Christine Ma Belle Soeur (2)

2°) Le déjeuner…à poil
Vers 13h, j’avais enfin réussi à me reconcentrer sur mon bricolage lorsque la porte de la maison s’ouvrit (par cette chaleur tout restait fermé) et je vis Christine entrer avec à la main sa bouteille d’huile et un petit tissu noir ! évidemment c’était son slip de bain, et elle était restée totalement nue ! Je me suis figé, bouche ouverte à la regarder ainsi venir vers moi. Elle ne pouvait pas ne pas le voir tellement je n’étais absolument pas discret.
-tu n’as jamais vue de femme toute nue ? me dit-elle très gentiment presque compréhensive
-seulement sur des magazines, mais …. Osais-je répondre
-mais quoi ? elles étaient plus belles ? ajoute-t-elle
-oh que non …
Je devais être rouge pivoine, je ne la regardais pas du tout dans les yeux mais je passer de ses seins à sa belle chatte sans cesse.
-attention, t’es en train de bugguer, rigola-t-elle
-pardon, excuse-moi, dis-je en relevant les yeux pour croiser son regard.
-ne t’inquiète pas, je peux comprendre, ça t’embête que je reste à poil ? Je pense que ce terme un peu plus direct était volontaire pour détendre l’atmosphère.
-non pas du tout, mais …
-mais quoi ?
-ben … et je regarde mon short
Ce mouvement de ma tête l’incite à regarder dans la même direction, « ben dis donc c’est moi qui te fais cet effet-là ? »
-je ne sais pas mais c’est la première fois que … de si près, murmurais-je
-ah ben oui, je comprends, ça me flatte, dit-elle amusée. Tu sais, ici avec ton frère nous sommes très libres et sommes trési souvent à poil, tu le savais non ?
-oui je le savais mais je ne pensais pas qu’il serait si simple de te voir toute nue !
-tu pensais que j’allais me couvrir parce que tu étais là ?
-oui ou plus te cacher
-et si c’était le cas tu aurais fait quoi ?
-ben je pense que j’aurais cherché à te surprendre, lui avouais je timidement.
-donc je t’ai simplifié la tâche en quelque sorte
-oui exactement
-bon alors, puisque tu m’y autorises je reste à poil et je vais préparer à manger, si tu es trop serré dans ton short enlève le, tu sais j’en ai vu d’autres !
Je ne pouvais ni répondre ni profiter de l’opportunité que j’avais, tant j’étais surpris d’entendre tout ça.

J’étais comme dans un rêve éveillé.
Comme si de rien n’était, elle se dirigea vers la cuisine et commença à s’afférer à préparer le repas.
Je me décidais enfin à bouger en décidant de préparer la table, mais je ne n'enlevais pas mon short, ça me gênait de me trouver nu devant ma belle-sœur. Pour sortir la vaisselle des placards, il me fallait sans cesse être très proche d’elle voire la frôler, je sentais l’odeur de l’huile qu’elle avait étalé toute à l’heure au soleil, tout cela n’était pas fait pour me faire débander.
Je profitais de ce moment de proximité pour regarder de plus près ses seins, ses fesses et son pubis. Je ne pensais qu’à une chose, pouvoir me soulager rapidement. Je finis par m’asseoir et boire un grand verre d’eau.
Christine pris le soin de poser une serviette sur sa chaise avant de me rejoindre à table. En riant elle me dit « sinon ça colle à mes fesses ». Très naturellement elle commença à manger et entama la conversation :
-tu n’avais vraiment jamais vu une femme nue ?
-non je t’assure, jamais en vrai !
-je comprends mieux pourquoi tu es si nerveux, et que penses-tu de moi alors ?
-euh…rien….je ne sais pas …. bafouillais je.
-tu as bien un avis sur ce que tu vois, mes seins, mes fesses ….
-ils sont magnifiques… ce matin je dois t’avouer que je t’ai longuement regardé par la fenêtre…mais pourquoi j’ai dit cela, elle va se fâcher !
-ah bon, tu as joué au voyeur comme ça, ne me dis pas que tu t’es masturbé derrière mon dos !
Je ne savais plus quoi dire, je m’étais moi-même embarqué dans une situation très délicate. Mais son discours ne semblait pas agressif et plus naturel, je me suis laissé aller.
-ben sans m’en rendre compte je glissé ma main dans mon short, mais je ne me suis pas vraiment masturbé !
-tu sais c’est assez flatteur que mon corps de fasse cet effet, je préféré cela à du dégout quand même.
Je n’ai pas su quoi répondre et nous avons fini notre repas.
Autant j’ai apprécié ce repas que je me suis rassasié de ses seins offerts à ma vue. Avant de repartir vers son coin favori pour bronzer à nouveau elle m’interpella
- tu pourras venir me passer de l’huile stp, seule je n’arrive pas à bien l’étaler, tu pourras ainsi me regarder de plus près et même me toucher, dit-elle avec un large sourire
Qu’avait-elle en tête ? Jouait-elle de ma timidité et mon inexpérience ?
-mais à une condition ajouta-t-elle brusquement
-laquelle ?
-tu enlèves ton short, après tout pourquoi serais tu le seul à te rincer l’œil ?
-mais je b…..
-tu bandes, oui et alors, je sais ce que c’est ne t’inquiète pas ! Et moi aussi j'ai envie de te voir nu.

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