Christine Ma Belle Soeur (5)

5°) C’est mon tour
Malgré mon éjaculation du début, je suis toujours aussi excité et n’arrive pas à débander. Toujours instinctivement je m’aperçois que j’avais une nouvelle fois pris mon sexe dans ma main et le caresse doucement en matant le moindre détail de cette nudité offerte. Je me dis que tout est parfaitement à mon gout et regrette de ne pas en avoir plus profité toute à l’heure, de ne pas lui avoir sucer les tétons, aspirer le clito, bu son jus … Bref je suis de nouveau parti dans ces rêves érotiques juste à côté d’elle.
Le temps passe si vite dans un rêve ! Elle s’est légèrement assoupie et en se réveillant, remarque que je la contemple encore.
- Je pense que tu vas mieux connaitre mon corps que moi tellement tu l’as analysé, me dit-elle non dans un sourire moqueur.
- C’est tellement inespéré ce que je vis, d’un rêve je saute dans la réalité qui est encore mille fois plus excitante que ce que je peux imaginais de plus chaud.
Je me rends compte que je lui réponds maintenant sans aucune retenue et aucun tabou. Cette première expérience m’a fait grandir et murir d’un seul coup.
- Tu sais que mes rêves les plus fous se limitaient à du voyeurisme uniquement. J’essayais toujours, par tous les moyens, de te voir nue comme ce matin, mais jamais je n’ai pensé que je pourrai un jour être là, à côté de toi, et te toucher à souhait et encore moins te faire jouir avec mes doigts.
- Et quand tu arrivais à me voir, que faisais tu ? me questionne-t-elle intéressée voir excitée
- Tu dois bien imaginer, à la première occasion, le simple fait de te voir nue, même de dos, mon imagination se mettait en marche et ne s’arrêtait pas tant que je ne m’étais pas satisfait.
- Tu veux dire que tu te branlais ? dit-elle sans complexe.
- Euh… oui, je n’aurais pas osé le dire ainsi mais c’est bien cela.
- Ça te choque que je te parle ainsi ? tu sais vu ce qu’on vient de faire tous les deux, il ne peut plus avoir de limites dans nos conversations je pense.


- Tu as raison, alors j’ose te poser la même question, toi aussi tu te branles ?
- Ça m’arrive oui, j’aime le sexe, alors il m’arrive de le faire entre deux, quand ton frère n’est pas là par exemple.
- Raconte-moi stp,
- C’est souvent par pulsion, des envies pressantes qui montent et qu’il faut assouvir vite. Il m’est arrivé de me faire jouir rapidement en me faisant bronzer comme ça ici, j’ai glissé mes mains entre mes cuisses et rapidement frotté mon clito pour atteindre le nirvana en quelques minutes. D’autre fois plus en douceur dans mon lit, dans mon bain. Tout dépend du contexte, de l’envie…
- Ouah, et j’ai raté tout ça, dis-je avec la bave qui coulait presque
- Si tu le souhaites je pourrais le faire devant toi un jour si l’envie me vient de m’exhiber ainsi.
- Humm j’en salive déjà.
- Et dis-moi, tu as déjà fait l’amour ?
- Euh… non. Je n’avais jamais toucher une femme avant toi alors comment aurais-je pu faire l’amour.
- Ah oui, je suis bête, peut-être qu’un jour….
- Un jour quoi, lui répondis-je tout énervé !
- Calme-toi, je ne sais pas, peut être qu’un jour je te laisserai venir mettre ta belle et grande bite dans ma caverne inondée et pourquoi pas dans mon petit trou
Je la regardais dubitatif, bouche bée, ce n’est pas possible, je ne dois pas être dans la réalité, je vais me réveiller !
- Ne t’excite pas trop quand même je ne te promets rien, tu sais il suffit de peu pour ne plus se contenir. Tu n’as pas mal, bandé comme tu es ? dit-elle en regardant mon gourdin tout aussi fièrement tendu, et ce n’est pas cette discussion qui va le calmer.
- Mal non mais je sens qu’il est hyper tendu comme jamais. Mais ce n’est pas désagréable de s’autoriser une telle érection devant une femme, c’est aussi une expérience ça.
- Bon allez, je ne peux pas te laisser comme ça, allonge-toi sur le dos, mets les bras le long de ton corps, écarte les jambes et laisse-toi faire.
Je vais m’occuper de toi mais à une seule condition, tu as interdiction absolue de bouger, de parler et de me toucher sans ma permission. Acceptes-tu cela ?
- Qui refuserait une proposition aussi alléchante, bien sûr que j’accepte.
Je m’allonge donc sur le dos, et Christine se lève toute requinquée. Elle se positionne à genoux entre cuisses, comme je l’ai fait pour elle, et prend le flacon d’huile qu’elle commence à étaler sur ses seins. Les mouvements sont trés sensuels elle me regarde avec des yeux de braise. Je sens soudain qu’une nouvelle expérience va me faire encore plus exploser.
Elle met ensuite de l’huile sur mon ventre et commence à me l’étaler. Pour monter jusqu’aux épaules, elle est obligée de s’avancer en se redressant légérement. Je regarde ses seins, pendant, effleurer ma queue littéralement debout. Elle passe entre ses deux globes et glisse parfaitement grâce à l’huile intelligemment étalée.
C’est un vrai supplice. A chaque frottement, en avant, en arriére, je suis sur le point de cracher tout ce que j’ai mais cela s’arrête juste avant l’explosion. J’ai en plus une envie folle de prendre ces deux magnifiques rondeurs qui flottent dans l’air en suivant les mouvements de Christine. Cela dure une éternité !
Tout d’un coup, elle s’arrête et me dit :
- Je ne veux pas te faire souffrir plus longtemps, tu veux que je te soulage ?
- Oh, oui je n’en peux plus !
A ce moment-là, quelle ne fut pas ma surprise ! Elle avale d’un coup mon sexe jusqu’au fond de sa gorge. Elle remonte délicatement puis passe la langue autour de mon gland qu'elle a décalotté, elle arrête et me caresse le corps, puis revient sur mon braquenard, je pense qu’elle sent quand que je vais exploser et arrive à faire durer le plaisir. C’est un supplice très agréable d'être dans les mains d'une femme experte pour donner du plaisir aux hommes. Je découvre une autre Christine que je n'aurais jamais osé imaginer.
Enfin ce qui devait arriver arriva, tous mes muscles se contractent à la limite de la douleur et j’inonde sa bouche d’une quantité de sperme dont je suis moi-même surpris.
Au moins 5 jets puissants sont sortis avant que le calme revienne. Je regarde de nouveau Christine qui s’affaire à nettoyer ma queue enfin soulagée et n’en laisse aucune goutte.
- J’ai préféré tout avaler pour éviter que tu en mettes partout, dit-elle amusée, en plus j’adore ça ! j'apprends que l'on peut aimer le sperme !
- Je ne m’y attendais pas c’est encore meilleur.
Ma bite a perdu de sa forme et peut maintenant se coucher sur mon ventre. Quel bien être.
Christine reprend donc son activité et étale à nouveau l’huile qu’elle a versée. Mêmes mouvements, ses seins passent à nouveau sur mon sexe, ses mains parcourent ma poitrine, descendent jusque mes cuisses, passent de chaque côté de mon intimité. Je ferme les yeux et je pense que je me suis assoupi quelques instants.
A mon réveil, elle est toujours dans la même position mais s’occupe désormais de mes jambes.
- Ça fait du bien ? tu l’as bien mérité après ce que tu m’as gentiment offert.
Je me redresse sur mes coudes, et en la voyant ainsi, mon premier regard tombe de nouveau sur ces seins merveilleux qui resteront à jamais gravés dans ma mémoire. Je remarque en même temps que mon sexe, reposé, commence à reprendre vigueur.
- Arrête de mater mes seins comme ça, regarde ce que tu fais faire à cette pauvre bête !
Finalement je décide de profiter de ce pur moment de bien-être et d’apprécier les caresses prodiguées par ses mains douces.
Après quelques instants, je sens Christine changer de position. Elle se positionne, toujours à genou, derrière ma tête. J’ai de nouveau un nouvel angle de vue sur ses seins. De cette position elle commence à me masser délicatement mes épaules puis s’avance vers mon ventre. Pour cela, elle soulève ses fesses et ses seins passent sur mon visage. De la maniéré dont s’est fait, je comprends rapidement que tout cela est volontaire. Sans réfléchir, je commence à attr un téton avec ma langue à chaque passage, puis à les attr avec mes mains pour les pétrir délicieusement.

Évidemment, ce petit massage a rapidement raison du repos mérité de ma queue. Voyant cela, et avec une certaine fierté d’avoir réussi son plan, elle descend encore plus pour atteindre mon bâton redressé. En même temps elle avance ses genoux de chaque côté de ma tête, je suis emprisonné et j’ai maintenant, à quelques centimètres de mon nez, une vision d’un érotisme profond. Sous sa toison fournie, je peux apercevoir ses lèvres humides à souhait. Son jeu n’est donc pas destiné qu’à me faire bander, elle est de nouveau chaude et excitée.
En tirant la langue j’ose effleurer cette chatte offerte, mais elle est légèrement trop loin pour que ma caresse linguale soit en profondeur. Cette première expérience avec la langue m’excite réellement et il ne faut pas attendre longtemps pour je me rende compte que je ne suis pas le seul.
Elle baisse son bassin et je sens son sexe s’écraser sur mon visage. Mes deux mains s’emparent de ses fesses pour les relever légèrement et je me mets à passer ma langue maladroitement sur cette raie trempée. Je connais ce goût pour l’avoir gouté précédemment sur mes doigts, mais le sentir directement sur ma langue est explosif en terme de plaisir. Elle remue de plus en plus et m’incite à la lécher encore plus fort et plus largement. J’en ai plein la bouche !
Pendant ce temps, elle n’est pas inactive. Elle a pris ma bite dans les mains et l’avale régulièrement. Je sens aussi ses seins s’écraser sur mon ventre, tout cela est jouissif.
Avec un peu de mal, je réussis à avancer mes mains suffisamment près pour tirer et écarter ses lèvres. J’ai alors l’audace de rentrer ma langue dans son trou ouvert et rempli de son liquide de plaisir. Je m’amuse à entrer et sortir comme si je la pénétré. Elle accompagne cette pénétration et s’empale littéralement sur ma langue sortie au maximum. Mon nez appuie sur son clito à chaque descente.
Ses mouvements du bassin deviennent de plus en plus rapides et se synchronisent avec la fellation profonde qu’elle me prodigue. Il ne faut pas plus de deux minutes pour que nous jouissions ensemble. Je l’entends gémir tout en avalant les nombreux jets de mon liquide qui se déversent dans sa bouche. De mon côté, j’ai entrepris un nettoyage complet de cette vulve douce, chaude et agréable tel un chat. Elle a quelques soubresauts quand je passe ma langue sur son clito encore tout gonflé. Elle fait la même chose en aspirant encore cette bite détendue mais encore bien gonflée.
Quand il ne reste plus aucune goute, elle se renverse sur le côté et se laisse tomber épuisée sur son matelas. Notre position en 69 fait que nous nous retrouvions tête-bêche. Je n’arrive pas à quitter ce corps du regard. Je n’arrive pas non plus à réaliser que je viens de lui bouffer la chatte comme jamais et quelle m'a avalé mon jus deux fois de suite. C’est quand même mieux que mes branlettes habituelles !
Évidemment, nous replongeons tous les deux dans une sieste bien méritée. Au réveil, nous sommes tous les deux repus de sexe mais nous restons naturellement nus jusque-là fin de la journée.

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