volontairement son bouton pour entrer deux doigts dans le vagin où elle procède à des allers/venues rapides avant de poser son autre main sur l’anus où également elle fait des allers/venues mais avec un seul doigt. Suffisamment excitée et par ce qu’elle fait et par ma présence que je manifeste en lui caressant les seins, elle recommence à caresser le clitoris.
Il me semble sentir son odeur intime. Et je bande sans cesse. Il me tarde qu’elle jouissent de ce qu’elle se fait pour remplacer ses main par ma queue. Quand elle prend la position arquée, je sais qu’elle jouit.
J’allais venir la baiser, c’est pourtant elle qui me le demande. Je suis entre ses jambes ouvertes, je suis sur le point d’entrer en elle. Elle prend ma bite dans sa main, la guide vers son vagin. J’aurais bien voulu la branler avant avec la queue. Mais elle la veut dans son ventre.
- Fais moi un .
- Quoi ?
- Baises moi, fais moi un , c’est bien comme ça qu’on les fait les s.
- Je vais te faire un bébé.
J’entre lentement en elle : c’est doux, mouillé, mon gland ressent enfin tout le bonheur que je demandais. Amélie lève ses jambes pour les passer sur ma taille. Cette fois nous ne formons qu’un seul corps au destin commun, le plaisir immédiat, le seul que je cherche. Je sens ses nombreux mouvements internes dans son con. Je sens aussi son doigt dans le cul. il est réglé sur mes mouvements, non sur nos mouvements. C’est une des rares fois où j’aime avoir mon cul ainsi occupé. Arrive le moment désiré pour elle, elle jouit quand je suis profondément en elle. Elle pousse un cri de surprise du plaisir qu’elle prend.
- Sors de moi, vas dans l’autre trou.
- Tu veux que je t’encule ?
- Oui.
Elle se tourne en levrette, mouille son anus avec le trop plein de cyprine :
- Vas-y entre.
Elle me veut, je n’ai pas joui, j’y vais doucement au début, puis devant l’anus qui s’ouvre bien j’en rentre complètement. Dès que je suis au fond, je la sens se branler pour accen son plaisir naissant. Amélie est un cas particulier, elle aime se faire mettre, elle aime surtout jouir pour elle seule. Elle ne s’en prive pas, en ayant je ne sais combien d’orgasme consécutifs. Quand à mon tour je décharge en elle, elle tient à me garder jusqu’à ce que je débande complètement. Je reste ainsi collé à elle, comme un chien à sa chienne.
Je sens les tensions qu’elle donne à son anus,: elle me fait encore bander. Je suis en elle, j’y reste. Je reprends les va-et-vient. Elle reprend sa masturbation. Si je ne jouis pas, elle jouit encore plusieurs fois jusqu’au moment où elle ne veut plus de moi dans son cul.
Tant pis, je sors d’elle me couche sur le dos, prend ma bite et me branle devant elle. Elle regarde ma main faire les mouvements normaux qu’un homme fait, quand elle remplace ma main par sa bouche. Elle me tient pas la base, sa langue lèche tout le long la tige avant que sa bouche m’avale. C’est sa langue qui lèche partout on gland. Je regarde curieux ce qu’elle fait. Je vois que ma bite est entre sa langue et une joue. Sa tête remplace son con. C’est bon, trop bon, je jouis dans sa bouche. Là elle garde ma semence longtemps comme si elle la faisait passer partout dans la bouche. Elle tire sa langue pour me montrer le sperme qu’elle retient quand d’une seule gorgée elle avale tout.
- Tu es un peu salé. goute sur ma langue.
Elle pose sa bouche sur la mienne, entre sa langue. C’est vrai mon sperme est un peu salé entre autre.
Nous nous voyons de temps à autres, elle est de plus en plus dévoyée, elle veut deux bites en elle à la fois.
Quand à ses copines, elles se font l’amour ensemble.

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