Serial Niqueur

Certains jours une démangeaison vous tenaille le bas-ventre. Même si je ne la calme pas à chaque fois par manque d'avoir quelqu'un avec qui assouvir à l'instant présent. Je me considère comme un serial niqueur, et pour vous le montrer je vais vous raconter mes aventures.

Il est 8 heures mon portable vibre et je me lève pour aller prendre ma douche. J'ai 45 ans je suis divorcé, et je vis ma sexualité en tant qu'homo depuis à peine deux ans. Taille moyenne un peu d’embonpoint, un peu dégarni. Je suis ce qu'on appelle banal. Pas de tablette de chocolat, ni une belle gueule. Cependant j'avoue connaître de beaux succès dans un autre domaine : le cul.
Je suis un bon baiseur, bien monté et très endurant aux dires de mes partenaires.

Ce matin j'ai un rendez-vous, je reçois. Cela fait deux bons mois que j'échange avec un certain Laurent bi,marié père de deux s. A chaque fois que nous avions prévus de nous voir, cela ne s'est pas fait au dernier moment. Après plusieurs semaines sans nouvelles. Il m'annonce qu'il est dispo ce jour et prêt «à jouer avec mon engin». Puisque telle était l'annonce à laquelle il avait répondu. On frappe à la porte, il entre même corpulence que moi, un petit collier de barbe enserre son visage. Il souhaite prendre une douche et me rejoint ensuite. Il a remis son boxer, moi je suis en jean et les palpations commencent. Nos bouches se rencontrent. Je caresse son boxer pour soupeser le contenu. Lui empoigne ma queue déjà bandée par dessus le tissus en jean. Il est déjà impatient et haletant de sentir le morceau. Pour ma part je caresse son torse pour le stimuler. Je passe mes mains sur ses tétons que je triture. Puis je descend de son torse jusqu'au dessus du boxer, que je contourne pour peloter son fessier au travers du coton. Puis je descends caresser ses cuisses velues et je remonte jusqu'à tâter ses biceps. Pour sa part Laurent ne chôme pas, il a glissée sa main dans la braguette puis il défait la boucle de la ceinture.

Il s'aventure déjà et agrippe ma queue, mais le tissu écarté pour faire passer sa main, est devenu un chapiteau tant mon sexe le tend. Mais il demande surtout à s'en évader. Il tire à nouveau fortement sur l'élastique pour le libérer maintenant. Et le voilà qui descend pour se trouver à sa hauteur. Sa bouche me veut et ses lèvres ont vite fait d' enserrer mon gland largement décalotté. Quelle sensation, de sentir une nouvelle bouche prendre l'affaire en main (façon de parler). Avec la pointe de sa langue il titille le méat. Mais il me semble bien expérimenté pour un hétéro en manque de bite. Il fait des allers retours bien profonds, et semble apprécier mes 20 centimètres de chair. Laurent me montre tout son savoir et maintenant il suçote chaque coté de ma queue comme pour bien la marquer de sa salive. Je lui suggère de descendre jusqu'à mes bourses. Bien docile comme élève, le voici qu'il lèche mes testicules rasés. C'est un ravissement. Bon c'est pas le tout mais j'aimerais aussi passer à l'action. Je lui en fait part. Il se redresse et je peux à mon tour lui ôter son boxer. Son sexe est beaucoup moins long , je dirais 15 centimètres mais il bande. Lui vire toutes mes fringues avec acharnement. Quelques coups de poignets pendant que mon autre main lui caresse le fessier. Il a les fesses poilues, tout comme son sexe qui lui est non rasé. Je veux le sucer et je n'ai à peine le temps de changer de position qu'il souffle et lâche deux jets de sperme. Il se retient mais c'est peine perdue. Il revient me sucer allongés tous les deux sur le lit, moi je lui titille l'anus et lui propose de lui bouffer le fion. Il est sur moi et se tourne. Ma langue commence par lécher ses fesses pour venir mordiller la rosace et cracher dedans. Puis je plonge mon bout de langue dedans. Il me semble bien serré et je vais le travailler avec un puis deux doigts que j'écarte pour l'ouvrir davantage. Il me semble à point, et même s'il a débandé, il est venu pour se faire prendre, et de ce fait va m'offrir son postérieur.
Le temps de dérouler le latex. C'est allongé sur le dos qu'il m'offre son trou. Mon col roulé trouve la fente et je m'avance de 5 centimètres en lui, pour le sonder et je stoppe. Il faut lui laisser le temps et ne pas l'éclater dés le départ. Après quelques secondes, j'effectue une seconde poussée au deux tiers de la bête. Il pousse quelques soupirs mais semble supporter la charge. A ce moment je recule pour mieux m'y renfoncer. J'ai chopées ses jambes sur mes épaules et je m'enfonce entièrement en lui. Il soupire et couine, il me fait face et nos regards se rencontrent. Il est ailleurs mais nos bouches se mélangent et je pars désormais dans des allers retours légers puis de plus en plus profonds et saccadés. Laurent couine gentiment. C'est le moment de changer de position. Je le fait mettre en levrette et c'est aussitôt reparti. Mon gourdin a formaté son petit cul et j'y vais désormais de bon cœur en ajoutant des mots crus. Je le baise en profondeur. Et ça dure avant que je le prenne désormais sur le coté. J'ai remis bien entendu du gel pour ne pas l'user. Ma bite coulisse à merveille.

Comme je n'aime pas la routine il s'allonge sur le tapis sur le dos face à moi qui suis assis sur le rebord du lit. Je lui fait remonter les jambes comme une galipette à l'envers. Je me redresse et enfonce mon zgeg dans sa fente et je fais ça en fléchissant les jambes. Je tape à fond son trou et me retire. Le chemin est fait et ça rentre désormais tout seul. Et je rajoute quelques mots crus car j'adore ça. Il pousse des soupirs et même quelques râles de plaisir, étouffés.

Il aime ça se faire mettre ce mec. Et je pense que mon endurance le surprend. Nous voilà de nouveau sur le lit et je le positionne sur le coté pour venir entourer mes chevilles autour des siennes. Auparavant je l'ai fait mettre sur le ventre et je me suis enfoncer en lui avec vigueur. Et je le lime à fond. Il fini par me dire que cela commence a bien l'échauffer. Et nous nous finissons manuellement mutuellement.
Cela dure encore plusieurs minutes mais c'est en apothéose que nous jouissons, libérés et vidés. Quelle baise intense nous venons de vivre. Peut être le reverrais-je?

La journée se passe , je vaque à mes occupations et pars faire des courses. Il est 16h30 et je décide de passer prés d'un bois qui est un lieu de drague gay. Je stationne en bordure. Il y à 2 autres voitures pas très loin.
Je descend et je tourne dans le bois. Au bout d'une dizaine minutes je croise un beau mec, petite quarantaine. Il me souri, j'ose ouvrir mon jogging. Il me dit: «bel engin mais je ne fais rien». Je descends en lisière Nord du bois et je rencontre un soixantenaire qui derrière un petit bosquet se masturbe. Je m'approche. Il tâte la bosse et sort ma queue pour la mettre en bouche. Je le laisse faire. Je branle son manche puisqu'il n'est pas accroupi, juste le buste plié. Je me rends compte que plusieurs mecs se sont rapprochés pour mater.

Un grand mec mince, châtain de 35 ans environ arrive. Il porte un jean et fait sauter le bouton pour sortir sa teub. Il mate ma teub qui entre et sort de la bouche du senior qui le voyant approcher se recule. Il saute instantanément sur mon morceau de chair. Juste le temps de l'entendre dire: «Oh putain cette queue». D'emblée sa bouche se déchaîne, il s'astique le jonc accroupi. Le mec que j'avais croisé précédemment ( le quarantenaire) se rapproche vraiment et je peux mater une braguette gonflée. D'ailleurs il déboutonne son Levis, et sort sa teub 17x4, un bon morceau. En fait il cherche à se faire sucer. Mon suceur tend la main pour la mettre en forme. Derrière moi le premier partenaire s'astique toujours . Il ne peut plus sucer mais ce qui se passe l'excite un max. Le mec au Levis se rapproche encore et mon suceur se met à alterner les succions sur nos deux queues, il est très impliqué.
Comme je suis de coté je peux atteindre son boule que je découvre, je caresse ses fesses et ose un doigt qui se fraye un passage.
Ce n'est pas un novice.
«Donnes moi ton cul» Aussitôt il redresse son fessier pour se placer à hauteur de mon entrejambe. Il suce toujours avec entrain. Je positionne le latex sur mon sexe. Je prends du gel. Et me voilà parti à me glisser dans son trou. J'y fais franco car il semble bien ouvert. Il bouge du cul pour m'inviter davantage à le défoncer. Tout cela est fort excitant je vais et viens avec fougue , deux autres voyeurs assistent à 3 ou 4 mètres mais sans rien faire sauf se caresser par dessus le pantalon. Entre temps le plus agé du départ a joui et s'écarte. Un turc dans le milieu de la cinquantaine approche. Sa braguette gonfle, il mate ma queue qui entre et sort. Tout ce décor met tout le monde en ébullition. Le mec au Levis se vide à force de grande lampée de langue sur son gland. Le mec que je sodomise jouit à son tour tant il s'est astiquée sa belle quelle que j'ai branlée aussi tout en le défonçant. Je me retire. Mon sodomisé se redresse et se rajuste rapidement, puis s'en va. Le mec au Levis rentre la sienne qui fléchie.

Le Turc att ma teub et libère la sienne. Elle est courte 16 cm mais néanmoins large de 4. Il gobe mon zob de 20x5. Il est fortement poilu et cela éveille mes sens. «La veux tu dans ton cul?» lui dis-je?
«Ça fait longtemps que j'en ai pas pris» répond il avec un accent en baissant son froc. Je saisi l'occasion et paluche ses fesses poilues et sa fente. Je graisse avec du gel.
Quelques minutes plus tard il s’appuie à un tronc d'arbre et me présente sa fente. Et me voilà reparti, je rentre légèrement, il soupire mais supporte la charge alors j'y vais franco et je le défonce. Il couine. Les voyeurs se sont éloignés et je le sodomise en cadence.
«Oh ça fait mal» dit il, je ressors et ôte la capote. Je le branle, il me branle. J'ensers bien son sexe circoncis et nous nous branlons ainsi. Le voilà qu'il se vide. Un bon jus crémeux épais se répand au sol, quatre cinq bonnes giclées, je presse ses burnes. Il me branle fortement également et dans les minutes qui suivent je soupire de plus en plus et me libère à mon tour. Que c'est bon d'éjaculer ainsi, cela vient de loin. Il continue de presser mon large gland pendant quelques secondes. Nous nous essuyons avec des mouchoirs et nous séparons pour retrouver nos voitures. Je rentre chez moi repu.

La soirée se passe et je reçois vers 21 heures un message de Christophe, un mec qui bosse sur Paris qui à 50 ans est passif. Il n'a pas besoin de me convaincre longtemps. Je pars chez lui, il y à bien deux mois que nous nous sommes vu. Là encore je ne rentrerais pas dans les détails, mais vous devinez comment cela s'est déroulé.

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