Christine Ma Belle Soeur

1°) La découverte
Je n’avais encore jamais vu de mes propres yeux le corps d’une femme nue. Les images sur lesquelles je pouvais m’exciter n’étaient que des revues planquées sous mon matelas.
Je savais que Christine était une adepte du naturisme avec mon frère. Je l’imaginais nue mais espérais bien un jour avoir la chance de la découvrir réellement.
Je pense que c’est à cette période que mon côté voyeur s’est développé.
Un matin, alors que j’étais chez eux en plein été, en train de bricoler dans la maison, j’ai subitement remarqué que Christine était dans le jardin. Curieux je me suis approché de la fenêtre, ce qui la plaçait à une vingtaine de mètres. C’est à ce moment que j’ai vu qu’elle était seins nus portant un simple slip de bain et des chaussures de jardinage. J’ai maté, il n’y a pas d’autre mot, son corps pendant un long moment. Elle n’est pas encore tellement bronzée mais je remarque qu’il n’y a aucune trace sur ses seins. Sa peau est légèrement halée, je ne visualise pas son grain de peau à cette distance mais je l’imagine doux et soyeux.
Le jardin, assez grand, qu’elle aimait soigner, était entièrement clos à l’abri des regards indiscrets. Je me suis dit qu’elle pourrait se mettre complétement nue.
Debout et penchée pour désherber à la main, cette position donnait toute la splendeur à ses seins pendant et remuant avec les mouvements naturels. Je suis resté bloqué pendant cinq minutes dans ma position et me disais qu’il était vraiment dommage que le reste de son intimité soit caché ainsi, mais vu sa position je ne verrais surement pas grand-chose. En détaillant un peu plus son corps je pouvais remarquer qu’elle était super bien entretenue, son ventre ne faisait apparaitre aucun pli disgracieux, j’entrevoyais sa colonne vertébrale dans la courbe de son dos qui se poursuivait par ses fesses malheureusement cachées par ce maudit bout de tissu et qui semblaient gracieuses. Que j'aurai aimé découvrir son sexe et ce postérieur mais pour le moment ce sont évidemment ses seins qui remportent la palme d’or de la beauté ! Malgré sa position penchée, ils restent bien fermes et ronds.

Je distingue ses tétons assez imposants. Ils doivent être tellement agréables à toucher, palper, lécher, téter…
Je suis souvent revenu à la fenêtre pour suivre l’évolution de ses activités en attendant qu’elle décide de profiter du soleil et se faire bronzer. Je l’imaginais déjà nue, reluisante, mais allait-elle oser se mettre en tenue d’Eve devant moi ? J’allais vite le découvrir.
Lors d’une de mes visites près de la fenêtre, je m’apercevais que Christine n’était plus dans le jardin. J’eu un moment de recul ne sachant pas où elle était pour ne pas me faire surprendre dans cette position de voyeur. Je regardais partout sans la trouver, je ne l’avais pourtant pas entendu rentrer !
Je me décidais donc à changer de fenêtre pour examiner une autre partie du terrain. Légèrement sur le côté gauche, au fur à mesure que j’approchais je découvris ce corps allongé sur un matelas à même le gazon, à un mètre de la fenêtre. Elle était dans la même tenue et avait juste retiré ses chaussures de jardinage.
Son positionnement me permettait de l’espionner sans difficultés. En effet elle était allongée perpendiculaire à la fenêtre et j’avais donc une vue parfaite sur la longitude de cette magnifique femme.
J’étais bien sûr déçu que ce petit bout de tissus noir cache encore ce pubis que j’aimerais tant découvrir. Mais c’est bien évidemment vers ces deux jolis monts sur lesquels se dressent ces pointes fièrement relevées que mes yeux stoppent net. J’en ai déjà vu des seins sur du papier glacé, mais d’aussi beaux jamais. Peut-être est-ce parce que cette fois ils sont vrais, si près de moi, juste séparés d’une vitre, que je les trouve ainsi resplendissant mais mon érection est à son apogée et je ne peux me retenir de glisser une main dans mon short et libérer un peu la pression de l’élastique. Très naturellement je commence à entourer mon membre de ma main et sans m’en rendre vraiment compte, commence un va et vient en douceur.
Les tétons de Christine sont très tendus aussi, je ne sais pas encore ce que cela veut vraiment dire mais j’apprendrai plus tard que ces petits bouts très appétissants sont aussi érectiles que ma propre queue.
Est-ce le soleil, le léger vent qui souffle sur son corps nu ou le fait de savoir que je pourrais la regarder ? Serait-elle exhib ? Tout se mélange dans ma tête jusqu’aux rêves les plus fous.
Tout d’un coup, ses mouvements me sortent de mon nuage. Ses mains attnt l’élastique de son slip, qu’elle tire légèrement. Ma position me donne une vue directe de ce qui se trouve dessous, une masse de poils sombre, ça y est j’ai vu son pubis ! Je n’en crois pas mes yeux et m’attends à ce qu’elle retire complément son dernier vêtement, rempart à sa totale nudité. Mais non, elle le lâche et le laisse claquer sur son ventre plat. Elle a juste repositionné cette culotte un peu plus basse pour certainement mieux bronzer, mais quelle déception ! Je fantasme sur ce moment où elle pourrait faire descendre son maillot jusqu’au chevilles et le faire disparaitre à jamais.
Il était environ 11 heure du matin et le soleil se faisait déjà de plus en plus chaud. Christine qui a horreur les marques sur sa peau réalisa enfin ce geste tant attendu.
Pendant une de mes observations, elle glissa ses deux pouces sous l’élastique de son slip et poussa rapidement vers ses pieds ce dernier rempart au rêve. Pour s’en débarrasser totalement, elle releva les jambes et le fit glisser jusqu’à ses pieds. Elle était désormais totalement nue devant moi. J’en restais bouche bée et figé ainsi devant un tel bonheur. J’admirais cette ligne de peau sans aucun morceau de tissus pour la couper. Je pouvais contempler de ses épaules à ses doigts de pieds et inversement. Je m’arrêtais sur ce mont de vénus, bien fourni en poils sombres mais magnifiquement taillé. Toujours inconsciemment, ma main droite était entrée à l’intérieur de mon short et jouait avec mon membre, qui tout au long de cette matinée n'avait pas arrêté de bander, mais là, avec cette vue il était au meilleur de sa forme. Le plaisir commençait déjà à monter, il me fallait arrêter au risque de jouir sur les vitres ou dans mon short. Je regrette qu’en ce temps-là les smartphones n’existaient pas, je n’aurais pas hésité à enregistrer un grand nombre de vidéos que je pourrais encore aujourd’hui regarder avec excitation.

J’étais obnubilé par ce triangle noir, ce n’était que des poils mais des poils interdits. Au même moment, Christine passa sa main droite à l’intérieur de ses cuisses qui s’ouvrèrent instinctivement. Juste un petit passage, mon cœur à fait un saut à tel point que je le sentais dans ma gorge, pourvu qu'elle se masturbe pensais je immédiatement. Non, finalement ce n’était qu’une caresse certainement juste comme ça, elle passait sa main également sur son ventre, sur ses seins mais je dû me rendre à l’évidence qu’il n’y avait aucune connotation sexuelle dans ses gestes, du moins pour l’instant…
La chaleur montait vraiment et ce n’était pas celle venant du soleil. La vue du corps nu de Christine légèrement bronzé me donnait vraiment des envies fortes. Évidemment plus j’en vois, plus je veux en voir. Mais dans cette position impossible d’entrer plus dans son intimité. Le soleil continuait de monter pour atteindre bientôt son point culminant. C’est à ce moment que ma belle-sœur se redressa en position assise. Ses cuisses s’écartèrent naturellement comme pour la tenir en équilibre. Mais j’étais toujours de dos et impossible d’avoir une autre position pour voir l’intérieur de ce sexe qui me fait de plus en plus bander. Ah si elle pouvait se retourner ! Oui mais elle me verrait ment !
Elle prit la bouteille d’huile à côté d’elle et commença à s’enduire les bras. De dos je pouvais voir, par le flanc, les mouvements de ce sein suffisamment lourd mais avec une belle tenue pour rendre le spectacle bavant.
Une fois la séance d’huilage terminée, elle s’allongea de nouveau dans la même position.
Je dû avec regret quitter mon poste de voyeur et reprendre mes activités pour éviter qu’elle ne se doute de quelque chose ne voyant pas mon chantier avancer.

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